ADN contemporain vs ADN antidéluvien

L’ADN ne disparait pas du jour au lendemain mais se désagrège petit à petit en fragments de plus en plus petit, de quelques milliers à quelques centaines de milliers de paires de bases (selon l’ancienneté du fossile et de la manière dont il a été plus ou moins conservé).

Pour les humains antédiluviens et au même titre que le mammouth, on peut prélever plusieurs fragments d’adn et les comparer au notre à l’emplacement du génome qui correspond à ses fragments et l’on n’a pas vu
de différences telles que ces différences le définiraient comme une autre espèce.

On a en revanche identifié uniquement des caractéristiques de variants génétiques permis au sein de la variabilité de l’espèce humaine mais inédites et n’apparaissant dans aucune ethnie existante.
Ce sont des spécificités ethniques qui appartiennent à une ethnie disparue rien de plus.

Néanmoins, par orgueil de supériorité « sapions sapions », les scientifiques, comme ils ont affaire à une ethnie
disparue, parlent de ces caractéristiques comme de caractéristiques « archaïques » pour la simple raison qu’ils n’existent plus, alors que sur le plan évolutif, rien ne justifie une telle qualification.

Cela montre qu’avant le déluge il y avait beaucoup plus d’ethnies et donc de variants (et donc plus de richesse génétiques) que ceux représentés par les ethnies actuelles. En fait, l’homo « sapions sapions » est une sous-catégorie, une sous-représentation, une sous-espèce de l’ensemble du patrimoine génétique originel, un appauvrissement dû au déluge et qui a eu pour conséquence une chute brutale de l’espérance de vie.



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