En recalibrant l’horloge mitochondriale, la première femme remonte à 6000 ans

Résumé
Des études d’ADN sur les restes du dernier tsar russe, Nicolas II, illustrent des questions troublantes en médecine légale et dans la datation des événements évolutifs. Le tsar a hérité de deux séquences différentes d’ADN mitochondrial (ADNmt) de sa mère, une condition connue sous le nom d’hétéroplasmie qui était auparavant considérée comme rare, mais dont de nouvelles études montrent qu’elle peut se produire chez au moins 10% et probablement 20% de tous les humains.

Cela peut signifier que l’ADNmt peut muter peut-être jusqu’à 20 fois plus rapidement que prévu, selon deux études controversées. Puisque les évolutionnistes ont supposé que les mutations de l’ADNmt se produisent à un rythme régulier, ces études jettent le doute sur la datation d’événements tels que le peuplement de l’Europe. Les nouveaux résultats suggèrent déjà des changements dans les procédures de médecine légale concernant l’ADN.

Extrait intéressant :  « Les évolutionnistes sont plus préoccupés par l’effet d’un taux de mutation plus rapide. Par exemple, les chercheurs ont calculé que l' »Ève mitochondriale » -la femme dont l’ADNmt était l’ancêtre de celui de tous les êtres vivants- a vécu il y a 100 000 à 200 000 ans en Afrique. En utilisant la nouvelle horloge, elle aurait vécu il y a seulement 6000 ans. »

Source : reference_romanovs



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