Du carbone-14 trouvé dans des fossiles de dinosaure

par Brian Thomas, M. S. *

La nouvelle science met directement en cause le dogme des millions d’années dispersé dans le film à succès Jurassic World. L’édition du printemps 2015 du Creation Research Society Quarterly (CRSQ) est un numéro spécial qui se concentre sur l’étude des protéines de dinosaures à l’intérieur des os fossiles. Le dernier article dans le numéro présente des datations par le carbone 14 jamais vues auparavant pour différents fossiles, y compris des dinosaures. Parce que le radiocarbone se désintègre assez rapidement, des fossiles qui sont vieux, même de 100000 ans ne devraient pratiquement contenir aucun radiocarbone.1 Pourtant c’est le cas.

Les personnages de Jurassic World mentionnent à plusieurs reprises « il y a des millions d’années » dans le contexte de leurs dinosaures. Dans le film, des scientifiques fictifs essentiellement ressuscitent et reconçoivent génétiquement des dinosaures, ptérosaures, et même un mosasaure géant – des créatures prétendument disparues il y a 65-75000000 ans.

Les auteurs de l’étude du CRSQ ont testés sept ossements de dinosaures, dont un Tricératops en provenance du Montana, des hadrosauridés, un poisson spatule cartilagineux, un poisson osseux, et du bois d’apparence fraîche et des os de lézard provenant de couches du Permien au Canada et dans l’Oklahoma. Cinq laboratoires commerciaux et académiques différents ont détectés du carbone 14 dans tous les échantillons, que les roches mères soit du Cénozoïque, Mésozoïque, ou du Paléozoïque. Comment ce radiocarbone est-il arrivé là?

L’équipe a également comparé les résultats à plusieurs dizaines de résultats publiés de datation au carbone 14 pour des fossiles, du bois et du charbon provenant de partout dans le monde et à travers la colonne géologique. Des quantités comparables de radiocarbone ont été mises en évidence dans près de 50 échantillons au total.2

Les défenseurs
des échelles de temps évolutionnistes devront affirmer que le radiocarbone est venu d’une sorte de contamination, où du carbone récent ou actuel s’est en quelque sorte introduit dans tous ces échantillons. Cela a déjà été soutenu auparavant, mais le processus de test lui-même est chargé de procédures qui éliminent rigoureusement les contaminants.

Les chercheurs séculiers détectent régulièrement du radiocarbone dans des matériaux contenant du carbone comme le charbon, le pétrole, le marbre et le diamant – des matériaux qu’ils souhaitent utiliser comme des normes « sans carbone ». Si la contamination est vraiment à blâmer pour ces résultats, alors pourquoi apparaît-il dans des matériaux prétendument aussi anciens ainsi que dans chaque fossile dans le rapport du CRSQ? Les prétentions sommaires de contamination perdent de leur force avec chaque nouvelle datation au carbone documentée de matériaux vraiment anciens.

Jurassic World offre un bon divertissement tant que les téléspectateurs oublient sa mauvaise science. Les expériences du monde réel infirment la faisabilité de la réalisation de procédures de « dé-extinction » impossibles et affirmations répétées de « millions d’années. »

Références

  1. Thomas, B. and V. Nelson. 2015. Radiocarbon in Dinosaur and Other Fossils. Creation Research Society Quarterly. 51(4): 299-311.
  2. Chacun des 14 spécimens avaient des âges radiocarbones BP (avant le présent) compris entre 17 850 et 49 470 ans, correspondant à des âges attribués par l’évolutionnisme de 10 millions et 280 millions d’années, respectivement. Les années radiocarbone ne correspondent pas à des années civiles en raison de changements passés du taux de formation du carbone 14 et de la teneur en carbone.

*Mr Thomas est rédacteur scientifique à l’Institute for Creation Research.

Article posté 6 juillet, 2015.

Source : http://www.icr.org/article/8822



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