L’histoire du déluge dans la Bible

« L’an 600 de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent, et les écluses des cieux s’ouvrirent. Et le déluge fut sur la terre 40 jours, et toutes les montagnes qui étaient sous tous les cieux furent couvertes. » (Genèse 7 versets 11, 17 et19)

Quel rapport peut-il y avoir entre un événement de la Bible survenu il y a si longtemps (à savoir un déluge ayant inondé notre planète) il y a de cela plusieurs millénaires, et les jours actuels ?
Nous avons de cet événement deux enseignements bien utiles à tirer. Tout d’abord, le fait que le monde de ce temps-là ait été détruit par un déluge universel, à cause de la méchanceté et de la violence des hommes, nous fait réfléchir sérieusement sur le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel. Deuxièmement, s’il nous est possible d’être pleinement assurés qu’un événement de la Bible aussi extraordinaire que le déluge est vrai, ceci va nous pousser à prendre très au sérieux les mises en garde du Nouveau Testament, et à croire enfin que la Bible est vraie et que rien de ce qui y est écrit ne l’a été à la légère.
En nous laissant instruire par cet exemple du passé, essayons de voir dans quelle mesure tout ce que la Bible nous raconte de cet événement, est réellement arrivé.

Les faits : la Terre parle

La Bible nous dit qu’à l’époque de Noé, les hommes avaient « rempli la terre de violence », tout comme ils l’ont fait de nos jours. Quelle en fut la conséquence, toujours selon la Bible :  » Parce que toute chair avait corrompue sa voie sur la terre, Dieu annonça à Noé qu’au moyen d’un déluge, il allait détruire ce monde d’hommes violents. Noé devait bâtir une arche immense, pour sauver sa famille et toutes les espèces d’oiseaux et d’animaux terrestres. Puis, Dieu fit tomber les eaux du déluge, qui couvrirent les montagnes les plus élevées. De tous les hommes, seuls survécurent ceux qui avaient pris place dans l’arche, c’est-à-dire Noé et sa famille.  » (voir Genèse 6 versets 12 à 13 et 7 versets 1 à 24).

S’agit-il là de faits authentiques ? Des preuves solides nous permettent d’en être convaincus. Le déluge en effet, a laissé, en plus des preuves d’un changement de climat, les traces d’une brusque dévastation sur toute la surface du globe.

Voici ce qu’à dit un scientifique, Monsieur Hapgoog : « L’une des grandes destructions de vie se produisit à la fin de la dernière période glaciaire. D’après la datation des carottes prélevées au fond de la mer de Ross, la dernière période glaciaire ne commença qu’il y a 6000 ans. Des bouleversements gigantesques ont enfoui des fossiles bien au-dessous de matériaux terrestres énormément plus vieux qu’eux. Il y a des signes indiquant que de grandes étendues de la Terre furent inondées en quelques temps. » (Revue Newsweek, 23 décembre 1963).

Les restes d’animaux

Le caractère instantané de cette catastrophe universelle, nous est révélé par l’état des restes des animaux retrouvés dans la région arctique, où des millions de bêtes ont été, à une époque géologique assez récente, tuées subitement et instantanément congelées dans la boue et la glace du sous-sol arctique.
On dirait que des troupes d’animaux qui paissaient ou chassaient ont été subitement soulevées par un énorme ras-de-marée et déposées sur des bandes de terre le long du nord du Canada, de l’Alaska et de la Sibérie. Elles sont toujours là par millions, sous forme de tas d’ossements de chair et de fourrure. Souvent il s’agit d’espèces qui normalement ne vivaient pas ensemble. La façon dont ils ont été ensevelis, laisse supposer qu’ils sont tous morts en même temps, et qu’ensuite ils ont été transportés pêle-mêle par des forces très grandes.

Le docteur Frank Hibbon, professeur d’archéologie au Nouveau-Mexique, a visité cette région au cours d’une expédition ayant pour but l’étude des mammouths de l’Alaska. Il a observé à propos de la confusion des restes gelés de chevaux, de bisons, de tigres dents-de-sabre, de lions, de cerfs, d’ours et de mammouths : « Nous trouvons aussi parmi la boue d’Alaska, des preuves de bouleversements atmosphériques d’une violence extraordinaire ! Les mammouths et les bisons étaient également déchiquetés et tordus, comme par une main cosmique, sous l’effet d’une colère céleste. On dirait que, sous l’effet de quelque catastrophe, tout l’univers animal et végétal de l’Alaska a été soudainement congelé sur place, dans toutes les attitudes de la mort. Des pattes, des corps, des têtes, des fragments, ont été trouvés entassés ou dispersés, des animaux déchiquetés ont été projetés à travers la campagne, bien qu’ils eussent peut-être pesés plusieurs tonnes. »

Dans son ouvrage « LA TERRE CETTE INCONNUE », François Derrey, fait état du même phénomène et ajoute : « Les fosses de l’Alaska ne constituent pas un cas isolé. On a retrouvé de par le monde les traces de nombreux tas de cadavres de ce genre, où s’entassent les restes broyés de milliers d’animaux. »
Dans l’océan Arctique, au large de la Sibérie, il y a des îles dont l’une, Liedkoff, semble être entièrement composée de défenses et d’ossements de grands mammifères. Elle est entourée de corniches sous-marines formées elles aussi d’ossements.

Dans les grottes et sur les collines d’Europe Centrale, des ossuaires de différentes espèces d’animaux (Rhinocéros, chevaux, lions, cerfs, horoxs, loups) tous massés ensemble, sont une preuve des plus convaincantes de la soudaineté du Déluge.

Manuel Vélikovsky, nous décrit dans l’un de ses ouvrages (« MONDES EN COLLISION »), les effets de cette catastrophe dans le monde entier : « En de nombreux points de la terre, sur tous les continents, on a trouvé entremêlés les ossements d’animaux marins, d’animaux polaires et d’animaux tropicaux… . Sur les hautes montagnes et dans les mers profondes, nous trouvons d’innombrables signes d’un grand bouleversement ancien. »

Le caractère universel d’un désastre préhistorique et la disparition apparemment inexplicable d’espèces entières, a été commentée par Charles Darwin, à la suite des recherches zoologiques qu’il a effectué pour « L’ORIGINE DES ESPECES ». Il écrivait : « L’esprit, ne peut s’empêcher de croire à quelque grande catastrophe. Mais pour détruire ainsi des animaux grands et petits, en Patagonie du Sud, au Brésil, sur la Cordillère du Pérou, en Amérique du Nord jusqu’au détroit de Béring, il a fallu que toute la base du globe terrestre soit secouée. »

Ces indices sont exactement ceux qu’on s’attendrait à trouver, après la chute d’une immense voûte de vapeur d’eau. Les régions polaires furent brusquement plongées dans un état de gel intense les animaux qui se trouvaient dans cette région ou tout près périrent gelés sur place. Ceux qui se trouvaient ailleurs furent ensevelis en très grand nombre, sous des amas de terre et des débris. Ces faits ne peuvent s’expliquer ni par une mort naturelle, ni par noyade normale, ni par la mort à la suite d’une maladie. Ils ne deviennent compréhensibles que dans la perspective d’un déluge universel, accompagné d’un changement de climat quasi instantané.

Traditions d’un déluge universel

S’il y a eu un déluge universel, on peut s’attendre à ce que le souvenir d’une telle catastrophe se soit longtemps conservé parmi les hommes. Les histoires ayant trait au Déluge qui nous sont parvenues de l’antiquité, prouvent que dans toutes les parties du monde la race humaine s’est souvenue d’une époque de grande inondation et destruction.

Dans presque toutes les traditions, Dieu ou une divinité particulière, voulait détruire la race humaine toute entière à l’exception de quelques individus et tout recommencer. Les péchés varient très peu d’une légende à l’autre. Les raisons données sont généralement que l’homme était devenu trop orgueilleux et n’obéissaient plus à la volonté divine, trop corrompus et trop violents, et que, selon les termes de la Bible, « son coeur ne formait que des mauvais desseins à longueur de journée ».

Le récit biblique du Déluge est confirmé par les histoires de déluges des chinois, des grecs, des britanniques et des mexicains

Le récit appelé « l’épopée de Gilgamech » relatant un déluge très semblable à celui de la Genèse, raconte comment le héros du d(luge, Upnapishtin (Noé), échappa à la destruction totale de l’humanité. On a trouvé aussi une autre histoire de Déluge écrite en sumérien, langue qui est antérieure à la fois à l’assyrien et au babylonien.
Sir James Frazer, anthropologue renommé, a recueilli des traditions sur le d(luge dans les endroits les plus reculés et les plus variés, tels que les Iles-sous-le-Vent, le Bingual, la Chine et la Malésie.

En 1872, un archéologue amateur du nom de Georges Smith, réussit à reconstituer des tablettes brisées que l’on avait retrouvé dans le sol à l’emplacement de l’ancienne Ninive (lieu où Noé construisit l’arche). Ces tablettes remontant à plusieurs milliers d’années, racontaient l’histoire du déluge et confirmaient le récit de l’Ancien Testament jusqu’au plus petit détail. Ces tablettes ont dû être écrites alors qu’on se souvenait encore de façon très nette du déluge.

Plusieurs peuples dans le monde entier possèdent des traditions d’un grand déluge, auquel seuls quelques élus survécurent. Le livre « Cible : La Terre », déclare à ce propos : « Dans le cours normal des événements, les inondations ne ¦ont pas générales et étendues au point de donner naissance à un déluge universel qui aurait tout exterminé.

Pourquoi presque toutes les races ont-elles dans leur folklore, cette histoire d’un grand déluge ? Pourquoi des peuples vivant loin de la mer dans une région sèche et montagneuse comme le Mexique ou l’Asie Centrale, possèdent-ils la légende d’un déluge ? Le caractère universel de l’histoire du déluge, est un des meilleurs arguments en faveur de son authenticité. » (1953, pages 239 à 253)

Le navire dans la glace

Cinq mois après le commencement du déluge, “ l’arche se posa sur les montagnes d’Ararat ”, probablement pas sur le sommet le plus élevé (presque 5 165 m), mais à un endroit approprié où tous les passagers vécurent dans de bonnes conditions quelques mois encore. Finalement, un an et dix jours après le commencement du déluge, la porte fut rouverte et tous ceux qui étaient à bord débarquèrent. — Genèse 7 verset 11 ; 8 verset 4 et 14.

Qu’est-il arrivé avec cette arche dont la Bible nous raconte qu’elle fut construite par Noé sous les instructions de Dieu pour échapper à la destruction ? Eh bien, elle existe toujours et elle repose dans une région presque inaccessible connue de l’homme depuis des millénaires.

Dans les cols enneigés du mont Arrarat, en Arménie, repose aujourd’hui enfouie dans le glacier de la montagne qui la garde jalousement, la seule relique qui a survécue au monde qui n’est plus : l’arche de Noé.

L’histoire biblique de l’arche venant toucher le sol dans les monts de l’Arrarat, a été crue dans l’ensemble du monde chrétien pendant presque deux mille ans et depuis plus longtemps dans d’autres civilisations encore plus anciennes : hébraïque, arménienne, syrienne, et mésopotamienne.

Témoignages de l’antiquité et du moyen âge, concernant l’arche de Noé

Des auteurs de l’Antiquité et du Moyen-Age parlaient de l’arche de Noé sur le mont Arrarat, comme d’un fait accepté par tous. En effet, à cette époque, on pouvait facilement voir l’arche en grimpant assez haut. Parfois même, la silhouette noire de l’arche était visible de la plaine sur le fond blanc de la neige.

Parmi ces auteurs de l’Antiquité, Épiphane de Salamine, allait même jusqu’à confirmer l’authenticité de sa foi dans les récits bibliques, par la présence de l’arche : « Aujourd’hui encore, on montre les restes de l’arche de Noé dans le pays des Kurdes. ».

Un autre auteur, du 3e siècle av. J.-C., Bérossus le babylonien, nous informe que les gens escaladaient la montagne jusqu’à l’arche, et en grattaient les parois extérieures pour recueillir des plaques de poix (une substance résineuse qui recouvrait le bateau en entier).

Le texte biblique en effet, nous précise que Dieu, lorsqu’il donna des instructions à Noé pour la construction de l’arche, lui dit : « Tu feras l’arche avec des loges, et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors. » (Genèse 6:14).

Un historien juif du premier siècle bien connu, Flavius Joseph, était lui aussi convaincu que la présence de l’arche était vraie et réelle. Il note, dans l’un de ses écrits, que le nom d’une ville proche de la montagne, Nakhchevan, veut dire en arménien « lieu d’accostage » (l’Arrarat se trouve en Arménie) ; et il ajoute : « Car c’est là que l’arche a touchée terre. Les arméniens en montrent des reliques jusqu’à ce jour. »

Marco Polo, ce voyageur italien infatigable, nous a laissé cette réflexion sur son passage à travers l’Arménie, et cela au 13e siècle ap. J.-C. : « Et vous devriez savoir que dans ce pays d’Arménie, l’arche de Noé repose toujours au sommet d’une haute montagne si constamment couverte de neige, que personne ne peut l’escalader. La neige ne fond jamais, à chaque chute elle devient plus profonde. »

En effet, le glacier de la montagne en certains endroits, a présentement atteint une épaisseur variant de 100 à 150 pieds. Et il est ainsi fort possible que l’épave de l’arche soit enfouie à l’intérieur de cette masse énorme de glace, ou même dans l’une ou l’autre des énormes crevasses qui se forment de temps à autre.
Il semble que les prises de vue récentes ayant été prises à bord d’avions ou d’hélicoptères, ont probablement été réalisées pendant des périodes de sécheresse, qui ont fait fondre la glace et dégager les restes de l’arche, ou encore à la suite de tremblements de terre. En effet, depuis le début du 20e siècle, de fréquents tremblements de terre ont changé l’aspect des lieux sur la montagne.

Témoignages modernes concernant l’arche de Noé

Au mois de mai 1883, un séisme a ouvert une partie de la montagne et a dégagé l’arche. Des fonctionnaires de la Turquie venus dans cette région pour évaluer les dégâts commis par le séisme, ont pu très bien voir une partie du bateau. Ceux-ci racontèrent avoir découvert une immense masse de bois foncé sortant d’un glacier, d’une hauteur de 12 à 15 mètres environ (la hauteur de l’arche construite par Noé était de 30 coudées, c’est-à-dire 15 mètres environ). Il était impossible d’en mesurer la longueur, tout simplement parce qu’une partie du bateau était enfoncée sous la glace. Un membre anglais de la commission inspecta l’intérieur de l’arche, et découvrit qu’elle était divisée en une série de compartiments de 5 mètres de haut. L’exactitude de cette observation est frappante, lorsque l’on sait que Noé fit 3 étages à l’intérieur de son arche (trois fois 5 mètres nous amène à 15 mètres ou 30 coudées). Finalement, après avoir regardé sous tous les angles ce vaisseau congelé sur la montagne, cette commission publia la nouvelle qu’elle avait retrouvé l’arche de Noé.

Une revue de Los Angeles, le « New Eden », publia en 1940 le récit étonnant de deux aviateurs russes, Lesin, et le premier lieutenant Zabolotsky, tous deux du troisième détachement de l’air des forces aériennes impériales, affectés à la fin de l’été 1916 à une base située à 40 km au nord-ouest du mont Arrarat. Voici un extrait de leur récit :  » Après 2 ou 3 km autour du sommet enneigé, puis un vol plané rapide et prolongé le long de la face sud, nous découvrîmes soudain un lac gelé, un vrai joyau bleu comme un saphir. Nous tournâmes en rond, puis revînmes pour jeter encore un coup d’oeil. Soudain, mon compagnon se retourna brusquement et hurla quelque chose, surexcité, en me montrant la décharge du lac. … Quelle curieuse embarcation, conçue comme si le constructeur se fut attendu à ce que les vagues la recouvre constamment, et l’eut fabriquée pour qu’elle roule dans la mer comme un tronc d’arbre ! me dis-je. … Nous sommes descendus aussi bas que le permettaient les règles de sécurité. En nous approchant, nous fûmes surpris par ses dimensions colossales, car elle était longue comme un pâté de maison et d’une taille comparable aux navires de guerre d’aujourd’hui. Sur l’un de ses côtés près de l’avant, il y avait un grand encadrement de porte de près de 6 mètres carrés.  » Ceci est tout à fait conforme au récit de la Genèse qui nous précise cette instruction de Dieu à Noé : « Et tu placera la porte de l’arche sur son côté. » (Genèse 6 verset 16).
 » … A notre retour, le capitaine nous posa quelques questions et finit par dire : « Emmenez-moi là-bas, je veux voir. » Nous fîmes le voyage sans incident, puis retournâmes à l’aéroport. « Cette étrange embarcation, expliqua le capitaine, est l’arche de Noé. Cela fait presque 5 000 ans qu’elle se trouve là. Étant gelée pendant 9 ou 10 mois de l’année, elle ne pouvait pas pourrir. » Lorsque le capitaine envoya son rapport au gouvernement russe, il éveilla un intérêt considérable, et le tsar envoya deux compagnies spéciales pour escalader la montagne. On prit les mesures complètes, on fit des plans ainsi que beaucoup de photographies, et le tout fut envoyé au tsar. On découvrit que l’arche contenait des centaines de petites chambres, certaines pièces étant très vastes et très hautes de plafond.  » La Parole de Dieu elle aussi, nous révèle comment l’intérieur de l’arche fut aménagé : « Tu feras l’arche avec des loges. » (Genèse 6 verset 14).
 » … Ces pièces étonnamment grandes étaient séparées en deux par une clôture faite de grands morceaux de bois, comme si elles avaient été destinées à contenir des réserves d’aliments d’animaux (fourrage, foin). D’autres pièces avaient tous les murs garnis de plusieurs rangées de cages, du genre que l’on voit aux expositions de volailles, avec cette différence qu’au lieu de grillage, elles avaient sur le devant des rangées de minuscules barreaux de fer. Tout était recouvert d’un épais revêtement ressemblant à de la gomme résineuse, et la construction du vaisseau portait la marque d’une civilisation très avancée. Le bois utilisé était de la famille du cyprès et qui ne pourrit pas facilement ; ce qui, ajouté au fait qu’il a été gelé presque tout le temps, explique son état de conservation parfaite. L’expédition trouva sur le pic de la montagne au-dessus du bateau, les restes de morceaux de charpentes qui manquaient à l’un de ses flancs. Quelques jours après que l’expédition eut envoyé son rapport au tsar, le gouvernement était renversé et les bolcheviques prirent le pouvoir. Ce qui fait que le rapport ne fut jamais publié et a probablement été détruit. Telle était l’ardeur des communistes à détruire toute religion et toute foi en la vérité de la Bible !  »

Cet intérêt des Russes pour l’arche de Noé continua cependant pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Un autre témoignage convaincant nous est parvenu de J Maskelin, commandant de l’armée soviétique pour le service de camouflage. Il vérifia ce que les officiers de l’air de l’armée impériale avaient rapportés en 1916, en envoyant un pilote faire un vol au-dessus du mont Arrarat. Le rapport fut positif. Celui-ci vit un grand navire enfoncé dans un lac gelé. De nouveau, une équipe de chercheurs fut envoyée sur les lieux, et leurs conclusions établirent que ce bateau ou cette barge était maintenant fossilisé et qu’il mesurait plus de 133 mètres de long La mesure de l’arche établie par la Genèse chapitre 6 verset 15 est de 300 coudées, ‘est-à-dire 135 mètres.

En 1949, plusieurs pilotes américains stationnés sur une base d’aviation en Turquie, purent très bien voir l’arche. Le témoignage de ceci nous est parvenu par le lieutenant Greggor Schwinghammer, alors pilote de la 428ième escadrille de vols tactiques. Ce que ce pilote de l’US Air Force a vu sur le mont Arrarat du haut de son F100, coïncide exactement avec tous les autres témoignages que nous avons recueilli jusqu’à présent. Voici ce qu’il nous dit :  » Lors de ce vol que j’ai effectué au-dessus de l’Arrarat, nous étions très nerveux ; car nous étions très près de la frontière russe, des radars, et des systèmes de défense. … Nous avons fait le tour du mont Arrarat en sens contraire des aiguilles d’une montre et, tout à coup, nous l’avons vue, couchée dans la neige sur une espèce de col. Ca ressemblait à une énorme barge rectangulaire échouée dans un ravin. Ma première réaction a été de me demander qui avait bien pu construire un bateau si haut dans la montagne. Lorsque nous l’avons survolé, j’ai pu voir qu’il était incliné, comme quelque chose de mobile qui était resté coincé là. La partie qui sortait de la neige et de la glace faisait de 10 à 13 mètres de large sur près de 33 mètres de long. L’embarcation était d’une couleur noirâtre. J’ai entendu dire plus tard que le glacier n’arrêtait pas de glisser vers le bas de la montagne, et que c’était pour ça que l’arche était visible de temps en temps. Tous les autres pilotes de l’escadrille voulaient y aller et ont couru des risques simplement pour l’apercevoir. Presque tous les pilotes de cette escadrille l’ont survolé au moins une fois.

Entre 1950 et 1970, beaucoup d’expéditions ont été organisées pour explorer le mont Arrarat. De nombreux alpinistes, voulant escalader la montagne, sont morts ou ont tout simplement disparus ; car, les dangers qui entourent l’escalade de cette montagne sont nombreux : les avalanches imprévisibles, les orages, les chutes de pierres, la neige et la glace, des fissures qui s’ouvrent tout à coup dans la glace.

On comprend donc plus facilement pourquoi ces tentatives pour atteindre l’arche ont souvent été sans résultats ! Toutefois, l’un d’entre eux, un alpiniste français, Fernand Navarra, à force de persévérance et de courage a vu ses efforts récompensés. Il dut s’y prendre à 3 reprises ( 1952, 1953, et 1955) avant de découvrir finalement, en creusant dans la neige très haut dans la montagne en 1955, des morceaux de poutres en bois sculpté. Un test de contrôle au carbone 14 et plusieurs analyses scientifiques dans différents laboratoires européens, le data de 4 000 à 5 000 ans, précisément à l’époque du Déluge selon la science et selon la Bible. Le 31 juillet 1969 à 11 heures 15, avec l’équipe américaine « Search »,

Fernand Navarra découvrit à nouveau du bois provenant de l’arche. Celui-ci publia un compte-rendu de ses premières découvertes dans un volume intitulé « J’ai Touché L’arche De Noé », paru en 1956.

En 1974, Harold Cumming publia une photographie prise par un satellite de la Technologie Des Ressources Terrestres (ERTS), à 720 km au-dessus du mont Arrarat. Le cliché montrait un objet non identifié sur le flanc de la montagne. D’après le sénateur Frank Moss, qui était à cette époque président du comité sénatorial pour les questions spatiales, l’objet avait sensiblement la taille et la forme de l’arche de Noé.

Forme, dimensions et capacité selon la description biblique

Comme nous l’avons vu, selon la description qu’en fait la Bible, l’arche était une embarcation rectangulaire en forme de coffre, probablement coupée à angles droits et à fond plat. Elle n’avait besoin ni d’un fond arrondi, ni d’une étrave pour fendre l’eau rapidement, ni d’un gouvernail, puisqu’il suffisait qu’elle soit étanche et qu’elle flotte. Un vaisseau de cette forme est très stable, il ne se retourne pas facilement et sa capacité est supérieure d’environ un tiers à celle des navires de forme traditionnelle. Une porte était aménagée sur un côté de l’arche pour charger et décharger la cargaison.

L’arche mesurait 300 coudées de long, 50 de large et 30 de haut. En calculant sur la base d’une coudée de 44,5 cm, évaluation la plus faible (certains pensent que l’ancienne coudée faisait plutôt 56 ou 61 cm), l’arche mesurait 133,50 m par 22,30 m par 13,40 m.

Il ne faut pas oublier que Noé n’était pas un constructeur naval et que tout cela remonte à plusieurs millénaires ! Et pourtant, l’arche avait les proportions idéales au regard de sa fonction de conteneur flottant. Pour assurer la solidité des navires et leur stabilité en haute mer, les architectes navals modernes utilisent des proportions similaires. La Bible ne précise pas le temps qu’il a fallu à Noé pour construire l’arche, mais d’après les indications fournies par le récit, les travaux ont pu durer 50 ou 60 ans (Genèse 5 verset 32 et 7 verset 6).

L’arche offrait donc un volume d’environ 40 000 m3. On estime qu’un tel vaisseau avait une capacité du même ordre que celle des gros cargos actuels…
Aucun bateau de marchandises des temps anciens n’avait des dimensions aussi gigantesques que l’arche, loin s’en faut. L’intérieur fut consolidé par l’ajout de deux étages, et les trois ponts ainsi disponibles offraient une superficie totale d’environ 8 900 m2.

Dieu dit à Noé : “ Tu feras à l’arche un tsohar [toit ou fenêtre]. ” (Genèse 6 verset 16). On ne sait pas exactement ce qu’était ce tsohar ni comment il fut construit. Certains biblistes pensent que tsohar est apparenté au mot lumière, si bien qu’ils le traduisent par “ fenêtre ”, “ jour ”, “ une ouverture ”. Toutefois, d’autres rapprochent tsohar d’une racine arabe ultérieure signifiant “ dos (de la main) ”, “ dos (d’un animal) ”, “ pont (d’un bateau) ”, c’est-à-dire la partie en retrait du sol ou de l’eau ; c’est pourquoi ils le traduisent par “ toit ”. Ce tsohar, Noé reçut l’ordre de l’achever “ à une coudée vers le haut ”. — Genèse 6 verset 16.
Il se peut donc que le tsohar fournissait la lumière et l’aération nécessaires, n’étant pas une simple lucarne d’une coudée de côté, mais une ouverture d’une coudée de hauteur près du toit et sur les quatre côtés, soit de presque 140 m2.

D’autre part, tout en laissant une ouverture suffisante pour l’aération sous le toit ou ailleurs, la bordure du toit était peut-être légèrement inclinée. James Armstrong a écrit dans Vetus Testamentum (Leyde, 1960, p. 333) à propos de cette possibilité : “ Il est difficile de comprendre : tu l’achèveras à une coudée vers le haut, lorsque sohar est traduit par jour (fenêtre), voire par toit (plat). Cependant, si on opte pour un toit sur pignons, la “coudée vers le haut” peut correspondre à la différence de niveau entre le faîte et le haut des parois. En termes d’architecture moderne, la “coudée” déterminerait la hauteur des fermes sur lesquelles repose le pan du toit. […] D’après l’argument présenté, le toit de l’arche de Noé avait une inclinaison de quatre pour cent (1 coudée de hauteur — 25 coudées du mur au faîte), idéale pour que les eaux de pluie s’écoulent. ”

Dieu indiqua clairement avec quoi il fallait construire cette arche immense ; il dit : “ Fais-toi une arche en bois d’arbres résineux [littéralement : “ arbres de gopher ”]. ” (Genèse 6 verset 14). Certains pensent que le bois résineux prescrit dans ce verset était du cyprès ou une espèce similaire. L’arbre qu’on appelle aujourd’hui cyprès poussait en abondance dans cette partie du monde ; c’est ce bois que les Phéniciens et Alexandre le Grand préféraient pour la construction de navires, et qu’on préfère encore de nos jours ; et il est particulièrement résistant à l’eau et au pourrissement. On a signalé l’existence de portes et de montants en cyprès qui auraient duré 1 100 ans. En outre, Noé reçut l’ordre non seulement de calfater les joints, mais aussi de “couvrir [l’arche] de goudron en dedans et en dehors”.

La liste des passagers de l’arche était assez impressionnante. Outre Noé, sa femme, ses trois fils et leurs femmes, des créatures vivantes “de toute sorte de chair, […] deux de chaque”, devaient monter à bord. “ Ils seront mâle et femelle. Des créatures volantes selon leurs espèces et des animaux domestiques selon leurs espèces, de tous les animaux qui se meuvent sur le sol selon leurs espèces, deux de chaque y entreront, vers toi, pour les garder en vie. ” Quant aux bêtes et aux oiseaux purs, il fallait en prendre sept de chaque espèce. Il fallait également emmagasiner une grande quantité de nourriture variée en vue de nourrir toutes ces créatures pendant plus d’un an. — Genèse 6 versets 18 à 21 et 7 versets 2 et 3.

Les “ espèces ” animales choisies étaient définies par les frontières ou limites bien arrêtées et immuables fixées par le Créateur et à l’intérieur desquelles les animaux peuvent se reproduire “ selon leurs espèces ”. Certains estiment qu’on pourrait réduire les centaines de milliers d’espèces d’animaux qui existent aujourd’hui à un nombre relativement faible d’“ espèces ” ou familles, telles que l’espèce des équidés et celle des bovidés pour n’en citer que deux. Les limites établies par Dieu dans lesquelles chaque espèce se reproduisait ne pouvaient être et ne furent pas franchies. Cela posé, certains chercheurs ont déclaré que même s’il n’y avait eu dans l’arche que 43 “ espèces ” de mammifères, 74 “ espèces ” d’oiseaux et 10 “ espèces ” de reptiles, elles auraient pu produire toute la variété des espèces connues à ce jour. D’autres, plus larges dans leur estimation, pensent qu’il aurait suffi de 72 “ espèces ” de quadrupèdes et de moins de 200 “ espèces ” d’oiseaux. La preuve que la grande variété d’animaux connus aujourd’hui put descendre d’un nombre aussi restreint d’“ espèces ” est fournie par la variété infinie que compte l’espèce humaine : elle comprend des individus petits, grands, gros, maigres, aux cheveux, aux yeux et à la peau de couleurs innombrables, alors que tous sont issus de la seule famille de Noé.

Ces estimations peuvent sembler trop restrictives à certains, surtout que des ouvrages comme The Encyclopedia Americana affirment qu’il existe plus de 1 300 000 espèces d’animaux (1977, vol. 1, p. 859-873). Toutefois, plus de 60 % de ces espèces sont des insectes. En décomposant encore ce chiffre, on s’aperçoit que sur les 24 000 amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères, 10 000 sont des oiseaux, 9 000 sont des reptiles ou des amphibiens, dont beaucoup étaient aptes à survivre hors de l’arche, et seulement 5 000 sont des mammifères, y compris les baleines et les marsouins qui, eux aussi, seraient restés en dehors de l’arche. D’autres chercheurs estiment qu’environ 290 espèces seulement de mammifères terrestres sont plus grosses que le mouton et quelque 1 360 plus petites que le rat (The Deluge Story in Stone, par B. Nelson, 1949, p. 156 ; The Flood in the Light of the Bible, Geology, and Archaeology, par A. Rehwinkel, 1957, p. 69). C’est pourquoi, même en calculant sur la base de ces chiffres plus élevés, l’arche pouvait facilement abriter un couple de tous ces animaux.

L’ampleur du déluge

Il ne s’agissait pas d’une crue soudaine ni d’une grosse averse locale. En effet, le mot grec utilisé dans la Bible pour parler du déluge est kataklusmos, cataclysme. Une inondation locale survient et disparaît en quelques jours ; le déluge dura plus d’un an, la majeure partie de ce temps ayant été nécessaire à la baisse de l’eau. Il serait insensé de croire que Noé passa peut-être 50 ou 60 ans à construire un énorme bateau d’environ 40 000 m3 pour que sa famille et quelques animaux survivent à une simple inondation locale. Si seule une région relativement petite était concernée, pourquoi fallut-il faire entrer dans l’arche des spécimens de “ toute créature vivante de toute sorte de chair ” afin de “ conserver en vie une descendance à la surface de toute la terre ” ? (Genèse 6 verset 19 et 7 verset 3.) Ce fut bel et bien un déluge universel, tel qu’il n’en était jamais survenu avant et qu’il n’en est pas survenu depuis. “ Les eaux submergèrent la terre à ce point que toutes les grandes montagnes qui étaient sous tous les cieux furent recouvertes. De quinze coudées [env. 6,50 m] au-dessus les eaux les submergèrent et les montagnes furent recouvertes. ” (Genèse 7 verset 19 et 20).

Les eaux du déluge. On a dit que si toute l’humidité de l’atmosphère était brusquement libérée sous forme de pluie et si elle était répartie sur toute la surface de la terre, elle n’atteindrait que quelques centimètres. D’où donc vint le grand déluge du temps de Noé ? D’après le récit de la Genèse, Dieu dit à Noé : “ Quant à moi [JHVH], voici que j’amène le déluge [ou : “ océan céleste ” ; hébreu : mabboul] des eaux sur la terre. ” (Genèse 6 verset 17).

Racontant l’événement, le chapitre suivant dit : « Toutes les sources de l’immense abîme d’eau se fendirent et les écluses des cieux s’ouvrirent. » (Genèse 7 verset 11). Le déluge atteignit une telle ampleur que “ toutes les grandes montagnes qui étaient sous tous les cieux furent recouvertes ”. — Genèse 7 verset 19.

D’où venait cet “océan céleste” ? Le récit génésiaque de la création rapporte que le deuxième “ jour ” Dieu fit une étendue autour de la terre et que cette étendue (appelée “ Ciel ”) forma une séparation entre les eaux au-dessous d’elle, c’est-à-dire les océans, et les eaux au-dessus d’elle (Genèse 1 versets 6 à 8). Les eaux suspendues au-dessus de l’étendue y restèrent sans doute depuis le deuxième “ jour ” de création jusqu’au déluge. C’est de cela que l’apôtre Pierre parlait quand il dit qu’il y “ avait des cieux depuis les temps anciens et une terre apparaissant en masse compacte au-dessus de l’eau et se trouvant au milieu de l’eau par la parole de Dieu ”. Ces “cieux ” et les eaux au-dessus et au-dessous d’eux furent les moyens que la parole de Dieu mit en œuvre, et “ par ces moyens le monde d’alors a été détruit quand il a été submergé par l’eau ”. (2 Pierre 3 verset 5 et 6).

Différentes explications ont été avancées sur ce qui permit à l’eau de rester en suspension jusqu’au déluge et sur les processus qui provoquèrent sa chute. Mais il ne s’agit que de spéculations. La Bible dit simplement que Dieu fit l’étendue ainsi que les eaux au-dessus d’elle et qu’il fit venir le déluge. Sa toute-puissance le lui permettait aisément.
Puisque selon le récit de la Genèse “ toutes les grandes montagnes ” furent recouvertes, où se trouve toute cette eau maintenant ? Manifestement, ici sur la terre. On croit qu’à une époque les océans étaient plus petits et les continents plus grands qu’ils ne le sont à présent, ce qu’indique le fait que des lits de fleuves se prolongent très loin sous les océans. À noter aussi que, au dire de scientifiques, les montagnes étaient beaucoup plus basses autrefois qu’aujourd’hui et que certaines ont même jailli des mers. Quant à la situation actuelle, on considère qu’“ il y a dix fois plus d’eau en volume dans les océans qu’il n’y a de terre au-dessus du niveau de la mer. Si on déversait toute cette terre dans la mer et qu’on la nivelle, l’eau recouvrirait la planète entière, sur 2 400 mètres de hauteur ”. (National Geographic, janvier 1945, p. 105.) Par conséquent, après que les eaux du déluge tombèrent, mais avant l’élévation des montagnes et l’affaissement des fonds marins, et avant l’apparition des calottes glaciaires aux pôles, il y avait plus d’eau qu’il n’en fallait pour recouvrir “ toutes les grandes montagnes ”, comme le dit le récit divinement inspiré. — Genèse 7 verset 19.

Les effets sur la terre

Le déluge provoqua de grands changements ; par exemple, la durée de vie des humains diminua très rapidement. Certains ont émis l’idée qu’avant le déluge les eaux au-dessus de l’étendue protégeaient de certaines radiations dangereuses et qu’avec la disparition de ces eaux les radiations cosmiques nuisibles pour l’homme sur le plan génétique ont été plus fortes. Cependant, la Bible ne précise rien à ce sujet. Soit dit en passant, s’il y eut un changement dans les radiations, il modifia la vitesse de formation du carbone 14 radioactif, au point d’invalider toutes les dates antérieures au déluge déterminées au radiocarbone.

Avec l’ouverture subite des ‘ sources de l’abîme d’eau ’ et des “ écluses des cieux ”, des milliards de tonnes d’eau s’abattirent sur la terre (Genèse 7 verset 11). Cela amena peut-être des changements énormes sur la surface de la terre. L’écorce terrestre, qui est relativement mince (on estime que son épaisseur varie entre 30 et 160 km), recouvre une masse plutôt plastique de milliers de kilomètres de diamètre. Par conséquent, le poids supplémentaire de l’eau provoqua probablement de grands bouleversements dans cette écorce. Avec le temps, de nouvelles montagnes jaillirent sans doute, des montagnes anciennes atteignirent de nouvelles hauteurs, des bassins maritimes peu profonds s’enfoncèrent et de nouvelles côtes se dessinèrent, si bien qu’aujourd’hui environ 70 % de la surface terrestre est recouverte d’eau. Ces bouleversements au niveau de l’écorce terrestre expliquent peut-être de nombreux phénomènes géologiques, tels que le soulèvement d’anciennes côtes. Certains estiment que la pression de l’eau à elle seule équivalait à “ 315 kg au cm2 ”, pression suffisante pour fossiliser rapidement la faune et la flore. — Voir The Biblical Flood and the Ice Epoch, par D. Patten, 1966, p. 62.

Conclusion

Compte tenu de tous les faits présentés ici, il n’existe aucune raison valable de douter de la vérité de ce récit. Nous avons démontré simplement que chaque détail du récit biblique de l’arche de Noé et du Déluge est non seulement conforme à la science, mais aussi confirmé par les découvertes et les faits.

Soyons donc plus prudents que ces gens qui se moquèrent de Noé, alors qu’il construisait son arche et les avertissaient de la destruction à venir (voir évangile de Matthieu, chapitre 24, versets 37 à 39). Et, n’oublions pas, que notre génération n’est pas différente de celle de Noé…

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Source : http://www.alterinfo.net/L-HISTOIRE-DU-DELUGE-DANS-LA-BIBLE_a19231.html



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