La communauté Amish est épargnée par l’autisme (et par la plupart des maladies civilisationnelles)

On compte seulement trois autistes chez les Amish, pourquoi si peu?

Fabrice Renault

Ils sont trois autistes chez les Amish, là où on en s’attendrait à en trouver environ 200 ! Cette statistique pour le moins troublante a une explication. Probablement, ne la connaissez-vous pas et pour cause. L’inavouable raison du peu de cas d’autisme chez les Amish ne relève pas d’un facteur chance, vous vous en doutez. Mais alors qu’est ce qui fait que les membres de cette communauté ne développent pas, ou si peu, l’autisme ? Une maladie qui par ailleurs, concerne plus d’une naissance sur 100 de nos jours !

N’allez surtout pas dire que les vaccins ne fonctionnent pas, ou peu, ou qu’ils sont un facteur déclenchant de l’autisme… au risque de vous attirer les foudres de l’establishment médical. Le lien entre vaccins et autisme a beau avoir été mis à jour, le seul fait d’en parler vous fait basculer dans le camp des anti-vaccins, complotistes et autres qualifications peu flatteuses. J’en ai moi-même fais les frais, mais peu m’importe.

Même si certains vaccins remplissent parfois leur rôle, cela vaut-il la peine de courir le risque qu’ils font prendre pour la santé ? Bonne question, en tout cas s’interroger n’est certainement pas inutile. C’est probablement ce que chacun ferait s’il connaissait certaines statistiques pour le moins inquiétantes. Par exemple, les enfants qui reçoivent des vaccins contenant du mercure sont 27 fois plus susceptibles que les autres, de développer l’autisme. C’est une récente étude basée sur les propres données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) qui l’affirme !

Aux USA, les pédiatres n’ont pas le droit de remettre en cause la vaccination, ni même de soulever des questions susceptibles de créer un débat. Ils ne peuvent déroger aux obligations légales ordonnées par la CDC. L’AMA (American Medical Association) veille au grain et n’hésite pas à discréditer les médecins récalcitrants. Certains ont été rayés de l’ordre des médecins et ne peuvent donc plus exercer. Voici la question qui devrait être posée, celle qui fâche : les nouveaux cas d’autisme déclarés diminueraient-ils soudainement, si le mercure n’entrait plus dans la composition des vaccins, y compris le vaccin contre la grippe ?
Pour bien comprendre, sachez qu’aucun enfant ne naît autiste. La maladie apparaît durant la petite enfance ou l’enfance. Elle est provoquée par une surcharge de neurotoxines consommées, injectées ou ingérées à partir d’un ou plusieurs facteurs environnementaux. Dans les faits : l’augmentation des troubles du spectre autistique au cours des deux dernières décennies aux États-Unis, coïncide directement avec l’augmentation du calendrier vaccinal imposé par les CDC, en quantité et en fréquence.

Pour savoir pourquoi l’autisme est presque inexistant dans la communauté Amish, il faut considérer que les Amish ont été « coupés » du progrès scientifique et médical depuis des siècles. Ainsi, ils ont été beaucoup moins exposés aux principaux facteurs déclencheurs de l’autisme, y compris aux vaccins controversés.

Si vous aviez un jour la possibilité de vous rendre en Pennsylvanie hollandaise, vous auriez très peu de chance de rencontrer un enfant Amish autiste. Rapporté aux statistiques globales de la population américaine, il devrait y avoir environ 200 personnes autistes dans la communauté Amish. Mais à ce jour, elles sont trois… L’une d’elle est issue d’une adoption, originaire de Chine. Parmi ces trois malades, un autre a été vacciné et a développé l’autisme peu de temps après.

Ces statistiques à prendre en considération

L’autisme touche plus de 20 millions de personnes dans le monde. Les sujets masculins sont quatre à cinq fois plus nombreux que les filles. Aux États-Unis, un enfant sur 68 développe un trouble du spectre de l’autisme (TSA), soit une augmentation de 30% par rapport à l’année 2012… à peine cinq ans auparavant !

Vous vous demandez comment on en est-on arrivé là ? Les enfants aux États-Unis reçoivent 50 inoculations avant l’âge de sept ans, dont beaucoup sont des combinaisons contenant de multiples souches de maladie. La majorité de ces injections contient également du mercure, du formaldéhyde (oui, le liquide avec lequel on embaume les morts), du glutamate monosodique et de l’aluminium, pour ne nommer que quelques-uns des neurotoxiques présents.

Les vaccins contre la grippe sont ceux contenant le plus de mercure, jusqu’à 25 000 fois ce que l’EPA autorise au maximum dans l’eau potable et les poissons comestibles. Vous l’ignoriez ? C’est bien normal, ce genre d’information n’est pas donnée au grand public et pour cause : le mercure est le deuxième élément le plus toxique connu pour l’être humain.

De par leurs croyances religieuses, les Amish refusent la vaccination

Heureusement pour les Amish, ils font aussi le choix de ne pas recevoir trois des vaccins parmi les plus controversés aujourd’hui sur le marché :

– celui de l’hépatite B,
– le VPH (papillomavirus humain),
– et bien sûr le ROR (rougeole, oreillons, rubéole).

De l’aveu même des CDC, ces trois vaccins ont un lien indiscutable dans l’apparition des troubles du spectre autistique. Ce trois « suspects » représentent malheureusement la plus grande campagne de vaccinations jamais entreprise dans l’histoire. En contradiction avec les allégations des CDC, la version multidoses du vaccin contre l’hépatite B contient encore du thimérosal (voir fiche Wiki).

Le système nerveux central immature et le foie des nouveaux-nés Amish sont eux épargnés par cette toxine volatile, grâce aux croyances religieuses de leurs parents. Dans les faits, les enfants Amish de développent pratiquement aucun trouble de l’apprentissage. La communauté Amish est également épargnée par d’autres maladies pourtant très présentent aux États-Unis comme les cancers, les maladies cardiaques et le diabète. Au-delà du refus de la vaccination, d’autres situations pourraient l’expliquer : les Amish ne mangent pas de produits OGM et ils ne consomment pas de produits pharmaceutiques chimiques.

Il est probable qu’aucun organisme réglementaire géré par le gouvernement ne réalisera d’étude comparative dans ce sens… mais la réalité parle d’elle-même. La santé des Amish est largement meilleur que celle des autres communautés présentes sur le sol américain.

Pourtant, la CDC refuse toujours de réglementer l’industrie des vaccins. Elle favorise ainsi l’utilisation des dangereux produits chimiques toxiques, des métaux lourds, des substances cancérogènes et des conservateurs mortels comme le mercure.

Il est indispensable de réfléchir à un style de vie plus naturel et de reconsidérer notre rapport à la médecine de nos jours, si nous ne voulons pas être obligé de subir toute une cargaison permanente et invalidante « d’effets secondaires »… mortels. L’enjeu est de parvenir à préserver notre immunité face aux grandes maladies de ce siècle.

Cet article traite de la situation des États-unis certes, mais la situation des pays occidentaux, notamment en Europe, n’est guerre très différente. Pour le moins, cela doit vous donner matière à réfléchir. Maintenant, si certains attendent que les organismes officiels de l’État confirment ces suspicions… libre à eux. Ils peuvent tout aussi bien croire au Père Noël, l’effet sera le même.

Je me permets de leur rappeler cependant l’existence de précédents scandales sanitaires incroyables en leur temps, mais finalement bien réels, comme celui du sang contaminé, ou encore celui de l’amiante.

Et d’ajouter pour terminer cet article, à qui voudra bien l’entendre : je ne remets pas en cause la vaccination, je remets en cause la présence de mercure (essentiellement, mais pas que) dans les vaccins !

Les experts nous mentent, les gouvernements sont complices, les gens meurent de cette situation. N’attendez pas d’être malade pour réagir et partagez cette info capitale avec vos amis pour leur permettre de se préserver :

Source : https://www.mieux-vivre-autrement.com/seulement-trois-autistes-chez-les-amish-pourquoi-si-peu.html



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