François HOLLANDE souhaite la repentance afin que la France s’excuse.
Droit de Réponse émise par Mme Maryse Joissains, Député maire d’Aix en Provence. Rappelons tout d’abord que…
L’identité algérienne n’a jamais existé avant 1830
L’Algérie, c’était le Maghreb, de la Libye au Maroc. Les populations qui y vivaient, d’origine phénicienne, berbère et romaine, étaient avant le 8ème siècle, pour la plupart, chrétiennes.
Ce sont les arabes,
Nomades venant du Moyen Orient qui ont envahi le Maghreb et converti de force, par le sabre et la torture, toutes ces populations.
Puis les turcs
Envahirent le Maghreb pendant 3 siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en esclavage, les laissant se battre entre elles, prélevant de force la dîme et… ne construisant RIEN, et ce volontairement. Permettant ainsi un trafic :
D’esclaves Chrétiens.
Vous n’êtes pas sans ignorer,
Monsieur HOLLANDE, qu’au 16ème siècle, 30 000 esclaves étaient maintenus enchaînés à Alger. Ce sont les beys d’Alger (nommés par les turcs) qui se maintenaient par la ruse, la force et c’est bien ceux de Constantine qui se vantaient (n’est-ce pas?) d’avoir fait trancher 12 000 têtes pendant leur règne ! Le saviez-vous ?
S’excuser de quoi ?
Et il faudrait donc que la France s’excuse ?
S’excuser :
D’avoir débarqué à Sidi Ferruch en 1830 pour chasser le colonisateur ottoman, détruire ses repaires, libérer ses esclaves, affranchissant ainsi de votre joug les tribus berbères et arabes
D’avoir fait soigner toutes ces populations dès 1830 par des médecins militaires français, amenant ces populations du Maghreb chiffrées à moins d’un million en 1830 à plus de 10 millions en 1962 !
Car ce sont bien
Les services de santé militaire qui ont ouvert des centres de soins à la population civile et qui consultaient gratuitement la population. Savez-vous qu’en 1962 on comptait plus de 160 hôpitaux dans le pays et que la faculté de médecine d’Alger était la 2ème de France ?
D’avoir respecté la langue arabe et la religion musulmane.
Ce que n’avaient pas fait les arabes forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués.
D’avoir drainé, asséché, fertilisé un sol à l’abandon depuis des siècles, et ce au prix de nombreuses vies,
Car il faut savoir qu’en 1830,
A l’arrivée des français, l’agriculture en était restée au Moyen-Age et il faudrait s’excuser d’avoir créé une agriculture riche, prospère, exportatrice, d’avoir fait de la Mitidja le grenier à fruits et légumes de l’Algérie quand aujourd’hui on sait que ce pays doit importer la plupart de ses produits car cette immense plaine a été transformée en friche industrielle… ! Et il faudrait aussi demander pardon pour les nombreux établissements de formation agricole extrêmement performants qui fournissaient jusqu’en 1962 des cadres à tous niveaux ?
LA MITIDJA
D’avoir résolu le problème de l’eau dont dépendait l’avenir de ce pays. C’est bien l’armée française qui dès 1830 domestiquait les oueds, constituait des réserves d’eau, créait un réseau de canaux d’irrigation, stabilisait les sols. Et il faudrait demander pardon pour ce pays qui fut entièrement irrigué, assaini et où la plupart des villes et des villages étaient alimentés en eau potable par les pieds-noirs et tout cela fut aussi possible grâce à la construction de 12 barrages ?
D’avoir créé un réseau routier de 54 000 kms, d’avoir construit 23 ports, 23 aéroports, 34 phares. D’avoir installé des bureaux de poste dans tout le pays, et d’avoir essaimé le territoire de milliers de kilomètres de chemin de fer.
D’avoir multiplié les écoles sur tout le territoire, d’avoir alphabétisé, d’avoir enseigné les règles d’hygiène et les principes médicaux fondamentaux, ce qui a fait dire à l’écrivain kabyle Belkacem Ibazizen : « la scolarisation française a fait faire aux arabes un bond de 1000 ans ».
Alors oui,
Monsieur HOLLANDE, de tous les peuples qui sont passés en Algérie, seuls les Français ont laissé un bilan positif.
Les vandales n’apportèrent rien au pays sinon la désolation,
Les arabes apportèrent la religion islamique mais n’apportèrent rien de la brillante civilisation de Damas.
Quant aux Turcs, ils firent régresser ce pays sur tous les plans et c’est bien l’état moyenâgeux couplé à une piraterie intense qui incita la France à intervenir.
Une des Villes modernes Construite par la France.
Alors oui !,
Je dirai, à l’instar de Ferrat Abbas : « La France n’a pas colonisé l’Algérie, elle l’a fondée. »
Alors pour toutes ces raisons,
Il faudrait plutôt, Monsieur HOLLANDE qu’avec tous ceux qui parlent de génocide et de repentance, ce soit vous…
Qui demandiez repentance
A l’Algérie pour ce million de français qui a abandonné son pays pour ne pas être égorgé (la valise ou le cercueil) qui demandiez repentance à l’Algérie pour ces 150 000 harkis, sauvagement torturés puis assassinés,
A l’Algérie pour ces milliers d’européens tués ou disparus à Oran, le 5 juillet 1962, pour ces 200 000 algériens tués pour avoir refusé le parti unique,
A l’Algérie pour le terrorisme aveugle, les égorgements, les attentats, les crimes gratuits
Certes,
Il y eut la guerre entre les deux camps et il n’est pas question de dire qu’il n’y eût pas d’exactions du côté français comme du côté algérien et on peut regretter que l’indépendance fut bâclée pour les pieds-noirs et aussi pour les algériens.
Cela aurait évité
Le « génocide » des harkis, des moghaznis, des européens à Oran et l’immigration de tant de pauvres algériens qui quittèrent leur pays pour la France et qui le quittent toujours !
Monsieur HOLLANDE,
Nous devons vous rappeler que l’Histoire est un TOUT. Oserez-vous demander aux arabes du Maghreb un acte de repentance pour les 8 siècles de l’occupation musulmane en Espagne, ainsi qu’aux turcs, pour les 3 siècles de colonisation en Algérie.
Pour ma part, jusqu’au bout
Je prendrai position
Contre une repentance de la France, je continuerai à me battre pour que soit reconnu comme un crime d’État l’abandon de 150 000 harkis aux mains des égorgeurs et des milliers de français enlevés ou assassinés le 5 juillet 1962 et aussi pour que disparaisse définitivement de notre calendrier la honteuse commémoration du 19 Mars 1962.
Monsieur HOLLANDE
Remisez votre soutane de pénitent !
Ce n’est pas en perdant Marianne qu’on devient Président de la République.
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voici un extrait du texte d’un blogueur français ce qu’il pense de ce que vous dite comme étant une « EDIFICATION d’UNE NATION » à coup de massacre
Ce que fut cette guerre ? Une guerre atroce qui n’eut de la guerre que le nom, j’entend de la véritable guerre, celle que justifie Proudhon dans La Guerre et la Paix, c’est-à-dire un combat loyal entre adversaires de force équivalente. Ce ne fut pas une guerre, ce fut une « expédition coloniale », une expédition coloniale de quarante années. Une expédition coloniale ça ne se raconte pas, et on n’ose la décrire ; on laisse MM. les assassins la décrire eux-mêmes.« La flamme à la main ! »
Saint-Arnaud, qui devait finir maréchal de France, fit, jusqu’au 2 décembre », à peu près toute sa carrière en Algérie. Il y était arrivé lieutenant en 1837 ; il en partit général de division en 1851 ; durant ces quinze années il ne cessa d’être en colonne, tantôt à l’ouest, tantôt à l’est ; pendant tout ce temps il écrivit régulièrement à son frère, le tenant presque jour par jour au courant de ses faits et gestes. Ces lettres ont été publiées. Nous en donnons ci-dessous des extraits, sans autre commentaire que l’indication de la date et du lieu .
( On trouvera les lettres dont sont extraites ces citations dans Lettres du Maréchal Saint-Arnaud, tome I, pages 141, 313, 325, 379,381, 390, 392, 1472, 474, 549, 556, tome II, pages 83, 331, 340.)
« Le pillage exercé d’abord par les soldats, s’étendit ensuite aux officiers, et quand on évacua Constantine, il s’est trouvé comme toujours, que la part la plus riche et la plus abondante était échouée à la tète de l’armée et aux officiers de l’état-major. » (Prise de Constantine, octobre 1837.)
« Nous resterons jusqu’à la fin de juin à nous battre dans la province d’Oran, et à y ruiner toutes les villes, toutes les possessions de l’émir. Partout, il trouvera l’armée française, la flamme à la main. » (Mai 1841.)
« Mascara, ainsi que je l’ai déjà dit, a dû être une ville belle et importante. Brulée en partie et saccagée par le marechal Clauzel en 1855. »
« Nous sommes dans le centre des montagnes entre Miliana et Cherchell. Nous tirons peu de coup de fusil, nous brûlons tous les douars, tous les villages, toutes les cahutes. L’ennemi fuit partout en emmenant ses troupeaux » (avril 1842)
« Le pays des Beni-Menasser est superbe et l’un des plus riches que j’ai vu en Afrique. Les villages et les habitants sont très rapprochés. Nous avons tout brûlé, tout détruit. Oh la guerre, la guerre ! Que de femmes et d’enfants, réfugiés dans les neiges de l’Atlas, y sont morts de froid et de misère !… Il n’y a pas dans l’armée cinq tués et quarante blessés. » (Région de Cherchell, avril 1842)
« Deux belles armées… se donnant la main fraternellement au milieu de l’Afrique, l’une partie de Mostaganem le 14, l’autre de Blidah le 22 mai, rasant, brûlant, chassant tout devant elles. » (mai 1842 ; de Mostaganem à Blidah il y a 250 kilomètres.)
« On ravage, on brûle, on pille, on détruit les maisons et les arbres. Des combats : peu ou pas. » ( Région de Miliana, juin 1842)
« … Entouré d’ un horizon de flammes et de fumées qui me rappellent un petit Palatinat en miniature, je pense à vous tous et je t’écris. Tu m’a laissé chez les Brazes, je les ai brûlés et dévastés. Me voici chez les Sindgad, même répétition en grand, c’est un vrai grenier d’abondance… Quelques-uns sont venus pour m’amener le cheval de soumission. Je l’ai refusé parce que je voulais une soumission générale, et j’ai commencé à brûler. » (Ouarsenis, Octobre 1842)
« Le lendemain 4, je descendais à Haimda, je brûlais tout sur mon passage et détruisais ce beau village…Il était deux heures, le gouverneur (Bugeaud) était parti. Les feux qui brûlaient encore dans la montagne, m’indiquaient la marche de la colonne. » (Région de Miliana, février 1843.)
« Des tas de cadavres pressés les uns contre les autres et morts gelés pendant la nuit ! C’était la malheureuse population des Beni-Naâsseur, c’étaient ceux dont je brûlais les villages, les gourbis et que je chassais devant moi. » (Région de Miliana, février 1843.)
« Les beaux orangers que mon vandalisme va abattre !… je brûle aujourd’hui les propriétés et les villages de Ben-Salem et de Bel-Cassem-ou-Kassi. » (Région de Bougie, 2 octobre 1844.)
« J’ai brûlé plus de dix villages magnifiques. » (Kabylie, 28 octobre 1844.)
« II y avait encore des groupes nombreux d’ennemis sur les pitons, j’espérais un second combat. Ils ne sont pas descendus et j’ai commencé à couper de beaux vergers et à brûler de superbes villages sous les yeux de l’ennemi. » (Dahra, mars 1846.)
« J’ai laissé sur mon passage un vaste incendie. Tous les villages, environ deux cents, ont été brûlés, tous les jardins saccagés, les oliviers coupés. » (Petite Kabylie, mai 1851.)
« Nous leur avons fait bien du mal, brûlé plus de cent maisons couvertes en tuile, coupé plus de mille oliviers. » (Petite Kabylie, juin 1851.)
Tel est le témoignage de Saint-Arnaud. Témoignage décisif, mais qui est loin d’être unique. Tous les officiers d’Afrique, qui ont écrit ce qu’ils ont vu, disent la même chose.
La vente des femmes et le massacre des enfants
Officier d’Afrique non moins typique que Saint-Arnaud, ce colonel Pein, issu du rang qui resta vingt-trois ans en Algérie (de 1840 à 1863), et qui occupa les loisirs de sa retraite à composer un petit ouvrage sur l’Afrique. A la différence de Saint-Arnaud, ce fut surtout dans le Sud qu’il eut à opérer.
Voici comment il décrit la prise de Laghouat, à laquelle il assista (2 décembre 1852.) :
« Le carnage fut affreux ; les habitations, les tentes des étrangers dressées sur les places, les rues, les cours furent jonchées de cadavres. Une statistique faite à tête reposée et d’après les meilleurs renseignements, après la prise, constate le chiffre de 2 300 hommes, femmes ou enfants tués ; mais le chiffre de blessés fut insignifiant, cela se conçoit. Les soldats, furieux d’être canardés par une lucarne, une porte entrebâillée, un trou de la terrasse, se ruaient dans l’intérieur et y lardaient impitoyablement tout ce qui s’y trouvait ; vous comprenez que, dans le désordre, souvent dans l’ombre, ils ne s’attardaient pas à établir de distinction d’âge ni de sexe : ils frappaient partout et sans crier gare ! » ( Pein, Lettres familières sur l’Algérie, 2e édit, p. 393)
la France a quoi crée l’Algérie ????? madame la blondasse aux lieux de dire des connerie retourné a l’école crétine la France en 1830 a pillé massacré volez emparez de la terre des Berbers dans les année 1800 la terre des Berber été le grenier a blés de l’Europe et en 1940 la capital des alliés été Alger vous été content d’avoir tout les port d’Algérie ou tout les bateaux de guerre american anglais français canadiens pour préparez la liberation de la France donc un pays qui a servie de point de repaire alors que tout les port français été occupé par les germanique