L’incroyable propolis

Cet incroyable remède fabriqué par les abeilles.

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Je les entends déjà ricaner.

« Un remède fabriqué par les abeilles ? Pff… Sûrement de la médecine folklorique. Qui peut croire que le produit des abeilles peut guérir, à part quelques bobos ou hippies qui pensent que la Nature est forcément bonne et bienfaisante ? »

Ils sont nombreux à penser ça, notamment dans le corps médical.

Et je dois vous faire une confession : il y a une dizaine d’années, je n’étais pas loin de penser comme ça.

Avant d’être frappé moi-même par des problèmes de santé, je croyais que la médecine moderne était 100 % scientifique et toute-puissante. Et qu’un médicament prescrit par un médecin valait forcément mieux qu’un remède naturel traditionnel.

Autant vous dire que je n’avais rien compris.

Ma seule excuse, c’est que personne ne m’avait expliqué les choses clairement.

C’est même l’inverse : tout est fait pour nous cacher deux vérités très simples :

1. Les études scientifiques sont hyper biaisées en faveur des médicaments chimiques.

On s’imagine parfois que tous les remèdes potentiels ont été parfaitement testés et re-testés scientifiquement, qu’ils soient chimiques ou naturels.

On croit donc que les médicaments chimiques doivent avoir mieux « réussi » ces tests… puisque ce sont eux (et pas les remèdes naturels !) que les autorités et les médecins recommandent.

Mais pas du tout !

La réalité, c’est que 90 % de la recherche médicale est financée par les laboratoires pharmaceutiques.

Or ces multinationales excluent par principe la recherche sur les remèdes naturels.

Pourquoi ? Pour une raison simple, que l’on peut d’ailleurs difficilement leur reprocher.

Si un grand labo pharmaceutique dépensait des millions d’euros pour prouver l’efficacité d’un remède naturel, ce serait de l’argent investi en pure perte.

N’oubliez pas que les laboratoires sont des entreprises à but lucratif, pas des fondations d’utilité publique.

Ce qu’ils cherchent, ce sont des molécules de synthèse qu’ils pourront breveter, qu’ils seront les seuls à commercialiser et dont ils pourront donc tirer un bon « retour sur investissement ».

Heureusement, il existe aussi des recherches financées par des États ou des fondations d’utilité publique.

Mais les États sont de plus en plus endettés. Et leurs moyens financiers font pâle figure face aux budgets colossaux des géants du médicament.

Et comme si cela ne suffisait pas, au sein même de la recherche publique, la quête des remèdes naturels est très minoritaire.

Au total, on doit donc trouver 1 étude sur des remèdes naturels pour 99 études sur des molécules chimiques.

Mais nous sommes en train de vivre une petite révolution.

En ce début de 21ème siècle, le nombre d’études scientifiques et médicales est en train d’exploser, aux quatre coins du monde.

Même si les recherches sur les produits naturels restent minoritaires, elles sont mathématiquement de plus en plus nombreuses !

En deux clics, depuis n’importe quel ordinateur, vous et moi avons désormais accès :

  • Aux récentes études de chercheurs chinois prouvant l’efficacité étonnante d’une plante locale, l’uperzine A, contre Alzheimer ;
  • À l’accumulation d’études indiennes prouvant les bienfaits du hatha yoga (le trésor national), notamment en accompagnement du cancer ;
  • Ou encore aux études brésiliennes sur la propolis, ce remède fabriqué par les abeilles dont je vais vous parler plus en détail dans un instant !

Et grâce à toutes ces études, nous savons désormais que de nombreux remèdes naturels traditionnels sont puissants et sans danger.

Pourtant, ils ne sont toujours pas prescrits par les médecins.

Savez-vous pourquoi ?

Parce que les médecins suivent les recommandations des autorités de santé… et que ces autorités se réfugient derrière un argument de mauvaise foi.

Ces remèdes, disent-elles, ne sont pas prouvés à 100 % car ils n’ont pas été testés sur des milliers de personnes pendant des années.

Mais c’est le serpent qui se mord la queue !

Car seules les multinationales pharmaceutiques ont les moyens d’aligner les dizaines de millions d’euros nécessaires pour faire ces études à grande échelle.

Bien sûr, il y a toujours des exceptions. Parfois, l’État accepte de mettre la main à la poche.

C’est le cas par exemple de la Suède, qui a lancé une très grande étude sur la vitamine D.

Mais on est dans un cas très particulier car : 1) la vitamine D est l’un des 3 ou 4 produits naturels les plus impressionnants qui existe, déjà validé par des milliers d’études ; 2) les Suédois sont traditionnellement très ouverts sur les méthodes naturelles… et 3) ils sont par ailleurs sévèrement carencés en vitamine D, faute de soleil !

Dans la plupart des cas, les financements n’existent pas.

Tout récemment, un brillant médecin-chercheur de l’École Polytechnique, le Dr Alain Schwartz, s’est même vu refuser des fonds publics malgré ses trouvailles particulièrement prometteuses contre le cancer.

On ne saura donc jamais si les substances naturelles (et sans danger !) découvertes par le Dr Schwartz peuvent faire une vraie différence contre le cancer.

Et en attendant, les malades n’auront pas d’autre choix que de subir des traitements lourds, faiblement efficaces et aux effets secondaires dramatiques… mais qui ont l’avantage incontestable d’avoir été testés sur des milliers de patients.

Au total, que ce soit pour les maux du quotidien (infections…) ou la plupart des maladies chroniques (arthrose, diabète, ostéoporose, maladies cardiovasculaires, etc.), vous avez presque toujours deux types de solutions :

  • Des médicaments chimiques testés à grande échelle ;
  • Des remèdes naturels testés à petite échelle.

Et savez-vous pourquoi vous devriez choisir le remède naturel dans la plupart des cas ?

Là encore, la raison vous est soigneusement cachée :

2. Un médicament chimique a toujours des effets indésirables. Alors qu’un remède naturel a souvent des effets « secondaires » positifs, bons pour la santé.

La plupart des médicaments contrecarrent le fonctionnement normal de l’organisme.

C’est même leur objectif assumé. Par exemple, les médicaments anti-infarctus fluidifient votre sang, pour éviter les caillots et les accidents cardiaques.

À court terme, cela peut vous sauver la vie. Mais à long terme, c’est problématique.

Car ce n’est pas pour nous embêter que notre sang est « peu fluide ». C’est pour réparer les artères endommagées et les aider à cicatriser par une petite croûte.

Si vous fluidifiez votre sang, vous réduisez votre risque d’infarctus (qui survient quand une « croûte » forme un caillot et bouche l’artère)… mais vous augmentez votre risque d’AVC hémorragique (une artère de votre cerveau se rompt, faute d’avoir été « réparée » par une croûte).

Même chose pour les médicaments contre l’hypertension, qui forcent votre corps à abaisser sa tension artérielle.

Ils limitent les dégâts, mais ils ne sont pas l’idéal. Car ce n’est pas par méchanceté que votre corps élève votre tension.

Dans de nombreux cas, c’est parce que vos artères sont en mauvais état et que vous avez besoin d’une pression plus forte pour que votre sang atteigne tous vos organes et les irrigue en oxygène !

Si vous faites baisser la pression artificiellement, vous éviterez certains des risques, mais vous en prenez d’autres – car vos reins et votre cœur sont moins bien irrigués !

Voilà pourquoi on parle toujours de « bénéfice-risque » pour les médicaments. Leur principe même est de « détraquer » un endroit de votre organisme, dans l’espoir de faire « plus de bien que de mal ».

Parfois, le jeu en vaut la chandelle, surtout en cas d’urgence. Les antibiotiques ravagent votre flore intestinale, mais peuvent vous sauver la vie d’une infection grave.

Mais quand vous les prenez sur une longue période, le calcul bénéfice / risque est presque toujours défavorable aux médicaments.

Surtout que dans la plupart des cas, on ne connaît pas l’ampleur des risques que l’on est en train de prendre !

Car les essais cliniques durent 5 ans au maximum… alors que de nombreux médicaments se prennent sur des dizaines d’années.

Et c’est ainsi que, après des années de mise sur le marché, on s’est aperçu un peu tard que :

  • Les médicaments anti-inflammatoires multiplient par deux votre risque de crise cardiaque, et peuvent vous faire des trous dans l’estomac ;
  • Les médicaments antiacides, contre les brûlures d’estomac (IPP), augmentent le risque d’Alzheimer, de maladie du cœur et des reins – pas étonnant quand on sait que l’acidité de l’estomac est essentielle pour bien digérer les aliments et lutter contre les infections bactériennes !
  • Les médicaments antidépresseurs accroissent le risque d’ostéoporose, de maladie cardiaque… et peut-être même de… dépression.
  • Et je pourrais continuer la liste pendant des pages et des pages.

La différence avec les meilleurs remèdes naturels est frappante.

Dans la plupart des cas, ils ne se contentent pas d’agir sur le symptôme – la fièvre, la tension, la douleur.

Ils rééquilibrent votre organisme et activent vos forces de guérison pour vaincre le problème en profondeur.

Par exemple :

  • Le curcuma est efficace contre les douleurs de l’arthrose par son puissant effet anti-inflammatoire, mais il a des dizaines d’autres effets thérapeutiques, y compris celui d’être anti-cancer ;
  • Les probiotiques améliorent les symptômes de la dépression en renforçant votre flore intestinale… mais le rééquilibrage de votre flore a aussi une cascade d’effets positifs sur votre santé globale ;
  • Les omega-3 vous protègent contre la crise cardiaque parce que ce sont des acides gras essentiels au bon fonctionnement de plusieurs organes… dont le cerveau !

En fait, les remèdes naturels les plus précieux n’ont pas d’effet secondaire… à part vous faire du bien ailleurs dans l’organisme !

Si vous prenez de la vitamine K2 pour avoir des os solides, vous en profitez pour réduire drastiquement votre risque de crise cardiaque.

Si vous prenez de la rhodiola (une plante sibérienne) pour mieux gérer votre anxiété, vous en profitez pour éloigner la dépression, stimuler votre cerveau et gagner en énergie.

Et si vous prenez de la propolis contre un mal de gorge…

… eh bien, vous ne pouvez pas imaginer le nombre de bienfaits qu’elle peut vous apporter par ailleurs !

Tout ce que la propolis peut faire pour vous !

Bon, j’admets que j’ai fait un bien long détour pour vous parler de la propolis, ce merveilleux remède fabriqué par les abeilles.

Mais c’est parce que la propolis est l’illustration parfaite de tout ceci ! Elle n’est presque jamais prescrite par les médecins, alors que :

  • Elle a un nombre vertigineux d’effets thérapeutiques prouvés scientifiquement : anti-oxydante, anti-inflammatoire, antibactérienne, antivirale, antifongique, immuno-modulatrice (équilibre le système immunitaire) et anti-tumorale.
  • Son efficacité a été validée dans de nombreuses indications (infections hivernales, brûlures d’estomac, acné, etc.)… et si vous la prenez contre l’un de ces problèmes, elle a toutes les chances de vous faire du bien « ailleurs » !
  • Mais elle est encore trop peu utilisée : malgré la floraison d’études scientifiques sur la propolis depuis 20 ans, les recherches sont encore très insuffisantes par rapport à son potentiel, notamment sur le cancer !

Il est vrai que la propolis n’est pas facile à étudier, car c’est un assemblage très complexe de plus de 200 composants.

Et en plus, la composition de la propolis varie selon qu’elle est récoltée en France (propolis de peuplier), au Brésil (propolis verte) ou en Chine.

Mais toutes les propolis contiennent ces substances précieuses :

  • Des résines riches en polyphénols (flavanoïdes) ;
  • Des huiles essentielles ;
  • Du pollen et des substances organiques et minérales.

Leur richesse en polyphénols est impressionnante. La propolis contient les mêmes nutriments thérapeutiques que l’on trouve dans les super-aliments comme les mûres, les fraises, les oignons, les brocolis ou le thé vert.

Mais ce sont probablement les huiles essentielles de la propolis qui expliquent son action sidérante contre les virus et les bactéries.

Contre les infections de l’hiver, évidemment !

La capacité de la propolis à tuer les microbes est connue depuis l’Antiquité.

C’est même pour cela qu’elle est fabriquée par les abeilles.

Les abeilles l’utilisent pour boucher les trous de la ruche et la protéger contre les agressions extérieures. Grâce à la propolis, une ruche est plus stérile que le plus stérile des blocs opératoires !

Encore plus fort : les abeilles se servent aussi de la propolis pour « momifier les cadavres ».

Eh oui, car cela peut être une question de vie ou de mort pour les abeilles.

Il arrive qu’un petit rongeur affamé s’introduise dans la ruche, à la recherche d’un bon repas sucré. En quelques minutes, le pauvre animal succombe généralement aux coups de dard et de venin.

Mais son cadavre met alors en danger toute la ruche. Car il va se décomposer, tomber en putréfaction, avec toutes les conséquences que vous pouvez imaginer.

Alors les abeilles l’embaument… avec la propolis. Et c’est très efficace !

C’est ce qui a donné l’idée aux Égyptiens d’embaumer leurs pharaons… et ils utilisaient notamment la propolis pour le faire !

Vous comprenez pourquoi la propolis est puissamment efficace contre les bactéries, les virus et les parasites.

Et c’est pourquoi vous avez tout intérêt à en prendre au moindre début de mal de gorge !

N’hésitez pas non plus si vous avez un rhume, une sinusite ou de la grippe : plusieurs études montrent que la propolis réduit les symptômes et accélère la guérison. [1]

Mais ce n’est pas son seul bienfait, loin de là.

En fait, la propolis peut vous aider dans presque toutes les pathologies où des virus et des bactéries sont impliquées… et il y en a beaucoup !

Brûlures d’estomac, ulcère, herpès, acné, infections buccales etc.

Voici une petite liste des problèmes de santé pour laquelle la propolis a une efficacité validée scientifiquement :

  • Infections bucco-dentaires : la propolis est utilisée de longue date en dentisterie (on la trouve aussi dans les bons dentifrices !). Son efficacité est avérée contre les gingivites, l’hypersensibilité dentaire ou les parodontites [2] ;
  • Herpès et zona : des chercheurs roumains ont testé l’efficacité d’une pommade concentrée à 50 % de propolis sur des lésions provoquées par le zona ou l’herpès… et cela a causé une amélioration dans 97% des cas. [3] Même résultats très positifs trouvés par des chercheurs israéliens sur l’herpès [4] ;
  • Acné : une crème à base de propolis est efficace grâce à ses effets antibactériens, anti-inflammatoires, antioxydants et cicatrisants [5] ;
  • UlceÌres de l’estomac : avant même qu’on ne découvre qu’ils étaient causés par une bactérie (Helicobacter Pylori), 3 équipes de chercheurs russes avaient confirmé l’efficacité de la propolis dans le traitement des ulcères de l’estomac [6] ;
  • Reflux gastro-oesophagien : sucer des pastilles de propolis a de nombreux avantages contre le reflux : non seulement ses effets antibactériens et antidouleurs sont utiles, mais cela active la salive, dont les effets anti-reflux ont été démontrés (mâcher un chewing-gum réduit les douleurs [7]).

Voilà d’excellentes raisons d’avoir toujours de la propolis dans votre pharmacie familiale.

Mais ne vous contentez pas de l’utiliser pour résoudre un problème. Elle est précieuse également pour vous empêcher de tomber malade.

Car elle a aussi un effet très positif sur vos défenses naturelles, celles qui vous protègent contre les maladies. [8]

Par exemple, une équipe de chercheurs italiens a récemment montré qu’une supplémentation de gouttes de teinture-mère de propolis combinée à du zinc permettait de diminuer la survenue d’otites chroniques de 32 %. [9]

Et ce n’est pas tout…

Cancer, cerveau, métaux lourds… d’autres bienfaits à découvrir

Je n’ai pas la possibilité d’entrer dans les détails de tous les bienfaits de la propolis qui restent encore à explorer.

Mais sachez tout de même que :

  • La propolis a un potentiel anti-cancer à explorer : in vitro, elle empêche les tumeurs de proliférer ;
  • Elle peut protéger votre foie contre de nombreuses substances toxiques, comme les pesticides et les métaux lourds ;
  • Elle pourrait avoir un effet préventif sur les maladies du cerveaucomme Alzheimer ou Parkinson ;
  • Ses effets anti-inflammatoires et antidouleurs pourraient être précieux contre l’arthrose.

À la limite, il serait presque plus rapide de faire la liste de ce sur quoi la propolis n’a aucun effet !

Tout ça, sans le moindre effet secondaire

Et ce qui est magique, c’est que tous ces bienfaits vous tombent dessus sans le moindre effet indésirable.

Le seul risque, c’est l’allergie. Les rares malheureux qui sont allergiques aux produits de la ruche doivent l’éviter.

Mais sinon, elle ne pose aucun problème !

Alors vous comprenez pourquoi il serait dommage de s’en priver.

Certes, la propolis n’aura jamais l’effet « massue » et immédiat des antibiotiques contre les bactéries, des antiacides contre les brûlures d’estomac ou du Roaccutane contre l’acné.

Mais tous ces médicaments ont d’effroyables effets indésirables quand ils sont pris au long cours… alors que la propolis n’a que des effets positifs pour votre organisme sur le long terme !

Simplement, il faut bien savoir la choisir et l’utiliser.

La qualité avant tout !

N’essayez surtout pas de faire de « bonnes affaires » avec la propolis.

Car si vous choisissez de la mauvaise qualité, vous risquez de vous retrouver avec une propolis bourrée de métaux lourds et de pesticides !

Vous pouvez aussi tomber sur une propolis peut efficace car trop riche en cire (qui a peu de propriétés) et pauvre en résine (là où les polyphénols sont concentrés !).

Je n’ai pas une connaissance personnelle des laboratoires qui font de la propolis, mais j’ai lu avec beaucoup d’intérêt le livre Soignez-vous avec les produits de la ruche, rédigé par le directeur scientifique de « Pollenergie ». Ce laboratoire me semble donc présenter d’excellentes garanties de sérieux.

Par ailleurs, il est de notoriété publique que le Professeur Joyeux a toute confiance dans les marques suivantes : www.propolia.com et www.secretsdemiel.com.

Le mieux est d’utiliser prioritairement la propolis en gélules, sauf dans certaines indications, comme les brûlures d’estomac (gomme à mâcher) ou les problèmes de peau (baume à appliquer).

En cas d’infection ou de problème aigu, n’hésitez pas à prendre de fortes doses : 600 à 800 mg (3 à 4 gélules) 3 fois par jour (donc environ 2 000 mg par jour).

En prévention, vous pouvez faire des cures d’une vingtaine de jours, à chaque changement de saison par exemple. Prenez alors environ 800 mg par jour, 2 gélules matin et soir.

Vous verrez : la propolis a un champ d’action tellement large qu’à elle seule, elle peut remplacer le quart ou le tiers de tous les produits de votre pharmacie familiale.

Alors profitez-en !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : La propolis gagne vraiment à être connue et utilisée, alors n’hésitez pas à transmettre cet article autour de vous et à le partager sur Facebook !

[1] Z. Szmeja, B. Kulczynski, Z. Sosnowski, and K. Konopacki. Therapeutic value of flavonoid in rhinovirus infections. Otolaryngologia Polska, vol. 43, no. 3, pp. 180–184, 1989.
[2] A. S. Mahmoud, K. Almas, and A. A. Dahlan. The effect of propolis on dentinal hypersensitivity and level of satisfaction among patients from a university hospital Riyadh, Saudi Arabia. Indian Journal of Dental Research, vol. 10, no. 4, pp. 130–137, 1999.
[3] GiurcaÌneanu F, Crişan I, Eşanu V, Cioca V, Cajal N. Treatment of cutaneous herpes and herpes zoster with Nivcrisol-D. Virologie. 1988 Jan-Mar;39(1):21-4.
[4] M. Huleihel et V. Isanu, Anti-herpes simplex virus effect of an aqueous extract of propolis, Israel Medical Association Journal, Vol. 4, No. 11, supplément, pp. 923-927, 2002.
[5] Vijay D. Wagh – Propolis: A Wonder Bees Product and Its Pharmacological Potentials – Adv Pharmacol Sci. 2013; 2013: 308249.
[6] A. G. Gorbatenko. Treatment of ulcer patients with a 30 percent alcohol solution of propolis. Vrachebnoe Delo, vol. 3, no. 1, pp. 22–24, 1971. / F. D. Makarov. Propolis treatment of ulcer disease and pyloroduodenitis. Vrachebnoe Delo, vol. 4, pp. 93–96, 1972. /Damyanliev, K. Hekimov, E. Savova, and R. Agopian. The treatment of suppurative surgical wounds with propolis. Folia Medica, vol. 24, no. 2, pp. 24–27, 1982. / I. M. Korochkin and M. V. PoslavskiiÌ. Treatment of chronic gastroduodenal ulcers by local administration of propolis. Sovetskaya Meditsina, no. 10, pp. 105–107, 1986.
[7] The effect of chewing sugarfree gum on gastro-esophageal reï¬ux. Moazzez R, Bartlett D, Anggiansah A. J Dent Res. 2005;84:1062–1065
[8] Voir l’excellent livre de Nicolas Cardinault, Soignez-vous avec les produits de la ruche, Thierry Souccar Editions, 2016.
[9] Marchisio P, Esposito S, Bianchini S, Desantis C, Galeone C, Nazzari E, Pignataro L, Principi N. Effectiveness of a propolis and zinc solution in preventing acute otitis media in children with a history of recurrent acute otitis media. Int J Immunopathol Pharmacol. 2010 Apr-Jun;23(2):567-75.


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