Aux éditions Agone, un petit livre donne la parole aux ouvriers chinois qui se tuent, parfois littéralement, au travail pour produire en flux continu les technos de la modernité.
« J’ai souvent pensé que la machine était mon seigneur et maître, dont je devais peigner les cheveux, tel un esclave… »
Yang travaille à la chaîne pour une usine de la région de Shenzhen, en Chine.