Dis, Manu, tu la sens monter, la révolution ?

Aussitôt connue la décision du Conseil constitutionnel, qui n’est évidemment pas allé contre le Système, c’est-à-dire la stratégie mondialiste qui s’abat sur la France, le Net a explosé sous la colère et des gens sont descendus dans la rue. On peut dire que le Petit Dictateur, avec sa loi scélérate, a mis le feu au pays. Pour l’instant, ce n’est qu’au sens figuré.

La décision de la première institution juridique, cette espèce de Cour suprême à la française, n’est pas surprenante. Au départ, elle devait être « une arme contre la déviation du régime parlementaire », celui de la IVe République, selon les propres mots de Michel Debré, le premier Premier ministre du général de Gaulle.

Soixante ans plus, tard, le régime parlementaire a disparu, il ne reste que le régime présidentiel, et le CC n’est même pas une arme contre ce dernier. C’est pour cette raison que nous sommes en dictature : il n’y a plus de frein institutionnel au délire présidentiel, l’homme des puissances occultes, c’est-à-dire de la Banque, des réseaux maçonniques et de la clique mondialiste qui rassemble les tordus du réseau Epstein, le Big Pharma, le Big Tech et les fonds de pension. Toute cette armada, avec sa puissance financière incommensurable, a lancé une attaque atomique sur la France, affaiblie depuis 20 ou 40 ans – selon qu’on est de droite ou de gauche – par l’attalisme qui en ronge les institutions.

Pour ne rien arranger, et par un miracle des symboles, le CC est tenu par Laurent Fabius, l’oligarque communautaire pro-Daech qui sucre les fraises avec du sang contaminé.

Le rouge est la couleur du moment

Les Français lucides ont vu rouge et réagi sans modération à l’écroulement de tout l’édifice politique français, qui tenait bon an mal an depuis 60 ans. Il y a de la colère, mais aussi le soulagement de voir la maison vermoulue s’effondrer sous nos yeux, dans une symbolique que les lobbyistes et francs-maçons adoreraient, si elle ne les concernait d’aussi près.

Nous vivons un moment historique de l’histoire politique française, et comme l’écrit Youssef Hindi, l’État de droit est aboli :

Ce qui ouvre toutes les perspectives : déjà, des Français remontés comme des pendules parlent de saboter les radars, d’autres de ne pas envoyer d’impôts à ceux qui, du haut de leur chaire oligarchique, trahissent chaque jour les intérêts du peuple.
Il fallait que cette nuit du 4 août soit celle d’une nouvelle révolution, et nous sommes en plein dedans. Mais la révolution, ce n’est pas le peuple en colère qui envahit son Capitole – ce qui en est le signe ou le symbole –, c’est une montée de conscience qui gagne des couches de plus en plus profondes de la population. Une contamination de l’esprit de résistance, de liberté et de salut. Le bon virus, il est là.

Après la France périphérique dite des Gilets jaunes en 2018, place aux anti-vaccin en 2020, puis aux anti-pass sanitaire en 2021, qui seront probablement rejoints par les restaurateurs et les indépendants, qui sont dans le viseur du gouvernement. Les catégories attaquées par le mondialisme devenu politique nationale ne peuvent pas ne pas réagir à leur normalisation, leur assujettissement, leur éradication.

Parce qu’on en est là : la guerre que Macron nous promettait, elle est lancée, on est en plein dedans. Le Français qui a encore une jugeote doit changer son esprit et passer en mode combat, sinon il y passera.

Voici la jolie phrase qui circule en ce moment :

« Ne pas confondre “on n’a pas le choix” avec “on n’a pas de couilles”. »

Injections : la der des der…

Ce n’est pas le moment d’abandonner le combat : la lucidité ne doit pas être un frein à l’action, bien au contraire. Ceux dont la volonté n’est pas brisée auront une volonté de plus en plus forte, car la résistance se nourrit de la violence oligarchique. Celui qui a aura, et celui qui n’a pas, même ce qu’il a lui sera enlevé : ceux dont la volonté a été brisée peuvent la retrouver, s’ils se rendent compte de leur erreur. C’est le cas des « double vaccinés » qui commencent à se poser des questions sur la troisième dose, « troisième » d’une longue série…

Dans la guerre désormais ouverte entre une oligarchie déchaînée et le peuple de France, nous disposons de plusieurs armes :

- le nombre : la plupart des Français vaccinés ne l’ont pas fait pour des raisons sanitaires ou parce qu’ils croyaient à la propagande politico-médicale, mais bien parce qu’ils voulaient continuer à vivre normalement ;

- les réseaux sociaux : même s’ils sont soumis à une censure inégalée, ils sont acquis à la résistance ;

- la rue : les manifestations maintiennent la pression et entretiennent le sens du collectif ;

- le travail de conscientisation politique.

Source : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Dis-Manu-tu-la-sens-monter-la-revolution-65074.html

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