Nihilisme gauchiste post-chrétien

Les gauchistes humanitaires sont en réalité des éléments antisociaux narcissiques compensant leur manque d’empathie envers leur propre peuple par une idéalisation des communautés tribales primitives où ils veulent se valoriser.

Quand l’ « amour » de son lointain est proportionnel à la haine de soi et de son prochain.

Commentaire :
En tant que chrétien nous ne pouvons pas cautionner le racisme assumé de Boris Le Lay. Néanmoins nous partageons son point de vue sur le fait que les cultures et les religions ne sont pas équivalentes car comme l’a dit Jésus Christ il y a de bonnes et de mauvaises religions et de bonnes et mauvaises traditions humaines dans la hiérarchie des valeurs et de la distinction du bien et du mal.

Si l’on admet cela alors il faut aussi en admettre les conséquences cognitives et sociales telles que le niveau moyen du quotient intellectuel, les comportements schizophréniques mais aussi le degré d’avancement civilisationnel  dans les domaines artistiques et scientifiques sur le long terme.

Non, il n’y a pas de peuples ou races inférieures à d’autres, simplement des civilisations, des religions et des cultures meilleures que d’autres. Voir pour cela l’article sur la thèse de Duhem-Jaki sur l’impact des croyances dans l’essor des civilisations et l’accumulation des connaissances:
http://www.parolesdedieu.fr/these-duhem-jaki-lexplication-du-role-croyances-chretiennes-lessor-science-comparees-aux-idees-paiennes-anti-scientifiques-en-regard-grandes-civilisations/

Comprendre la psychopathie gauchiste et son avatar : le syndrome de l’involution africanophile.
En Bretagne, un certain nombre de marginaux, psychologiquement fragilisés, se réfugient dans le néo-colonialisme humanitaire afin de répondre à de graves troubles personnels.

Affectés par une incapacité à la socialisation au sein de leur société, ces déséquilibrés se rendent en Afrique où le caractère enfantin de l’africain permet à ces individus de se resocialiser à leur avantage et ainsi répondre à leur motivation profonde : l’auto-valorisation.

Cette stratégie de compensation vise à éviter la conflictualité des sociétés complexes occidentales où le fort niveau de responsabilité individuelle génère chez ces éléments inadaptés un puissant stress psychologique. Cette pathologie antisociale non assumée est généralement associée chez le sujet à un discours diabolisant la société d’origine (antiracisme, tiers-mondisme, anticapitalisme, etc.) selon un processus d’auto-suggestion connu.

L’archétype de la gauchiste bretonne désocialisée

20 Minutes (source).

Une femme âgée de 35 ans et originaire de la ville d’Hennebont, près de Lorient (Morbihan) est décédée dans un drame familial qui s’est déroulé au Gabon. La mère de famille et ses deux filles Océane, 12 ans et Kassandra, 6 ans ont été tuées début août dans des conditions qui restent à éclaircir. Selon certaines informations, elles auraient été victimes de coups de couteau assénés par le mari, aujourd’hui en fuite.

Le sujet atteint des troubles précités avait visiblement engendré deux mulâtresses avec un élément d’une tribu locale. Quiconque se rend dans la brousse gabonaise ne voyage pas seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps et la génétique.

Conclusion logique de cette involution psychologique : l’involution raciale. L’évitement de la conflictualité que supposerait le retour à un état primitif toujours existant en Afrique couplé à l’idéalisation du collectivisme tribal – le mythe du “bon sauvage” – aboutit à une stratégie reproductive dite “fusionnelle”, c’est-à-dire d’abolition des différences – perçues comme sources de stress – par métissage. Aux pulsions morbides s’ajoute donc la mort biologique.

Au surplus, avec un Quotient Intellectuel moyen de 64 (voir ici), le Gabon est parfaitement représentatif des foyers subsahariens où prolifère une basse humanité, inaccessible à tout développement culturel significatif. Dans cet univers archaïque, le sujet atteint du syndrome de l’involution africanophile pense pouvoir gérer la psychopathie (comportement antisocial) qu’il développe en Europe en la compensant par une adhésion au tribalisme nègre où la responsabilité individuelle est nulle.

Paradoxe non assumé, c’est en exploitant son avantage racial – 35% d’écart en termes de potentiel intellectuel – que le sujet escompte pouvoir maîtriser ses rapports sociaux.

Ce rapport fonctionne en système : plus le sujet atteint d’involution africanophile – ou tiers-mondiste – veut compenser ses penchants antisociaux, plus il est antipathique vis-à-vis de sa société d’origine et empathique avec son milieu d’accueil. Diabolisation de l’Europe et idéalisation de l’Afrique révèlent parfaitement ce mécanisme mental.

L’article poursuit :

[…] Depuis une dizaine d’années, Blandine Reales, âgée de 35 ans, avait fait le choix de vie de s’installer dans le pays où elle était très impliquée dans le secteur humanitaire. Elle y avait même été « littéralement » adoptée par son petit village de brousse, situé à environ 500 km de la capitale Libreville.

“Littéralement adoptée”. Comme on peut le constater, la presse hexagonale – où le syndrome de l’involution africanophile et son avatar tiers-mondiste prospèrent – continue de s’extasier devant l’amas de huttes au milieu desquelles vivaient les victimes avant d’y être massacrées. Il est de règle en effet chez les autistes atteints de régression psycho-culturelle et raciale que de s’enfermer dans le déni. Ce que l’on appelle une zone de confort.

L’article nous apprend cependant les causes profondes de la névrose de la victime principale. Sans surprise, elles sont à chercher du côté de l’éducation imposée dès le plus jeune âge par des parents névrotiques atteints de la psychopathie gauchiste :

Blandine Reales était la fille de Julien Reales, un Hennebontais bien connu pour être particulièrement investi dans la vie associative de sa ville où il participe aux conseils de quartiers. C’est également une des chevilles ouvrières d’associations comme Incroyables Comestibles ou encore celle des Jardins familiaux de Malachappe.

Il est ici essentiel d’affirmer la responsabilité morale du père dans l’assassinat de sa fille qui l’a, sans surprise, singé – le mot est plus que pertinent ici – jusqu’à pousser l’idéal d’involution sociale d’inspiration communiste en Afrique. Des “jardins en communauté” au “retour à la terre” en passant très certainement par l’antiracisme post-colonial, les jalons étaient déjà solidement posés.

Conclusion logique du nihilisme post-gauchiste : la négrification

Et la conclusion de ces 35 années de vie se résume ainsi :

Un drame qui émeut particulièrement le maire d’Hennebont. André Hartereau, proche de la famille des victimes, dit avoir aujourd’hui « comme seul souci d’entourer au mieux cette famille hennebontaise très investie dans le militantisme ». Une cérémonie aura lieu samedi, en début d’après-midi, au cimetière d’Hennebont où une plaque sera déposée à la mémoire des défunts au jardin du souvenir.

Sortie de la religion de leurs ancêtres – le christianisme bi-millénaire – ces tenants de l’athéisme rouge n’ont plus aucune explication transcendante du monde qui puisse les inscrire dans un ordre quelconque.

Pas de cérémonie à l’église qui puisse donner une compréhension profonde de la vie et de la mort en plus rappeler le lien éternel avec ses ancêtres. Juste un simple rassemblement au coin d’un jardin fleuri avec le budget minable de la mairie, le tout suivi d’un apéritif amélioré.

On ne saurait mieux résumer l’aspiration fondamentale du tribalo-collectivisme qu’est le communisme négrophile tenant lieu d’ersatz de religion aux gauchistes post-chrétiens de Bretagne. En somme, traîner son cul dans la terre avec des cafres en riant comme des débiles légers médicamentés. Ceci avant de finir dans un trou à l’entrée d’un village africain, rongé par des insectes baroques et repoussants, puis d’être recouvert de cagots par les anus purulents de la tribu locale.

Cette plongée vers le “grand rien” du recyclage vert façon “commerce équitable” fait, par contrecoup, de l’animisme nègre un système spirituel autrement plus sophistiqué que ce nihilisme matérialiste de saveur écolo-tiers-mondiste.

“Sic transit gloria mundi”.

Concepts à retenir :

1)Psychopathie gauchiste : “Les psychopathes ne ressentent rien pour les autres mais seulement pour eux. Toute émotion est ramenée à eux de n’importe quelle façon. Les autres ne sont que des objets qui servent à assouvir leurs envies. Ce problème d’absence d’empathie explique pourquoi ils n’ont aucune morale et donc aucune limite à faire du mal à autrui physiquement et moralement. D’où leur dangerosité.” (source)

La “psychopathie gauchiste” est constituée par l’ensemble des comportements antisociaux d’un individu cherchant à imposer les conséquences de sa pathologie à la société par le recours à un égalitarisme protestataire irrationnel.
2)Antisociaux narcissiques : Ontologiquement lié à la psychopathie, le “trouble de la personnalité narcissique”. Il s’agit d’un “trouble de la personnalité dans lequel un individu se manifeste par le besoin excessif d’être admiré, et par un manque d’empathie” (source).

Le psychopathe gauchiste n’a aucune empathie pour son peuple. Ce qu’il compense par un “spectacle caritatif” au profit de tout ce qui est extérieur à la société (marginaux, étrangers) dans lequel il se met en scène, pouvant ainsi se valoriser à outrance. Le gauchisme humanitaire participe de cette catharsis.

3)Involution africanophile : La “psychopathie gauchiste” aboutit, comme on l’a vu, à une désocialisation ainsi qu’à un puissant sentiment de rejet vis-à-vis de la société d’origine. S’en suit une empathie et une identification pour tout ce qui lui est extérieur.

Les sociétés occidentales, trop rigoureuses et productives pour ces individus antisociaux, sont progressivement présentées par ces derniers comme responsables de leur échec personnel selon un mécanisme de victimisation classique.

Par effet négatif, tout ce qui lui est le plus éloigné ou antagoniste des sociétés occidentales devient désirable. L’absence de responsabilité individuelle – donc d’ordre et de compétence – soulage le stress psychologique dont souffrent ces asociaux, ce qu’ils vont chercher auprès de populations collectivistes, ignorantes du principe de responsabilité individuelle.

L’involution africanophile est la manifestation de ce phénomène dégénératif.

4)Zone de confort : Antisocial et marginal, le psychopathe gauchiste doit rapidement construire un espace qui lui est propre où son système de représentations conscientes et inconscientes n’est pas remis en cause. Il s’agit d’abolir le stress psychologique induit par le caractère inadapté de l’antisocial gauchiste au sein d’une société aux rapports sociaux rigoureux, denses et complexes.

5)Nihilisme post-gauchiste : à l’image de tout usage de stupéfiants ou d’alcool, l’accès d’euphorie généré par l’utopisme militant est suivi d’une phase de “descente”. Ce retour à la réalité engendre généralement un état dépressif qui accroit encore les troubles antisociaux d’un sujet.

Faute d’admettre qu’il ne peut inverser la réalité pour qu’elle s’adapte à son inaptitude, le sujet cherche à sortir de toute conflictualité en abolissant toute limite entre son égo et le monde extérieur. Autrui est ravalé au rang de simple appendice de sa propre personnalité.

Aucun système de pensée structurée et rationnel ne prévaut, seule une affectivité exacerbée et compensée par un narcissisme incontrôlé demeure. Le sujet est destructeur, compulsif, émotif. Il refuse de se projeter dans le futur ou le passé qu’il perçoit comme hautement angoissant.

Source : http://borislelay.com/index.php/2016/09/02/comprendre-la-psychopathie-gauchiste-et-son-avatar-le-syndrome-de-linvolution-africanophile/



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