Le sadisme islamique sauvage envers les femmes britanniques et scandinaves trouve son origine chez Mahomet

Pourquoi les musulmans préfèrent-ils les blondes : un historique.

Raymond Ibrahim est membre Shillman au David Horowitz Freedom Center

Le penchant musulman pour les femmes « blanches » à des fins d’exploitation sexuelle, – une épidémie qui sévit actuellement en Europe, et en particulier en Grande-Bretagne et en Scandinavie – est aussi vieux que l’Islam lui-même, et remonte à Mahomet.

Les témoignages littéraires en ce sens abondent et l’attestent dans le contexte des premières  prédations de l’Islam sur Byzance (qui fut pendant des siècles, le rempart le  plus oriental de la chrétienté contre le djihad). Selon Ahmad MH Shboul (auteur de « Byzance et les Arabes: l’image des Byzantines dans la littérature arabe »), la Byzance chrétienne était l' »exemple classique de la maison de la guerre », ou Dar al-Harb – c’est-à-dire le domaine par excellence devant être conquis par le djihad. En outre, Byzance était vue « comme un symbole de la puissance militaire et politique et comme une société d’abondance. »

Les similitudes entre les points de vue islamiques pré-modernes sur Byzance et la vision islamique moderne d’un Occident puissant, riche, désirable, et par-dessus tout ‘infidèle’ devraient être évidentes. Mais elles ne s’arrêtent pas là. Pour l’esprit médiéval musulman, Byzance était en outre le représentant de ‘la population blanche’ – des chrétiens aux cheveux et aux yeux clairs ou, comme on les appelait en arabe, Banu al-Asfar, ‘les enfants du jaune’ (référence aux cheveux blonds).

Et Shboul de poursuivre:

« Les Byzantins en tant que peuple étaient considérés comme l’archétype de la beauté physique et les esclaves ou jeunes filles d’origine byzantine étaient très appréciées …. L’appréciation arabe de la femme byzantine a en effet une longue histoire. Pour la période islamique, les références littéraires les plus anciennes que nous ayons sont les hadiths (paroles du Prophète). On dit que Mahomet s’est adressé à un arabe nouvellement converti [à l’islam]: ‘Aimeriez-vous les filles de Banu al-Asfar’. Les esclaves byzantines étaient non seulement recherchées pour les institutions califales et d’autres palais (où certaines sont devenues mères de califes futurs), mais elles étaient également la quintessence de la beauté physique, de l’organisation de la maison, et des créations raffinées. La jeune fille byzantine typique qui capte l’imagination des littérateurs et des poètes, avait les cheveux blonds, les yeux bleus ou verts, un visage pur et sain, de beaux seins, la taille délicate, et un corps pareil au camphre ou à un flot de lumière éblouissante. » [1]

Mais si l’essentiel de l’extrait ci-dessus est vrai, le lecteur ne doit pas être dupé par sa tonalité trop ‘romantique’. Écrit pour une publication universitaire occidentale, par un universitaire d’origine musulmane, l’essai est naturellement plein d’euphémismes au point de laisser entendre qu’être une esclave sexuelle était souhaitable, – comme si ses propriétaires arabes étaient des amoureux passionnés, qui se contentaient de raffoler de sa beauté et de l’admirer de loin. [2]

En effet, Mahomet a demandé à un nouveau converti ‘Aimeriez-vous les filles de Banu al-Asfar?’, comme moyen de l’inciter à rejoindre le djihad et à en récolter les fruits, ce qui, dans ce cas, incluait la possibilité d’asservir et de violer de blondes byzantines – loin du cadre d’une discussion sur la beauté idéale.

Cet attrait semble avoir eu l’effet inverse sur un autre musulman qui a refusé l’appel de Mahomet d’envahir le territoire byzantin (la campagne Tabuk). « O Abou Wahb, » susurrait Mahomet,n’aimeriez-vous pas avoir des dizaines de femmes byzantines comme concubines et leurs hommes comme serviteurs? » Wahb a répondu: « Ô Messager d’Allah, mes gens savent que je suis très friand des femmes et si je vois les femmes des Byzantins, je crains ne pas être en mesure de me retenir. Alors ne me tentez pas et permettez-moi de dire non et à la place, je vous aiderai avec ma fortune. » Le prophète a accepté, mais a apparemment été peu impressionné, après tout, Wahb pouvait avoir toutes les femmes byzantines qu’il désirait si le djihad réussissait et une nouvelle sourate du Coran (9:49) fut rédigée rapidement condamnant l’homme à l’enfer pour sa prétendue hypocrisie et sa défection à rejoindre le djihad.

Ainsi une lecture plus critique des extraits précités de Shboul montre que les esclaves européennes loin d’être « très appréciées » ou « valorisées » comme de précieuses statues – étaient présentées comme des trophées sexuels pour inciter les musulmans au djihad.

En outre, l’idée que certaines esclaves sexuelles soient devenues mères de futurs califes n’a pas de sens puisque dans la culture patriarcale de l’Islam, les mères – musulmanes ou non-musulmanes  –  sont sans pertinence dans la lignée et n’ont aucun statut politique.

Et parler de ‘littérateurs et de poètes’ et ‘d’un corps qui est comme le camphre ou un flot de lumière éblouissante’ est encore plus anachronique  et dessert malencontreusement la réalité: Ces femmes étaient – comme elles le sont encore – des esclaves du sexe, traitées pratiquement comme le sont les nombreuses esclaves de l’État islamique aujourd’hui.

Par exemple, lors d’une récente vente aux enchères d’esclaves sexuelles détenues par l’État islamique, les jeunes filles Yazidi aux yeux bleus et verts étaient très convoitées et acquises à un prix plus élevé. Malgré tout, ces concubines sont cruellement torturées. Dans un cas, un musulman a sauvagement battu le bambin âgé d’un an de son esclave Yazidi jusqu’à ce qu’elle accepte de répondre à toutes ses exigences sexuelles.

Un autre parallèle pertinent entre les vues islamiques médiévales et modernes existe: les femmes blanches ont été et continuent d’être considérées comme un objet d’accouplement sexuel par nature – « provoquant » essentiellement les hommes musulmans qu’elles convoitent.

Cet aspect est en grande partie discuté par Nadia El Cheikh Maria dans ‘Byzance vue par les Arabes’. Elle écrit:

La Fitna, [un terme islamique] qui signifie le désordre et le chaos, se réfère également à la belle femme fatale qui fait perdre aux hommes leur maîtrise de soi. Fitna est un concept clé dans la définition des dangers que les femmes, plus particulièrement, leurs corps étaient capables de provoquer dans l’univers mental des arabes musulmans.

Après avoir expliqué comment la femme byzantine aux cheveux et aux yeux clairs illustrait la femme fatale de la fitna de l’Islam, Cheikh écrit:

« Dans nos textes [musulmans], les femmes byzantines sont fortement associées à l’immoralité sexuelle …Nos sources ne montrent pas les femmes byzantines mais les images de ces femmes selon les écrivains musulmans, symboles de l’éternelle féminin – une menace potentielle permanente, notamment en raison d’exagérations flagrantes de leur proximité sexuelle … ».

Cheikh explorent comment les musulmans ont affirmé que les femmes byzantines (ou « blanches chrétiennes ») étaient les « femmes les plus éhontées au monde »; que, « parce qu’elles trouvent le sexe plus agréable, elles sont sujettes à l’adultère »; que « l’adultère est monnaie courante dans les villes et les marchés de Byzance » – au point que « les religieuses sortaient de leur couvents pour rejoindre les moines reclus et s’offrir à eux. »

Cheikh conclut:

Alors que la seule qualité que nos sources [musulmanes] ne nient pas est la beauté des femmes byzantines, l’image qui ressort d’elles dans les descriptions [fournies par ces mêmes sources] est tout sauf belle. Leurs représentations sont, parfois, excessives, presque caricaturales, majoritairement négatives ….

Ces anecdotes [de promiscuité sexuelle] sont clairement loin de la réalité byzantine et doivent être reconnues pour ce qu’elles sont: des tentatives de dénigrer et diffamer une culture rivale par l’exagération du laxisme de la culture byzantine et de ses femmes ….

En fait, à Byzance, les femmes devaient être en retrait, se montrer timides, modestes et dévouées à leurs familles et à leurs observances religieuses …. Le comportement de la plupart des femmes de Byzance était loin des représentations apparaissant dans les sources arabes ». [3]

Basé sur tout ce qui précède, quelques faits historiques émergent: Byzance était considérée par les premiers musulmans comme l’empire ‘infidèle’ le plus puissant, le plus avancé, et le plus riche, hautement convoité – une vue assez semblable à celle des islamiques modernes sur l’Occident d’aujourd’hui. Et les femmes byzantines, ou « femmes blanches », ont longtemps été considérées comme la « femme fatale » de l’islam – la plus désirée du point de vue charnel, la plus méprisée des femmes, du point de vue dévot.

Aujourd’hui, nous trouvons ces mêmes modèles à l’œuvre, – y compris l’idée que « les femmes blanches » sont des proies naturelles qui incitent les hommes musulmans pieux à les violer. Ainsi en décembre dernier au Royaume-Uni, tandis qu’un homme musulman violait une femme britannique, il lui disait : « vous les femmes blanches êtes bonnes à cela » – faisant écho à cette ancien motif islamique concernant la prétendue promiscuité avec les femmes blanches.

Le Royaume-Uni est également le centre de l’un des scandales sexuels le plus célèbre mené par des musulmans : à Rotherham et ailleurs, des milliers de jeunes filles britanniques indigènes ont été systématiquement victimes de la traite, apprêtées, battues et abusées sexuellement par des musulmans – pendant que les autorités du « multiculturalisme » et la police n’intervenaient pas et regardaient. (Pour en savoir plus sur le scandale au Royaume-Uni et la loi islamique sur l’esclavage sexuel cliquez ici).

En fait, à travers l’Europe – en particulier dans les nations nordiques – des milliers de femmes « de type byzantin » sont sauvagement violées et battues de manière flagrante par des musulmans. En Norvège, au Danemark et en Suède, où les cheveux blonds et les yeux bleus prédominent, le viol a augmenté de façon astronomique depuis que ces nations ont adopté la doctrine du multiculturalisme et ont ouvert leurs portes à des dizaines de milliers d’immigrés musulmans.

Selon Gatestone Institute, « Quarante ans après que le parlement suédois a décidé à l’unanimité de transformer la Suède autrefois homogène en un pays multiculturel, les crimes violents ont augmenté de 300% et les viols de 1.472%. » L’écrasante majorité des violeurs sont des immigrants musulmans. L’épidémie est si épouvantable que certaines femmes scandinaves blondes se teignent les cheveux en noir dans l’espoir d’éloigner les prédateurs musulmans potentiels.

Ce phénomène n’est pas le produit du hasard; certains musulmans modernes le préconisent.

Prenons 2011, quand une femme politique et militante essayant de lutter contre l’immoralité sexuelle au Koweït a suggéré que les musulmans importent des esclaves sexuelles blanches. Après avoir expliqué comment elle avait demandé aux clercs islamiques vivant dans la ville de La Mecque leur point de vue sur la légalité de l’esclavage sexuel et du fait qu’ils aient tous confirmé qu’il était parfaitement légitime, elle a expliqué:

« Un état musulman doit [tout d’abord] attaquer un état chrétien – désolé, je veux dire tout état non-musulman – et elles [les femmes, les futures esclaves sexuelles] doivent être capturées dans l’attaque. Est-ce interdit? Pas du tout : selon l’Islam, les esclaves sexuelles ne sont pas du tout interdites. [Voir ici, ici, et ici pour en savoir plus sur la loi islamique et l’esclavage sexuel.] »

Quant au genre idéal de femmes « infidèles », l’activiste koweïtienne a suggéré les femmes russes (qui pour la plupart ont les cheveux blonds et les yeux clairs; ironiquement, la Russie est souvent considérée comme le successeur de Byzance):

« Durant la guerre de Tchétchénie, il y a sûrement eu des captives russes. Donc, allez les acheter pour les vendre ici au Koweït; c’est mieux que de voir nos hommes s’impliquer dans des relations sexuelles interdites. Je ne vois pas de problème à cela, aucun problème du tout. »

En bref, l’épidémie qui se développe au Royaume-Uni, en Scandinavie et ailleurs, où le ciblage sexuel des hommes musulmans en direction des femmes blanches est aussi ancien que l’Islam, a des précédents dans l’histoire du prophète et de ses compagnons, et, jusqu’à ce jour, est recommandé comme pratique légitime dans certaines sphères du monde musulman.

Notes:

1- L’essai de Shboul se trouve dans ‘Les relations arabo-byzantines dans les premiers temps islamiques’ (éd Michael Bonner, Burlington: Ashgate Publishing, 2004), 240, 248

2 – Cette approche apologétique se retrouve également dans les travaux académiques modernes discutant des janissaires – ces garçons chrétiens européens capturés par l’Empire ottoman, convertis et endoctrinés dans l’Islam, formés pour être des djihadistes extraordinaires, qui se sont ensuite déchaînés contre leurs anciennes familles chrétiennes. Bien que les jeunes garçons terrifiés fussent arrachés aux mains de leurs parents dévastés, des universitaires modernes affirment que les familles chrétiennes espéraient effectivement que leurs garçons seraient pris et formés comme janissaires, ce qui leur garantirait un « avenir radieux » au sein de la hiérarchie ottomane.

3 – Nadia Maria el Cheikh, Byzance vue par les Arabes (Cambridge: Harvard University Press, 2004), 123-129.

Source : http://www.frontpagemag.com/fpm/259630/why-muslim-rapists-prefer-blondes-history-raymond-ibrahim



Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.