2 commentaires pour “Judaïsme et franc maçonnerie en route vers le Nouvel Ordre”

  1. J’aurais pu mentionner les actions anti-Israël du « juif » Soros aussi, mais je ce ne sera pas nécessaire. Enfin, je lui suggérerait de lire (ou relire) ce que dit le Livre de l’Apocalypse concernant la « synagogue de satan » :

    Apocalypse 2:9: « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de CEUX QUI SE DISENT JUIFS ET NE LE SONT PAS, mais qui sont une synagogue de Satan. »

    Apocalypse 3:9: « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, QUI SE DISENT JUIFS ET NE LE SONT PAS, MAIS QUI MENTENT; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t’ai aimé. »

    Mais j’ai bien peur que ses lunettes catholiques romaines antijuives ne l’en empêchent encore une fois.

  2. Livernette bof, pas du tout fiable, et il se plante totalement sur l’origine de la franc-maçonnerie, il vaut mieux se référer au Pr Lozac’hmeur (qui est pourtant catholique tout comme lui):

    https://www.youtube.com/watch?v=WKWdIaOWunQ

    D’autre part, ses lunettes catholiques romaines (pareil pour Pierre Hillard qui se garde bien au passage de mentionner dans ses conférences et ses écrits l’annexe II du livre d’Antony Sutton « Wall-Street et la révolution bolchévique » où ce dernier dernier réfute clairement la théorie de la conspiration juive durant la révolution de 1917 – annexe qui ne figure d’ailleurs pas dans la traduction français de cet ouvrage, on se demande bien pourquoi? De même qu’il se garde bien de mentionner que ce même Antony Sutton mentionne dans son livre sur les Skull & Bones que ces derniers sont foncièrement antisémites, cf le chapitre intitulé « La connexion britannique » dans cette traduction française: http://barruel.com/introduction-a-l-ordre.html) l’empêchent de considérer tous les faits (une de mes amies à connu personnellement l’homme qui a écrit l’article ci-dessous) :

    http://www.jonathanpollard.org/1992/102392.htm

    Bruce Brill – The Jerusalem Post – 23 octobre, 1992

    Au début des années 1970, j’ai travaillé comme analyste du renseignement au Moyen-Orient pour l’Agence de sécurité nationale américaine (NSA).

    Nous nous appelions nous-mêmes « fantômes », ce qui signifie que notre travail était à la fois fascinant et secret, même si nos efforts de collecte de renseignements étaient, dans l’ensemble, assez routiniers. Pourtant, au cours de mes années à « L’Agence », j’ai été mis au courant de certaines informations sensibles et perturbantes.

    La communauté américaine du renseignement est une société à elle toute seule, avec des directives sociales plus strictes que celles de la société ordinaire. Même le personnel périphérique au travail de renseignement de l’Agence – les agents d’entretien, par exemple – ont besoin de contrôles de sécurité et d’habilitations serrés avant d’être autorisés à mettre le pied dans le complexe de la NSA. La hiérarchie des habilitations de sécurité commence au niveau Top Secret et remonte à partir de là. La plupart des renseignements restent hors de portée de l’analyste, même l’analyste habilité au moyen de l’indispensable restriction du « besoin d’en connaître ».

    Seuls quelques privilégiés qui siègent au sommet de la hiérarchie sont au courant de la grosse partie des renseignements générés par l’Agence. En contrôlant le type d’informations transmises aux décideurs du Conseil de sécurité nationale, ces quelques chefs de l’agence exercent efficacement une énorme influence par procuration, avec de profondes implications nationales, sinon internationales. Leur agenda caché reste caché – au public, au Congrès, et même aux membres du Conseil de sécurité nationale lui-même (à moins, bien sûr, qu’il y ait collusion entre certains membres du NSC et les dirigeants de l’Agence).

    Que George Bush, qui a dirigé la CIA au milieu des années 1970, ait été de mèche avec ou se soit fait duper par les manipulateurs du renseignement soulève des questions troublantes au sujet de l’homme qui postule pour rester président des États-Unis pour les quatre prochaines années.

    L’antagonisme traditionnel du Département d’État américain envers Israël se reflète dans la communauté du renseignement des États-Unis. Par exemple, les services de renseignement américains peuvent identifier chaque nouvelle unité de logement mise en place en Judée ou Samarie, et cependant pourraient manquer un navire chargé de missiles Scud en provenance de Corée du Nord se dirigeant vers l’Iran en pleine mer. La langue hébraïque, était aussi la seule en usage à l’Agence pour l’espionnage manifeste, avec des linguistes hébreu qui devaient déclarer qu’ils étaient des linguistes « spécialisés en arabe ».

    Alors que je travaillais à l’Agence comme analyste du trafic arabe et « spécialisé en arabe » au début des années 1970, j’ai été informé de l’invasion prévue du 6 octobre 1973, par la Syrie et l’Égypte – 30 heures avant que les États-Unis aient notifié Israël.

    Le personnel de haut niveau de l’Agence était au courant de l’attaque planifiée plusieurs heures, voire plusieurs jours, avant. Ne pas transmettre cette information vitale en temps voulu a entraîné la mort inutile et la mutilation de milliers de jeunes israéliens.

    La politique anti-Israël de la communauté américaine du renseignement a jusqu’à présent été tenue secrète avec succès, même à l’Agence elle-même, puisque la règle du « besoin d’en connaître » régissant de telles politiques est strictement appliquée seulement à quelques rares privilégiés non-juifs.

    C’est donc tout à fait par hasard que j’ai découvert l’existence de salles à la NSA qui sont interdites d’accès aux juifs, citoyens des États-Unis avec les habilitations de sécurité les plus élevées, simplement parce qu’ils sont juifs. De toute évidence, des efforts pour mettre fin à Israël sont entrepris ici. Ces sanctuaires internes de l’agence sont si totalement à l’abri de toute surveillance, que de tels agissements anticonstitutionnels se poursuivent librement.

    Existe-t-il des sanctuaires internes de ce type interdits d’accès aux noirs, aux orientaux, ou à d’autres minorités américaines? Il n’y a aucune raison de croire que ce n’est pas le cas, car il n’y a absolument aucun moyen de l’éviter. Ces pratiques discriminatoires vont clairement à l’encontre de la Déclaration des droits du citoyen de la Constitution des États-Unis. De même, travailler contre Israël, la seule démocratie au Moyen-Orient, ne semble pas très américain.

    Étant donné que ces choses me sont devenues connues seulement après la guerre du Kippour, j’ai naturellement supposé qu’Israël, ami publiquement déclaré de l’Amérique, aurait été notifié immédiatement par les voies appropriées au sujet de l’attaque imminente du 6 octobre, 1973. Maintenant, je vis hanté par la possibilité que, en quelque sorte, je pourrais avoir découvert que l’information n’a pas été transmise, reçue par les israéliens, ce qui aurait de ce fait permis d’éviter une certaine mesure de l’angoisse qui est connue sous le nom de la guerre du Kippour.

    Pourtant, cela n’a pas été le cas, et je suis tourmenté à ce sujet chaque Yom Kippour. J’ai été un analyste du renseignement militaire américain loyal qui a contribué à la disparition programmée d’Israël. J’ai été relevé des mes obligations avec les honneurs de l’armée américaine et je suis un homme libre; Jonathan Pollard, en revanche, est toujours en prison.

    L’auteur a travaillé pour la National Security Agency, à Fort Meade, Maryland, tout en servant dans la sécurité de l’armée américaine de 1971 à 1974.

    Et il ne prend pas non plus en compte le fait que les théosophes et autres lucifériens de haut rang sont foncièrement anti-juifs, il suffit de lire leurs écrits.

    Concernant Israël et la franc-maçonnerie, voir aussi cet article de Michelle d’Astier de la Vigerie : https://michelledastier.com/la-franc-maconnerie/

    Etc., etc., etc.

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