L’humanité actuelle n’est qu’une partie de l’humanité originelle

Commentaire: L’ « homo sapiens sapiens » n’est qu’une sous espèce (issue de Noé et sa famille) d’une espèce humaine antédiluvienne beaucoup plus vaste et anéantie du jour au lendemain par le déluge en ne laissant quasiment aucune trace. D’où le terme « d’espèce fantôme » utilisé dans cet article.
A cette époque, la richesse génétique et ses variations morphologiques étaient bien plus vastes que celles actuelles qui ont subi un goulot d’étranglement génétique par la survie de seulement 8 personnes après cette catastrophe. Cette « puissance » génétique disparue permettait aux anciens humains d’avoir une espérance de vie de près de 1000 ans, selon les âges des patriarches donnés dans le livre de la Genèse.

D’après une étude, d’anciens humains ont eu des rapports sexuels avec une autre espèce.

La recherche montre que les êtres humains anciens ont eu des rapports sexuels avec des êtres non humains « une espèce fantôme ».

De nouvelles recherches montrent que les êtres humains anciens avaient des rapports sexuels avec une espèce non humaine.

D’après une étude menée par Omer Gokcumen, un professeur auxiliaire de sciences biologiques à l’Université de Buffle, les êtres humains anciens avaient des rapports sexuels avec une « espèce fantôme » de « proto humain. »

Gokcumen explique que les êtres humains sont seulement un membre d’une espèce plus générale nommé « hominins. »

Les recherches ont trouvé que les êtres humains ont eu des rapports sexuels avec d’autres membres du groupe d’hominins.

Gokcumen a trouvé des gènes « très différents » dans l’ADN d’êtres humains qui habitent en Afrique Subsaharienne. Il pense que ces gènes peuvent être tracés jusqu’à il y a approximativement 150,000 ans, quand les êtres humains anciens se reproduisaient avec cette mystérieuse « espèce fantôme ».

Cette autre espèce est référencée à par la communauté scientifique comme une « espèce fantôme » car il n’a aucun fossile connu qui puisse être analysé.

« Il semble que le croisement entre différentes espèces d’hominins primitifs n’est pas l’exception – c’est la norme », Gokcumen a-t-il indiqué, cité par le journal le Sun.

« Basée sur notre analyse, l’explication la plus plausible pour cette variation extrême est une introgression archaïque – l’introduction de matière génétique d’une ‘espèce fantôme’ d’hominins anciens. »

Source : https://fr.sott.net/article/30906-La-recherche-montre-que-les-etres-humains-anciens-ont-eu-des-rapports-sexuels-avec-des-etres-non-humains-une-espece-fantome



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