Archives mensuelles : mars 2015
L’anti-homosexualité anti-biblique
Un avocat US propose d’autoriser l’exécution des homosexuels
Selon l’avocat californien Matthew McLaughlin, il faut adopter une loi contre la sodomie pour protéger le peuple de la colère divine.
Un projet de loi présenté le 26 février dernier par Matt McLaughlin, avocat à Huntington Beach (Californie) propose d’autoriser l’exécution des gays et lesbiennes « de balles dans la tête », rapporte le journal The Guardian.
« Considérant qu’il est préférable que les contrevenants périssent plutôt que de voir le reste d’entre nous encourir la juste colère de Dieu du fait de notre tolérance insensée envers le mal qui se répand parmi nous, le peuple de Californie, craignant Dieu, recommande dans sa sagesse que toute personne qui touche en conscience une autre personne du même sexe aux fins de gratification sexuelle, soit mise à mort par balles dans la tête ou tout autre méthode plus pratique », a indiqué M.McLaughlin dans sa proposition de loi.
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Élevée par deux lesbiennes, elle s’oppose au mariage homosexuel
Heather Barwick : élevée par deux lesbiennes qu’elle aime, elle s’oppose désormais au « mariage » homosexuel
A mesure que les idées portées par le lobby LGBT sont imposées partout dans le monde, les témoignages de la souffrance d’adultes élevés par des paires homosexuelles et opposés à la légalisation du « mariage » homosexuel se multiplient. L’Américaine Heather Barwick vient de livrer le sien, particulièrement puissant. Elevée par deux lesbiennes, elle ne s’est jamais rebellée contre ces deux femmes. En réalité, elle éprouve un amour profond et sincère pour celles qui l’ont élevée et soutenait même le « mariage » homosexuel lorsqu’elle était encore jeune.
C’est après s’être mariée elle-même et avoir découvert l’amour que son mari porte à leurs quatre enfants qu’elle a réalisé sa souffrance, et le fait que les deux sont nécessaires : un père et une mère.
C’est en se mariant que Heather Barwick a découvert la souffrance liée à l’absence d’un père.
Le peuple devenu ennemi d’Etat et l’Etat, ennemi public
Justice prédictive et surveillance globale : demain tous suspects ?
La future loi sur le renseignement qui légalise la surveillance de masse sous couvert de guerre contre le terrorisme a fait les choux gras de la presse dominante. Mais cette énième loi liberticide qui suit de près la loi sur le terrorisme de novembre dernier, la loi sur la géolocalisation de mars 2014 et la loi de programmation militaire de décembre 2013, n’est que le point d’orgue d’un processus qui a débuté il y a une dizaine d’années : le basculement progressif du droit pénal dans un régime préventif. La traque obsessionnelle des individus dangereux ou des comportements suspects aux fins d’éradiquer les menaces avant même qu’elles ne se concrétisent était déjà l’un des axes forts du rapport Bauer de 2008. Avec les mesures antiterroristes mises en place par l’actuel exécutif, le « décèlement précoce » des foyers de subversion est plus que jamais à l’ordre du jour et cette nouvelle doctrine de sécurité est sans doute la plus terrifiante arme de destruction massive des libertés publiques jamais inventée.
Accroissement du contrôle du citoyen par l’impôt en ligne
Bercy veut rendre la déclaration d’impôt et le paiement en ligne obligatoires !
Qui serait assez naïf pour croire que les services fiscaux sauront protéger nos données les plus sensibles ?
On se souvient de l’offensive du fisc, en mai 2014 : Lucienne et son T-shirt « I love Impôt.gouv.fr », en ouverture d’une campagne où l’ineptie des slogans le disputait au coût. Plus bête et plus cher (640.000 euros), impossible. Quoique… Sachant ce que Bercy nous prépare, il faut peut-être s’attendre à pire encore.
Avec cette pauvre Lucienne qui s’en allait « chercher la paix sur impôt.gouv.fr » (sic), la Direction générale des finances publiques (DGFiP) visait les contribuables les plus âgés – des débiles, forcément –, histoire de les inciter à faire leur déclaration de revenus en ligne.
Il faut croire que cette campagne n’a pas eu les résultats escomptés, aussi le ministère s’apprête-t-il à en remettre une couche.
Climat: le consensus n’est pas la science
Comment douter d’un « consensus »
Vous n’avez pas besoin d’être un « négationniste ». Il suffit juste de lire les petits caractères dans leurs propres publications, et comprendre les limites de la science.
Il y a une excellente occasion en ce moment pour observer le comportement d’un consensus scientifique. D’une part, une grande majorité des scientifiques atmosphériques rapportent une quasi-certitude que le climat se réchauffe, et que l’homme en est la cause. Ce consensus atteint des proportions internationales, motivant des conférences mondiales sur la façon d’atténuer les changements catastrophiques qu’ils prédisent, tels que la hausse du niveau des mers, la sécheresse et les extinctions d’espèces. Les traités sont en cours d’écriture qui pourraient avoir des effets drastiques sur les économies nationales et le commerce – parce que le consensus scientifique dit qu’une catastrophe arrive si nous n’agissons pas. Ils s’appuient généralement sur l’autorité de la science pour assoir leur confiance.
Obama (prix Nobel de la Paix) menace le Vénézuela
Rejet mondial de l’agression des États-Unis contre le Venezuela
L’annonce faite par la Maison-Blanche de décréter un état d’urgence nationale, dans le but de briser l’ordre constitutionnel au Venezuela, a unanimement été rejeté par la communauté internationale.
Le 9 mars 2015, Barack Obama a signé un ordre exécutif et a décrété un « état d’urgence » aux Etats-Unis en raison de la « menace inhabituelle et extraordinaire » que représenterait le Venezuela pour la sécurité nationale. Cette décision, hostile à l’égard d’une autre nation souveraine, est d’une extrême gravité et s’est accompagnée de nouvelles sanctions contre plusieurs fonctionnaires du gouvernement de la République latino-américaine.[1]
Pour justifier une telle décision, la Maison-Blanche évoque « l’intimidation des opposants politiques » au Venezuela, exige « le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales » et demande « la libération de tous les prisonniers politiques, y compris des dizaines d’étudiants, le leader de l’opposition Leopoldo López ainsi que les maires Daniel Ceballos et Antonio Ledezma »,… mais n’évoque aucune menace concrète contre les Etats-Unis.[2]