L’ADN ne disparait pas du jour au lendemain mais se désagrège petit à petit en fragments de plus en plus petit, de quelques milliers à quelques centaines de milliers de paires de bases (selon l’ancienneté du fossile et de la manière dont il a été plus ou moins conservé).
Pour les humains antédiluviens et au même titre que le mammouth, on peut prélever plusieurs fragments d’adn et les comparer au notre à l’emplacement du génome qui correspond à ses fragments et l’on n’a pas vu
de différences telles que ces différences le définiraient comme une autre espèce.
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