Macron ? Et si c’était Dieu qui nous l’infligeait pour qu’on se décide, enfin, à sortir de l’esclavage ?

Il est une constante historique. Tout ce que nous vivons – aujourd’hui à l’échelon mondial – a été vécu à son échelle, dans les temps anciens, par le peuple élu, qui est le peuple témoin, témoin à la fois de la bonté et de la grandeur de Dieu, mais aussi de sa sévérité quand son peuple désobéit.

La Bible le dit clairement:
Ec 3: 15 Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé.

Certains appellent cela des « patterns », une sorte de trame, de modèle qui se reproduit dans le temps à des échelons divers pour que l’homme se souvienne que Dieu est juste, que ce qu’il fait est parfait et que les mêmes causes entraînent les mêmes conséquences, selon SES lois divines, et certes pas selon les bien élastiques lois humaines. Dieu dit d’ailleurs juste avant:

14 J’ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu’il n’y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu’on le craigne.

Beaucoup s’interrogent : « Mais pourquoi la France a-t-elle mérité un Macron ? »

Il y aurait beaucoup à dire, car les lois iniques se sont accumulées en France depuis des décennies. La France n’a protesté que mollement, et l’Église (officielle) encore plus mollement, au point que lorsqu’elle a vraiment bougé à propos du mariage gay – des millions de personnes dans la rue – le Président Hollande n’a même pas reculé. Il avait fait sienne la déclaration de de Gaulle: « Ce sont des veaux », exclamation datant de 1940 à propos de l’armistice signée par Pétain. Mais ensuite, la Résistance s’est levée.

À titre indicatif, quand le gouvernement suisse a voulu autoriser les minarets dans le pays, et qu’au final le Conseil des Églises suisses a aussi accepté, ce sont tous les chrétiens suisses qui, individuellement, sont descendus dans la rue. Le gouvernement a reculé. Il avait déjà reculé quand il avait voulu changer la Constitution en supprimant ses premiers mots: « Au nom du Dieu Tout Puissant ». Le 31 janvier 2019 (dans quelques jours), suite à des pétitions de la population, le gouvernement fédéral va devoir voter pour transporter éventuellement l’ambassade de Suisse de Tel Aviv à Jérusalem ! Je le leur souhaite, à mes amis suisses, qui ont toujours compris que la source de toute bénédiction était dans l’obéissance à Dieu. Ils sont déjà bénis ….

Mais je voudrais parler d’un tout autre aspect, car l’élection de E. Macron n’est pas qu’un jugement sur la France, mais un plan, à terme, d’une délivrance venant de Dieu, qui aime ce pays qui Lui appartient.

C’est Dieu qui règne, et si pas un moineau ne tombe sans que Dieu l’ait voulu, a fortiori pas un Macron ne tombe à l’Elysée sans que Dieu l’ait voulu.

Psaumes 47:9
Dieu règne sur les nations, Dieu a pour siège son saint trône.

Mais pourquoi ? C’est le pire président qu’on ait jamais eu. Il est en passe de casser la France, il la viole, il la brade, il a choisi d’en éliminer les Français pour les replacer, et en grande partie, par une population non intégrable, voir barbare ! Pourquoi Dieu a-t-il voulu cela ?

Pour que nous comprenions cela, nous allons faire un bond de trois mille six cents ans en arrière.

À l’époque, les Hébreux sont esclaves en Egypte depuis 400 ans. Comme tous les esclaves relativement bien traités, ils ont pris goût à leur esclavage. Il y a bien longtemps que, après avoir sillonné des pays africains, je me suis étonnée que des peuples acceptent si volontiers des despotes qui les pillent et restent, de fait, dans l’esclavage. J’avais aussi fait le constat que même dans les églises une grande majorité de « fidèles » préférait être sous la férule d’un pasteur ou d’un prêtre (ou d’une hiérarchie qui n’a rien de biblique), plutôt que de se lever, d’aller témoigner dans le monde comme Jésus l’a ordonné, et de prendre toutes les armes pour intercéder et combattre comme l’apôtre Paul l’ordonne.

J’avais alors demandé à Dieu pourquoi la grande majorité des gens aiment tant leur esclavage, qu’il soit politique, religieux (il n’est qu’à voir ce qui se passe dans l’Islam : l’esclavage y est généralisé par la terreur), économique, et même philosophique et moral puisqu’ils acceptent qu’on leur dicte comment ils doivent penser, même si c’est imposé à coup de censure et d’exactions, comme c’est le cas de la France aujourd’hui.

Alors, j’ai commencé à comprendre. D’abord, les despotes terrestres, fussent-ils prêtres ou pasteurs, sont infiniment moins exigeants que Dieu qui, Lui, demande tout. Le mot-clé pour être disciple de Christ, donc sauvé en espérance, c’est le renoncement :

Luc 14 : 33 Ainsi donc, quiconque d’entre vous ne renonce pas à tout ce qu’il possède ne peut être mon disciple.
Luc 14 : 27 Et quiconque ne porte pas sa croix, et ne me suit pas, ne peut être mon disciple.

Luc 9:23 Puis il dit à tous : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive.

Aucun gourou ne peut imposer cela à autrui, c’est un acte volontaire, basé sur une foi indéfectible dans les promesses du Dieu vivant. Notre vie sur terre devient d’un bien faible poids face à l’éternité dans la gloire de Dieu promise.

Même le peuple hébreu, après avoir pourtant assisté aux prodiges les plus fous qui soient de la part de Dieu, a réclamé un roi terrestre au lieu du Roi céleste, fut-ce au prix d’y perdre sa liberté et le produit de son travail, et même y perdre sa famille.

1 Samuel 8:9 Ecoute donc leur voix, mais donne-leur des avertissements, et fais-leur connaître le droit du roi qui régnera sur eux.
10 Samuel rapporta toutes les paroles de l’Eternel au peuple qui lui demandait un roi. 11 Il dit : Voici quel sera le droit du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et il les mettra sur ses chars et parmi ses cavaliers, afin qu’ils courent devant son char ; 12 il s’en fera des chefs de mille et des chefs de cinquante, et il les emploiera à labourer ses terres, à récolter ses moissons, à fabriquer ses armes de guerre et l’attirail de ses chars. 13 Il prendra vos filles, pour en faire des parfumeuses, des cuisinières et des boulangères. 14 Il prendra la meilleure partie de vos champs, de vos vignes et de vos oliviers, et la donnera à ses serviteurs. 15 Il prendra la dîme du produit de vos semences et de vos vignes, et la donnera à ses serviteurs. 16 Il prendra vos serviteurs et vos servantes, vos meilleurs boeufs et vos ânes, et s’en servira pour ses travaux. 17 Il prendra la dîme de vos troupeaux, et vous-mêmes serez ses esclaves. 18 Et alors vous crierez contre votre roi que vous vous serez choisi, mais l’Eternel ne vous exaucera point.
19 Le peuple refusa d’écouter la voix de Samuel. Non! dirent-ils, mais il y aura un roi sur nous, 20 et nous aussi nous serons comme toutes les nations ; notre roi nous jugera il marchera à notre tête et conduira nos guerres.

Notons au passage que la France a voulu d’un Dieu « Etat », qui règne sur eux, et qui leur prend tout, tout en se faisant passer pour un « Etat Providence » (= celui qui répond à tous les besoins)

La deuxième raison de l’attraction pour la condition d’esclave, c’est que par essence, l’esclave est déresponsabilisé. Quand tout va bien, il est content, quand ça va mal, il a un coupable tout désigné : son gouvernement. Lui n’a qu’à devenir la gazette « yaka » (Il n’y a qu’à faire ceci, cela… Sous entendu : « C’est au gouvernement de faire cela »). Macron a très bien compris comment cela fonctionnait. On ouvre le « grand débat », le grand cahier des doléances du petit peuple, et celui-ci aura le sentiment d’avoir agi directement sur les réformes à venir. Et l’oligarchie macronnienne de se bidonner dans les coulisses en pensant que la ficelle habituelle fonctionnait toujours aussi bien. La preuve: les sondages remontent !

La troisième raison, et pas des moindres, c’est que la condition d’esclave engendre le fatalisme et l’inertie.« Puisqu’on n’y peut rien, ne faisons rien. Bougeons le moins possible pour ne pas avoir de problèmes ». Même dans l’Église (à part un faible reste), on ne bouge pas, même face à des lois ou des actes abominables (prenons comme rappel la passivité et même la complicité du peuple français durant la shoah, chrétiens compris). Quand on appelle les gens à l’intercession et au combat spirituel, face à une menace grave qui pèse (qu’il s’agisse d’une menace sur un individu, une collectivité ou la nation tout entière), ce que l’on entend généralement c’est: « Dieu ne permettra pas », « Dieu va faire », « Ce n’est pas notre fardeau » « on ne se mêle pas de politique, ce n’est pas le rôle de l’Église ». Ah ? Pourquoi Jésus a-t-il dit : « votre champ, c’est le monde » ?

Matthieu 10:16 Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes. 17 Mettez-vous en garde contre les hommes, car ils vous livreront aux tribunaux, et ils vous battront de verges dans leurs synagogues, 18 vous serez menés, à cause de moi, devant des gouverneurs et devant des rois, pour servir de témoignage à eux et aux païens.

… J’aurai quelques milliers de réflexions lues ou entendues depuis les vingt-cinq dernières années, alors que j’ai souvent tenté d’avertir l’Église de France (toutes dénominations confondues), quand je la voyais passive ou protestant très mollement contre des agissements du gouvernement, qui ne pouvaient qu’attirer de graves malédictions sur le pays. C’était comme si, dans la hiérarchie de l’Église, personne ne croyait à la Parole de Dieu ! Je pourrais donner la liste des abominations que la France a commises, mais elle est bien trop longue et ce n’est d’ailleurs pas mon propos.

Je pourrais résumer le goût de l’esclavage des Français au dieu État par un seul mot : assistanat.

Les Hébreux, donc, s’étaient accoutumés à leur esclavage. Lors de l’exode, on les voit sans cesse murmurer contre Moïse parce qu’ils n’ont plus les mêmes « avantages » que ceux qu’ils avaient en Egypte. Oubliés la servitude, les coups de fouets, les morts par milliers à cause de douze heures de travail quotidien, ou plus, dont une grande partie sous le soleil brûlant, oubliée la mort de tous leurs premiers-nés à cause de la prophétie qu’un Libérateur arrivait pour les Hébreux (c’était justement Moïse, alors nouveau-né, flottant sur l’eau grâce à Myriam, sa soeur, qui « voyait de loin »). Oui, tout était oublié, parce que les bourreaux savaient leur donner de quoi apaiser leurs « revendications » et leurs désirs basiques : «Nombres 11 « 5 Nous nous souvenons des poissons que nous mangions en Egypte, et qui ne nous coûtaient rien, des concombres, des melons, des poireaux, des oignons et des aulx. 6 Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. »

Cela, Macron l’a aussi compris. Il a très vite lâché du lest quand les GJ se sont levés. Juste de quoi picorer : + 100 euros aux uns, quelques petits cadeaux fiscaux à d’autres, on supprime (un temps) les taxes sur le carburant…

Bref, il recopie tout ce que ses prédécesseurs ont déjà pratiqué et qui a toujours fonctionné. Il est content, Macron, du moment que son indice de popularité remonte et que, tandis qu’il lâche ce lest, il part en catimini signer deux alliances qui vont détruire le pays au profit d’une Europe sans nationalismes et sans patries : le pacte de Marrakech et le traité d’Aix-la-Chapelle. D’une certaine manière, le mouvement des GJ l’a bien aidé à faire passer cette pilule. Les Français, les yeux rivés sur les violences policières soigneusement orchestrées par Castagner, ont eu providentiellement le regard détourné.

Revenons aux Hébreux et à la manière dont Dieu s’y est pris pour que son peuple, enfin, prenne en haine son esclavage et crie à Lui pour en être libéré. Car c’est exactement ce qui nous arrive !

Actes 7: 17… le peuple s’accrut et se multiplia en Egypte, 18 jusqu’à ce que parut un autre roi, qui n’avait pas connu Joseph. 19 Ce roi, usant d’artifice contre notre race, maltraita nos pères, au point de leur faire exposer leurs enfants, pour qu’ils ne vécussent pas.

C’est-à-dire un roi qui n’avait pas la moindre crainte du Dieu vivant, qui s’était manifesté puissamment à travers Joseph !
Comme chez nous : nos présidents, depuis belle lurette, n’ont aucune crainte de Dieu, pas plus que nos énarques qui ont d’autres dieux (Mamon : le dieu de l’argent ; Baphomet : le « grand architecte » de la franc-maçonnerie ; la déesse Raison, …)

Reprenons l’histoire plus détaillée :

Ex 1: 7 Les enfants d’Israël furent féconds et multiplièrent, ils s’accrurent et devinrent de plus en plus puissants. Et le pays en fut rempli. 8 Il s’éleva sur l’Egypte un nouveau roi, qui n’avait point connu Joseph. 9 Il dit à son peuple : Voilà les enfants d’Israël qui forment un peuple plus nombreux et plus puissant que nous. 10 Allons ! montrons-nous habiles à son égard; empêchons qu’il ne s’accroisse, et que, s’il survient une guerre, il ne se joigne à nos ennemis, pour nous combattre et sortir ensuite du pays. 11 Et l’on établit sur lui des chefs de corvées, afin de l’accabler de travaux pénibles. C’est ainsi qu’il bâtit les villes de Pithom et de Ramsès, pour servir de magasins à Pharaon. 12 Mais plus on l’accablait, plus il multipliait et s’accroissait; et l’on prit en aversion les enfants d’Israël. 13 Alors les Egyptiens réduisirent les enfants d’Israël à une dure servitude. 14 Ils leur rendirent la vie amère par de rudes travaux en argile et en briques, et par tous les ouvrages des champs : et c’était avec cruauté qu’ils leur imposaient toutes ces charges.

N’est pas avec cruauté que l’État et le gouvernement imposent actuellement aux « petits Français » des charges de plus en plus iniques et lourdes, au point que beaucoup n’arrivent même plus à vivre de leur travail ?

Mais ce n’était pas encore suffisant pour que les Français décident de casser leurs chaînes. Alors, du temps des Hébreux, va arriver un roi encore pire :

Ex 2: 23 Longtemps après*, le roi d’Egypte mourut, et les enfants d’Israël gémissaient encore sous la servitude, et poussaient des cris. Ces cris, que leur arrachait la servitude, montèrent jusqu’à Dieu. 24 Dieu entendit leurs gémissements, et se souvint de son alliance avec Abraham, Isaac et Jacob. 25 Dieu regarda les enfants d’Israël, et il en eut compassion.

Enfin, le peuple hébreu se met à crier pour être libéré de son esclavage ! Et Dieu l’entend. Mais il en faudra encore bien plus, pour que ce peuple se décide, enfin !, à sortir de son esclavage. Certes, Moïse le Libérateur est vivant, mais il va falloir encore 80 ans avant que lui-même soit apte à libérer le peuple : quarante ans à ingérer tout ce que le monde peut apprendre et savoir commander, puisqu’il doit devenir Pharaon. Puis encore quarante ans dans le désert, pour y perdre tout orgueil, et pour prendre conscience qu’il ne peut s’appuyer sur aucune de ses capacités humaines (il en arrive à bégayer), mais à s’appuyer sur Dieu seul.

Alors, devenu « l’homme le plus humble que la terre ait jamais porté », le voici enfin apte à accomplir la vision et la mission que Dieu a préparées pour lui.

Pendant ce temps, la main de Pharaon ne cesse de s’appesantir en Egypte. Il faut que les Hébreux soient saturés de cet esclavage misérable auquel ils se sont si bien accoutumés.

Il faut surtout qu’ils croient en ce que Dieu dit :

Ex 4:30 Aaron rapporta toutes les paroles que l’Eternel avait dites à Moïse, et il exécuta les signes aux yeux du peuple. 31 Et le peuple crut. Ils apprirent que l’Eternel avait visité les enfants d’Israël, qu’il avait vu leur souffrance; et ils s’inclinèrent et se prosternèrent.

Il faut surtout qu’ils soient dégoûtés au point de ne jamais vouloir revenir en arrière.

Tenez, on croirait entendre E. Macron parler:

Ex 5:17 Pharaon répondit : Vous êtes des paresseux, des paresseux ! …18 Maintenant, allez travailler; on ne vous donnera point de paille, et vous livrerez la même quantité de briques.

Traduction à la sauce Macron :

« Vous, les sans dents, êtes des paresseux, des paresseux ! … Maintenant, allez travailler; vous n’avez qu’à traverser la rue. On n’enlèvera pas la CSG et les taxes, et si on vous ôte la TH, c’est pour mieux engranger d’autres impôts et taxes sur votre dos. On vous ôte, vous les campagnards et autres vils habitants des petites villes, tous les services publics et les transports qui vous permettaient de travailler, mais vous allez faire sans eux, et mieux ».

L’Insupportable. Voici le point de rupture auquel Dieu a conduit son peuple, pour qu’il soit, enfin !, prêt à s’affranchir. Rien de moins !

Ex 6:5 J’ai entendu les gémissements des enfants d’Israël, que les Egyptiens tiennent dans la servitude, et je me suis souvenu de mon alliance. 6 C’est pourquoi dis aux enfants d’Israël : Je suis l’Eternel, je vous affranchirai des travaux dont vous chargent les Egyptiens, je vous délivrerai de leur servitude, et je vous sauverai à bras étendu et par de grands jugements. 7 Je vous prendrai pour mon peuple, je serai votre Dieu, et vous saurez que c’est moi, l’Eternel, votre Dieu, qui vous affranchis des travaux dont vous chargent les Egyptiens

Voici donc le pourquoi de Macron. Depuis des décennies, le peuple français, en échange de l’assistanat et d’une fausse sécurité et protection de l’État, encaisse, encaisse et encaisse encore: taxations et impositions imbuvables, privation de plus en plus grave de sa liberté de penser, écrire et publier, déformation devenue évidente de la mission de l’Éducation nationale qui devient l’Éducation sexuelle (pervertie). Plus ce qui se profile: un contrôle de l’éducation religieuse chrétienne et une mise sous tutelle. Le peuple a encaissé tout cela sans objecter, sans se lever pour protester, sans descendre dans la rue, sans bloquer le pays, même si s’accumulaient des violations de la Constitution et la suppression de leurs libertés les plus élémentaires. Les trois derniers Présidents que les Français ont élus ont fait tout ce qu’il faut faire, le premier par le printemps arabe, et les deux derniers en pactisant avec l’Islam, pour ouvrir les frontières à une horde d’envahisseurs désireux de remplacer le peuple français et d’imposer leurs propres lois, barbares, à travers la charia.

Et les Français d’encaisser, d’encaisser… Tout pour que chacun, dans son petit coin, puisse bénéficier encore un peu, encore un temps, d’une relative tranquillité même si celle-ci s’amenuisait comme peau de chagrin à une vitesse grand V.

Mais voilà, il se profile ce qui s’est produit du temps de Pharaon: le peuple se révolte, des Gilets jaunes se lèvent, des intercesseurs crient à Dieu…

Et Dieu entend !

Comment Dieu va-t-Il s’y prendre pour libérer son peuple de France. C’est prématuré. Mais rappelons-nous ce que nous citions en début d’article:

Ec 3:15 Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé.

Pour que le peuple puisse être libéré, Dieu a envoyé dix plaies sur le pays, dix plaies terribles, en nous souvenant que le peuple de Dieu a été lui aussi frappé par les trois premières plaies. Ce n’est qu’à partir de la quatrième que Dieu a mis son peuple à part et l’a épargné.

Mon Dieu n’a pas changé, car Il ne change pas, Lui qui est parfait. Alors oui, je m’attends à des secousses épouvantables sur la France, mais c’est le passage nécessaire pour que ce pays se décide à sortir de son esclavage, de son apathie, et à entrer dans la mission particulière que Dieu lui a réservée dans le monde et dans les temps à venir.

Je le sais, un destin extraordinaire attend la France. Mais il faudra d’abord qu’elle soit nettoyée de tous ses faux dieux, à commencer par le dieu État, et qu’elle se tourne vers le Dieu vivant. Amen !

@Michelle d’Astier de la Vigerie pour Dreuz.info

  • * C’était encore proche de l’époque d’Abraham, qui a vécu, rappelons-le, 175 ans

Source : https://www.dreuz.info/2019/01/26/macron-et-si-cetait-dieu-qui-nous-linfligeait-pour-quon-se-decide-enfin-a-sortir-de-lesclavage/



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