Pfizer teste son ARNm sur les enfants et dissimule ses effets

La Commission européenne des médicaments détient le rapport d’évaluation de Pfizer-BioNTecj sur Comirnati, dit vaccin à ARNm covid-19 administrés à des enfants. Tout le monde peut y avoir accès, sauf que la langue de l’Union européenne est l’américain et que de nombreux tableaux sont remplacés par des blocs noirs. Donc les essais sont aussi transparents qu’un document déclassifié et caviardé par la CIA. On ne va donc lire que ce qu’on nous permet de lire.

Dans l’étude de Pfizer, Comirnaty, a été administré à 2260 adolescents de 12 à 15 ans sur un total de participants effectifs : 1131 ; placebo : 1129. La même dose (30μg) et le même schéma posologique que pour les sujets adultes ont été utilisés.

Pourquoi certains participants ont quitté les essais avant la fin 

– Abandon après la dose 1 et avant la dose 2
– Abandon après la dose 2 et avant la visite d’un mois après la dose 2
– Raison de l’arrêt de la période de vaccination
– 
Retrait du sujet
– Grossesse
– Événement indésirable
– 
Décision du médecin
– 
Déviation du protocole
– 
Perdu au suivi

Ne cherchez pas les motifs de ces abandons : Pfizer les a remplacés par un bloc noir.

Les effets indésirables de l’essai

La liste des effets indésirables est lisible. Elle est longue, très longue. Rien n’a été oublié, certains semblent même anecdotiques, sauf que l’essentiel — leur nombre, leur gravité — a été entièrement recouvert d’un bloc noir avec « BLD » pour « Interim results of an ongoing clinical trial impacting study blinding » (soit résultats intermédiaires d’un essai clinique en cours ayant un impact sur l’aveuglement de l’étude).

Des effets secondaires, mais bénins. Vraiment ?

« Les effets secondaires les plus fréquents chez les enfants âgés de 12 à 15 ans sont similaires à ceux observés chez les personnes âgées de 16 ans et plus. Ils comprennent la douleur au point d’injection, la fatigue, les maux de tête, les douleurs musculaires et articulaires, les frissons et la fièvre. Ces effets sont généralement légers ou modérés et s’améliorent dans les quelques jours suivant la vaccination. »

Pourquoi avoir censuré le détail des réactions indésirables ? Pourquoi ne pas avoir tenu compte des morts post-vaccination hors essais, chez les enfants comme chez les adultes ?

Des effets secondaires ? Peut-être. On ne sait pas

« Le comité de l’Agence européenne des médicaments (CHMP) a également noté qu’en raison du nombre limité d’enfants inclus dans l’étude, l’essai n’aurait pas pu détecter les effets secondaires rares. Le comité a également noté que le comité de sécurité PRAC de l’EMA évalue actuellement des cas très rares de myocardite et de péricardite survenus après la vaccination avec Comirnaty, principalement chez des personnes de moins de 30 ans. Actuellement, rien n’indique que ces cas soient dus au vaccin et l’EMA suit de près cette question. »

Tout comme rien n’indique que Maxime, 22 ans, soit décédé suite à l’injection du vaccin qui aurait pu lui causer une allergie alimentaire (voir liste des effets au-dessus). Les médias nous l’ont dit, c’est une « mort tragique »  due à une « allergie alimentaire grave » selon des « sources médicales concordantes ».

L’essai est trop limité pour apporter des réponses

« Le nombre de sujets adolescents âgés de 12 à 15 ans inclus dans l’étude est limité, ce qui ne permet pas de détecter des effets indésirables rares. Un nombre rassurant de sujets adultes a été exposé au vaccin (>300 millions) sans qu’aucun problème de sécurité grave et émergent n’apparaisse. Cependant, si des effets indésirables rares devaient survenir spécifiquement ou plus fréquemment chez les adolescents que chez les adultes, il ne serait pas possible de les détecter dans cette étude. »

C’est bien quand même : les « bénéfices » l’emportent !

Malgré cette incertitude, le CHMP a considéré que les bénéfices de Comirnaty chez les enfants âgés de 12 à 15 ans l’emportent sur les risques, en particulier chez les enfants présentant des conditions qui augmentent le risque de covid-19 sévère.

En route vers l’Autorisation de mise sur le marché !

Le comité de l’Agence européenne des médicaments a conclu que les bénéfices de Comirnaty dans ce groupe d’âge l’emportent sur les risques.

Audrey et Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

Source : https://lemediaen442.fr/pfizer-teste-son-arnm-sur-les-enfants-et-dissimule-ses-effets/

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