Darwinisme et théorie de l’information

http://www.icr.org/article/8192/

D’éminents scientifiques réfutent l’évolution, deuxième partie
par Brian Thomas, M.S. *

En 2011, 29 scientifiques de premier plan adeptes du dessein intelligent ont tenu un colloque sur l’information biologique au cours duquel ils ont comparé l’explication darwinienne standard des origines à d’étonnantes nouvelles découvertes sur les langues biologiques. Le deuxième thème majeur parmi les présentations du groupe traitait des « difficultés dans la création de l’information biologique. » En substance, ils ont essayé de réorganiser des aspects de la création de l’information. Qu’ont-ils découvert?

Le généticien John Sanford, principal organisateur du colloque sur l’information biologique, a utilement résumé les procédures techniques dans un document intitulé, Biological Information: New Perspectives. A Synopsis and Limited Commentary.1 Le document résumait des évaluations de tentatives numériques évolutionnistes pour envisager comment la sélection naturelle pourrait générer de l’information, par exemple avec le logiciel Tierra.

Dans un papier, le Dr Ewert, un ingénieur en électricité et en informatique, avec le mathématicien et philosophe William Dembski et l’ingénieur en informatique Robert Marks II, a montré que Tierra n’a pas pu faire apparaître d’informations dans les simulations informatiques, même si son programmeur a intégré des paramètres irréalistes, en faveur de l’évolution dans le logiciel.

Avida est considéré comme une preuve de « l’évolution numérique, » mais les scientifiques du Symposium ont mis à nu ses horribles défauts. Plus particulièrement, les évolutionnistes ont ajouté « d’énormes quantités de conception concentrée » dans le logiciel Avida.1 Pas étonnant qu’il montre de l’évolution, il a été truqué. Pourtant, lorsque des paramètres biologiquement réalistes sont intégrés, Avida ne montre aucune augmentation de l’information, en fin de compte.

Dans un autre article, le mathématicien le Dr Basener a calculé que la sélection naturelle ne peut pas générer de nouvelles informations parce que toute avance de l’évolution s’arrête une fois qu’un trait devient optimisé à son environnement. Donc, à la fois mathématiquement et dans la biologie de la vie réelle, la sélection conduit à un organisme stabilisé, non-évolutif.

Dans un troisième papier, le Dr Sanford décrit les recherches qu’il avait fait révélant que même si une mutation survient – une qui ne tue pas ou n’handicape pas une créature – elle ne produit généralement qu’un effet si minuscule que la sélection naturelle ne le détecte jamais. En d’autres termes, la capacité de survie d’un organisme est essentiellement égale à celle de son voisin dans une population, de sorte que des facteurs extérieurs comme des prédateurs ou des conditions météorologiques les affectent également. De plus, même si l’on imagine une mutation bénéfique apparaissant dans une population, elle devient totalement submergée par un très grand nombre des mutations très légèrement délétères, et invisibles. De cette façon, l’information génétique est sûre de diminuer constamment.

Dans un quatrième article, les biochimistes Doug Axe et Ann Gauger ont considéré comment et pourquoi des mutations modifieraient théoriquement des caractéristiques existantes et à partir duquel de ces traits la nature pourraient théoriquement opérer une sélection. La sélection ne bricolerait pas avec un gène qui est déjà nécessaire à la vie cellulaire, de sorte que les biologistes évolutionnistes supposent que des copies supplémentaires sont effectuées. Cependant, les co-auteurs de l’article ont constaté que la cellule arrête la production, l’expédition, et le balayage les copies supplémentaires théoriques bien avant que la copie gagne de nouvelles informations par des mutations aléatoires.

Que faut-il pour faire un langage riche en information? De toute évidence, la prévoyance est nécessaire, et la sélection néo-darwinienne de mutants n’utilise pas de prévoyance. Pas étonnant qu’elle échoue tristement à produire l’information contenue dans les cellules.

Références

1. Sanford, J.C. 2014. Biological Information: New Perspectives. A Synopsis and Limited Commentary. Waterloo, NY: FMS Publications.

* Mr. Thomas est rédacteur scientifique à l’Institute for Creation Research
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