Totalitarisme sioniste dans le cinéma français : Virginie Despentes et Florence Foresti crèvent l’abcès

Les couteaux sont tirés. L’abominable 45e soirée des César, qui vient achever une institution devenue aussi consanguine qu’impopulaire, comme le cinéma français, a au moins débouché sur une clarification, une purge politico-médiatique. Deux camps se sont formés, que l’on pourrait appeler les pro-Polanski et les anti-Polanski, mais ce serait rester dans le vague, dans l’euphémisme, dans l’hypocrisie. En réalité, un axe de résistance au sionisme qui règne sur le cinéma français s’est fait jour, tout régime totalitaire générant immanquablement son opposition.

Aujourd’hui, après des années de chuchotements et de frustrations retenues, le mot est lâché, les dagues tirées, et la fracture s’ouvre, béante, sous les yeux d’un grand public médusé, mais qui apprécie qu’on nomme enfin les choses, c’est-à-dire le problème. Et le problème c’est la domination sans partage du lobby culturel sioniste dans le cinéma français. C’est ce qui enflait derrière Polanski, derrière J’accuse, derrière les César, et qui vient de crever. Il y aura un avant et un après le 28 février 2020. Beaucoup s’en réjouissent, les autres en sont déjà à choisir leur système de défense, qui est toujours le même : la lutte contre l’antisémitisme. Pas sûr que ça tienne !

« Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture, vous, les puissants, vous exigez le respect entier et constant. Ça vaut pour le viol, les exactions de votre police, les césars, votre réforme des retraites. En prime, il vous faut le silence de victimes. »

Virginie Despentes a allumé la mèche dans Libé dès le lundi suivant la cérémonie. Elle faisait partie du jury et elle a démissionné. Une fois libre, elle a envoyé du bois. La défense du Système est assurée par l’agent sioniste BHL, l’animateur socialo-sioniste Cyril Hanouna, le comédien et acteur Lambert Wilson, le chroniqueur socialo-sioniste à insuccès Éric Naulleau et l’humoriste socialo-sioniste sinistre Stéphane Guillon. Deux membres de la communauté de Lumière et trois obligés. Virginie, qui cartonne avec ses livres punks, a une audience forte dans la gauche. Elle n’y va pas par quatre chemins :

« Vous serrez les rangs, vous défendez l’un des vôtres. Les plus puissants entendent défendre leurs prérogatives : ça fait partie de votre élégance, le viol est même ce qui fonde votre style. La loi vous couvre, les tribunaux sont votre domaine, les médias vous appartiennent. Et c’est exactement à cela que ça sert, la puissance de vos grosses fortunes : avoir le contrôle des corps déclarés subalternes. Les corps qui se taisent, qui ne racontent pas l’histoire de leur point de vue. Le temps est venu pour les plus riches de faire passer ce beau message : le respect qu’on leur doit s’étendra désormais jusqu’à leurs bites tachées du sang et de la merde des enfants qu’ils violent. Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture – marre de se cacher, de simuler la gêne. Vous exigez le respect entier et constant. Ça vaut pour le viol, ça vaut pour les exactions de votre police, ça vaut pour les césars, ça vaut pour votre réforme des retraites. C’est votre politique : exiger le silence des victimes. Ça fait partie du territoire, et s’il faut nous transmettre le message par la terreur vous ne voyez pas où est le problème. Votre jouissance morbide, avant tout. Et vous ne tolérez autour de vous que les valets les plus dociles. Il n’y a rien de surprenant à ce que vous ayez couronné Polanski : c’est toujours l’argent qu’on célèbre, dans ces cérémonies, le cinéma on s’en fout. Le public on s’en fout. C’est votre propre puissance de frappe monétaire que vous venez aduler. C’est le gros budget que vous lui avez octroyé en signe de soutien que vous saluez – à travers lui c’est votre puissance qu’on doit respecter. »

On ne va pas mettre toute la tribune de Virginie, on a mis le lien dans l’article, et la chose tourne partout. Naturellement, nous, si on avait écrit ça (on l’a d’ailleurs écrit cent fois), ça n’aurait pas tourné autant. D’une certaine manière, Virginie a la Carte, elle a encore la Carte, mais pour combien de temps ? On lui souhaite de continuer à vendre ses livres pour vivre et rester indépendante, car c’est à ce seul prix qu’on peut encore l’ouvrir aujourd’hui contre la terreur sioniste. Attention, Virginie ne la nomme pas, mais elle tourne autour, et tout s’y ramène. Idem pour l’humoriste Florence Foresti, qui a animé la soirée mortuaire où l’on enterrait le cinéma français, tué par qui vous savez.

Florence Foresti : « Je suis courageuse d’être là ce soir » – César 2020.

Florence brûle la salle avec « Atchoum » à partir de 8’08…

Eh oui, le progressisme culturel, le socialo-sionisme, on l’a expliqué et démontré, ça vous tue un secteur entier. Ça vous abaisse le niveau, jusqu’à des zéro ou des négatifs, ça vous écrabouille la qualité, la diversité, la concurrence, ça fausse le jeu naturel, ça règne et ça tue tout autour. C’est l’image du hêtre, autour de qui rien ne pousse. Comme le sionisme a tué la télé, il a tué le cinéma, et la soirée des César montrait cette foule soumise, terrorisée, n’osant même pas gueuler contre les injustices, ou alors la seule « injustice » qui lui reste : l’antisémitisme. Un antisémitisme fantasmé mais qui arrange bien les officines qui dictent leurs ordres aux grands commis de l’État. Là, on s’écarte un peu de la tribune de Virginie, mais on dit tous la même chose avec plus ou moins de pincettes. BHL a d’ailleurs rapidement saisi le message :

Florence Foresti, elle, a cité pêle-mêle Weinstein, DSK, Epstein et Bruel, ils en ont pris pour leur grade dans l’échelle des délits et des crimes :

« Un acteur a été accusé de se mettre nu devant sa masseuse. J’ai lu sa défense : « J’avais chaud ». C’est vrai, on était en Corse, en été. Vous avez déjà essayé de garder un slip jetable par cette chaleur ?
C’est vrai Weinstein, chaud. DSK, chaud. Epstein, chaud. Si vous vous mettez nu dans l’espoir de nous exciter, comment dire ? Les gars, vous aurez plus de chance de nous choper avec un bout de pain. La nudité ne va pas à tout le monde. Ça s’essaie en cabine avant. Passé à un certain âge, un certain poids, en tout cas. Weinstein est moins dégueulasse habillé que nu. Bref, c’était mon message aux prédateurs : “couvrez-vous”. »

Florence Foresti : « Vous aurez plus de chances de nous choper avec un bout de pain » – César 2020.

Un joli boulet qui a glacé la salle, déjà terrorisée par le maccarthysme ambiant. Heureusement, les bons petits soldats du sionisme culturel sont montés au créneau, aiguillonnés ou pas par leurs maîtres. Chez les soumis, parfois, la défense des maîtres, ça part tout seul, c’est inscrit dans le génome, on appelle ça la seconde nature, une nature bien écœurante, mais il faut de tout pour faire un show-biz. Écoutons Lambert Wilson, qui a pris sa plus belle voix d’indignée pour défendre celle de ses maîtres :

« Et en plus, qu’est-ce qu’on va retenir de la vie de ces gens par rapport à l’énormité du mythe de Polanski ? Qui sont ces gens ? Ils sont minuscules.
[…] Cette espèce de politiquement correct, je trouve que c’est du terrorisme. En plus, c’est bête ! On se dit “mais où sommes–nous ? Qui sont ces gens ?” Ça m’a choqué, j’ai trouvé qu’on était minables. Il y a cette espèce de tribunal, de lynchage public que je trouve absolument abominable. »

Lambert Wilson s’en prend aux détracteurs de Polanski dont Foresti et Haenel.

Aussitôt, les journaux sous influence – la même, c’est toujours la même – ont embrayé, martelé la défense du réalisateur-enculeur (fallait enculer des vraies femmes, certaines adorent ça) et pointé leur fusil vers Adèle Haenel, celle qui a envoyé le réalisateur Christophe Ruggia dans la fosse, pour des agressions sexuelles répétées alors qu’elle était mineure. On apprend, de la bouche de Valeurs actuelles, que l’écrivain préféré d’Adèle est, est ?

Seulement, dans une interview donnée à Télérama en 2014 (à 7’20 dans la vidéo), en marge du Festival de Cannes, la même actrice, alors âgée de 25 ans, semblait plus encline à séparer l’œuvre de l’artiste. Au journaliste qui l’interrogeait alors, elle déclarait : « J’aime beaucoup Louis-Ferdinand Céline. Énormément. C’est, je pense, maintenant, mon auteur préféré ». Elle était alors capable de faire la différence entre Céline le romancier, et Céline l’antisémite.

Cela vaut excommunication, non ? Bizarre de la part des nationaux-sionistes de VA, qui semblent plus sionistes que nationaux pour le coup…

Dans le monde culturel, être antisioniste c’est donc pire qu’être pro-viol, si l’on résume le débat. C’est d’ailleurs tout le problème des pro-Polanski : en défendant le réalisateur, ils défendent le violeur, alors qu’on pensait, avec Céline, Dieudonné ou Soral, qu’on ne pouvait séparer l’homme de l’œuvre ! Oh le double discours tordu qui ne va que dans un sens, qui ne sert qu’un côté, oh le 2P2M de compétition…

La presse aux ordres et les people sous contrat sioniste (moral ou réel) ont embrayé et attaqué ceux qui avaient osé s’attaquer à Polanski et, derrière lui, au maccarthysme régnant. Le pauvre Éric Naulleau, le culturel-traître du moment (il y en a toujours un en haut de la pile, ou de la roche Tarpéienne), s’est fendu d’un tweet anti-Despentes qui lui est revenu dans la gueule puissance mille. On n’ajoutera pas ici les commentaires, tout le monde peut les lire. Et il y en a de féroces.

On pense honnêtement qu’on ne peut pas tomber plus bas que ce type, qui serait prêt à défendre Epstein si Epstein lui proposait une émission. Dans la veine du culturel-traître, il y a aussi l’inénarrable Stéphane Guillon avec son humour socialo-sioniste abominable, une espèce d’Aphatie seul en scène.

Lui aussi s’est pris la Twittosphère en pleine gueule, il est vrai qu’il manque de talent et d’humour dans ses tweets, comme dans ses spectacles qui sont devenus aussi tristes qu’un meeting de gauche. Par le biais de ce message d’une veulerie exemplaire, le faux humoriste espère peut-être enfin devenir une vedette de cinéma… Mais le milieu n’en veut pas, c’est cruel mais c’est comme ça. Pas bankable, le Guillon. Il aurait dû, s’il avait eu un peu plus de couilles (au moins une, même pas forcément deux, restons réalistes), soutenir Virginie qui, elle, s’est attaquée au Gros Morceau et qui a pris cher. Mais Virginie a plus de couilles que lui.

Naturellement, après les shabbat-goyim, ça a été au tour des officiers de monter au front, car plus beaucoup de monde ne veut se cramer pour Eux. On met une majuscule par respect.
Glucksmann, Hanouna, BHL, Goldnadel, Enthoven ont fait leur boulot de commissaires politiques, mais ça n’a pas changé la donne : le grand public est en train de passer de l’autre côté. Plus beaucoup de monde ne les croit, la propagande se retourne contre les propagandistes. Pourtant, ils essayent encore. Par exemple, ils ont balancé le cachet de Foresti, 130 000 euros pour la soirée, dont 30 pour ses auteurs. Au moins, elle, elle les rémunère, c’est pas comme les voleurs de vannes ou ceux qui ne payent pas leurs auteurs, ou avec des clopinettes malgré leurs énormes revenus… Et dans le milieu de l’humour, il y en a. On ne donnera pas de noms maintenant, ce sera pour un gros dossier à venir.

Cyril Hanouna dévoile le cachet de Florence Foresti pour avoir animé la cérémonie des César.

Hanouna balance donc le cachet de Foresti dans son émission, et lui oublie de parler de ses 250 millions d’euros offerts par Bolloré sur 5 ans pour produire de la merde pour les cons. C’est bête.

Les médias mainstream se cassent la gueule, la politique mainstream se casse la gueule, c’est maintenant au tour de la culture mainstream de se casser la gueule. La boîte de Pandore s’est ouverte, il sera difficile de la refermer. Le petit Enthoven a compris quand même une chose, dans sa haine de ceux qui résistent au maccarthysme sioniste ambiant : c’est que le débat se soralise. C’est d’ailleurs ce que Finkielkraut a établi dans sa dernière chronique :

En réalité, Virginie et Florence ne se soralisent pas (d’ailleurs on ne le leur demande pas), c’est simplement que, quand on est honnête et qu’on réfléchit un peu, on en arrive aux mêmes conclusions. Et aujourd’hui, depuis le tremblement de terre des Gilets jaunes, qui n’a pas fini de provoquer des tsunamis, beaucoup de Français se remettent à penser, les chuchotements se transforment en paroles, et les paroles en gueulantes. On ne voudrait pas donner de leçons, mais la répression des 1 % sur les 99 % autres, ça ne peut pas tenir longtemps. Il faut faire la paix, ou lâcher un peu de pouvoir. Sinon c’est tout le pouvoir qui changera de mains.

Pour finir sur une note moins lugubre, voici ce que les Inconnus pensaient déjà des César il y a 30 ans (1991) :

Les Inconnus – Les escarres.

Bonus : « L’effrayante soirée des César », par Finky
La 45e édition des César a battu tous les records de férocité et de laideur. D’entrée de jeu, ironisé sans vergogne sur le physique de Roman Polanski. Elle l’a rebaptisé Atchoum, du nom de l’un des Sept Nains. Et ivre de colère hilare contre ses douze nominations, elle a fait de J’accuse un film sur la pédophilie dans les années 1970. Le rire barbare ayant définitivement pris le pas sur l’humour, l’assistance pomponnée gloussait et le ministre de la Culture, devenu le ministre de la bien-pensance et du lynchage compassionnel, se réjouissait en silence.

L’actrice Aïssa Maïga a compté le nombre de Noirs dans la salle. « À Cannes, on bloque les comptes et on compte les Bloch », disait Tristan Bernard au début de l’Occupation. Sous le régime de la diversité, ce sont les antiracistes qui font l’inventaire. On appelle cela le devoir de mémoire.

Découvrant, horrifié, que le César de la meilleure adaptation était décerné à Roman Polanski et Robert Harris, l’acteur Jean-Pierre Darroussin a choisi d’oublier une syllabe dans le nom du premier pour bien montrer qu’il lui écorchait la gueule. Ne supportant pas, pour sa part, que le César du meilleur réalisateur soit attribué au même Polanski, Adèle Haenel, qui ne le connaît pas, qui ne l’a jamais rencontré, a quitté la salle en signe de protestation.Les professionnels du cinéma ayant mal voté, l’Académie des César promet de faire mieux la prochaine fois.

Elle a été suivie, entre autres, par la « bienveillante » Leïla Slimani. Ne dites surtout pas à cette actrice et à cette romancière que Samantha Geimer, la femme dont elles invoquent le calvaire pour réclamer justice, est aujourd’hui le premier soutien de Polanski et qu’elle refuse violemment d’être statufiée en victime ; ne leur rappelez pas non plus qu’il est un rescapé de la Shoah, que sa première femme est morte dans des conditions atroces – Polanski est passé, pour elles, dans le camp des salauds, des bourreaux, des criminels contre l’humanité.

« Plus jamais ça », cela veut dire désormais « plus jamais lui et ses ignobles congénères ». L’individu disparaît sous le symbole de l’oppression « hétéro-patriarcale ».

« Quand vous généralisez la souffrance, vous avez le communisme. Quand vous particularisez la souffrance, vous avez la littérature », a écrit Philip Roth. Le communisme n’est plus d’actualité, mais l’idéologie ne désarmant jamais, le néoféminisme a pris la relève. Et comme on l’a constaté vendredi soir Salle Pleyel, il a de nombreux compagnons de route, fervents ou veules. Ladj Ly, à leur grand soulagement, a reçu le César du meilleur film pour Les Misérables. Récompense amplement méritée. Mais peu importe à ces moralisateurs qui refusent de séparer l’homme et l’artiste qu’il ait été condamné à trois ans de prison dont un avec sursis pour complicité d’enlèvement et de séquestration d’un homme qui avait eu la mauvaise idée de coucher avec la sœur d’un de ses proches. C’est « la France rance », comme dit Télérama, qui s’en émeut. Et pour la France qui se veut accueillante et progressiste, la domination ne peut avoir qu’un visage : celui du mâle blanc occidental et… Cette soirée placée sous le signe de la libération des femmes, ressemblait furieusement à une vidéo d’Alain Soral

Dressant la liste des prédateurs dans le monde du cinéma, la maîtresse de cérémonie a cru bon d’ajouter le nom de Dominique Strauss-Kahn à ceux d’Harvey Weinstein, de Jeffrey Epstein et de Roman Polanski, et de faire une référence indirecte mais insistante à Patrick Bruel. Quand Polanski a été distingué, elle a quitté la scène, « écœurée ». Tout aussi écœurées, deux militantes qui se présentent comme Les Terriennes ont tweeté : « celui qui doit être gazé, c’est Polanski ». Cette soirée placée sous le signe de la libération des femmes, ressemblait furieusement à une vidéo d’Alain Soral.

Les professionnels du cinéma ayant mal voté, l’Académie des César promet de faire mieux la prochaine fois. Elle dissoudra donc le collège électoral et en composera un autre, mieux ajusté à la sensibilité des jeunes générations. Bienvenue dans le nouveau monde !

On a retrouvé l’illustration qui a ému Finky et le petit Clavreul, anciennement à la tête de la DILCRAH, 100 millions d’euros de budget pour lutter contre l’antisé…, pardon, pour financer le sionisme :

Malheureusement, Clavreul a effacé son tweet, mais on pouvait y voir deux jeunes manifestantes gazées par les forces de l’ordre sortir : « C’est Polanski qu’il faut gazer ». Un terme qu’on n’a plus le droit d’utiliser, selon Ruth Elkrief. Ce qui a fait dire à Élisabeth Lévy, qui a tout mélangé, les manifestantes et Foresti, dont le sketch assimilait Polanski au nain Atchoum :

« Foresti ne pense pas à mal, elle ne pense pas du tout. Elle ignore que si Polanski est petit, c’est qu’il a grandi dans le ghetto de Varsovie. Encore plus loin dans le mauvais goût, dehors, des manifestantes qui reçoivent des lacrymos crient “C’est Polanski qu’il faut gazer”. »

Et le bonus avec le retour du vieux pruneau !

Séguéla : « Qu’est-ce qui se serait passé si Polanski était noir ? »

Messiha  : « On l’aurait applaudi ».

Après le monde médiatique, le monde politique, la fracture sioniste a atteint le monde culturel. Le sionisme a fracturé le monde culturel entre ceux qui ne supportent plus sa domination et ceux qui en vivent (encore).

Source : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Totalitarisme-sioniste-dans-le-cinema-francais-Virginie-Despentes-et-Florence-Foresti-crevent-l-58390.html



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