Le transfert d’informations génétiques par rayon laser permet de franchir la barrière des espèces et de supprimer les tares génétiques

adn-624x309Découvertes sidérantes sur l’ADN et métamorphoses d’organismes vivants

Des découvertes scientifiques ont montré que l’assemblage de l’ADN est piloté par un champ électromagnétique. Dans le but de mieux comprendre la formation et le fonctionnement des organismes vivants, certains scientifiques se sont livrés à des expériences aux résultats pour le moins surprenants.

Quoi qu’il en soit, les enjeux de cette nouvelle vision de la nature de l’ADN sont majeurs et pourraient permettre de traiter plus efficacement le cancer, de soigner des maladies encore incurables ou même d’éradiquer le sida.

Des découvertes capitales sur l’ADN

En 1953 le laboratoire Cavendish de Cambridge découvre la structure en double hélice de l’ADN. Pour le docteur en sciences physiques Alain Boudet, cet aspect moléculaire n’est « qu’un aspect limité de l’ADN ». D’autres découvertes représentant une réelle avancée dans la compréhension de la molécule, très rarement évoquées dans les enseignements universitaires et les médias, ont été faites par une série de scientifiques.

Des hologrammes dans la matière

De nombreux biologistes et physiciens évoquent l’existence de champs de rayonnements, appelés biochamp, qui englobent et imprègnent les organismes biologiques. Ce biochamp constitue la réplique exacte de la partie matérielle de l’organisme mais sous forme de lumière. Ce qui lui a valu le nom d’hologramme. C’est le neurobiologiste Karl Pribram, qui est le premier à évoquer l’idée que des hologrammes porteurs d’informations sont présents dans les organismes vivants. Il a démontré, par ailleurs, que les souvenirs ne sont pas enregistrés dans la matière du cerveau, mais dans son « champ holographique ».

Plus tard, le Dr. Peter Gariaev et d’autres chercheurs de l’Académie russe des Sciences naturelles et de l’Académie des Sciences médicales, ont montré l’existence d’un champ vibratoire créé dans l’organisme par l’ADN. Leurs recherches ont également montré que ce biochamp a les caractéristiques d’un hologramme et porte les informations génétiques d’organisation et de coordination du fonctionnement des cellules. Selon le physicien Ellery Schempp, ces hologrammes sont inscrits dans le plan des paires de bases de la double hélice.

Alain Boudet affirme :

« Ces hologrammes de l’ADN contiennent les codes fondamentaux du développement et de la forme complète de l’organisme, même quand l’organisme est à l’état d’embryon. »

Une expérience menée en 2011 par le Dr Luc Montagner, démontrant que l’ADN peut se former spontanément dans de l’eau pure sans la présence des éléments matériels qui la composent, confirme l’existence d’une forme énergétique sous-jacente associée à la molécule.

En somme, toutes ces découvertes démontrent que le génome comporte une partie constituée de matière et une autre constituée d’ondes. Cette partie holographique de l’ADN est, en d’autre termes, un champ de biophotons et ce champ, présent partout dans les cellules et les organes, dirige et coordonne toutes les activités métaboliques et de transformation.

L’ADN est un bio-ordinateur

Pour Peter Gariaev l’ADN, tout comme un véritable ordinateur, est capable d’interpréter les informations qu’il reçoit et de réagir en conséquence. Elle peut lire, décoder, interpréter, modifier, enregistrer et même exécuter les informations qu’on lui envoie. Les scientifiques on donc travaillé sur l’élaboration d’un modèle de transmission d’informations par photons. Comme vous pourrez le voir, ils sont parvenus à reprogrammer le « code source du vivant ». En effet, il est désormais possible de transmettre des informations génétiques d’un organisme à un autre à l’aide de rayons électromagnétiques programmés.

Des métamorphoses sidérantes par transfert électromagnétique

C’est parti ! On branche un adaptateur sur une salamandre, on enregistre son hologramme sur ordinateur et on le transfert sur des œufs de grenouille. Les œufs éclosent et… Surprise, des petites salamandres sortent des œufs de grenouille. C’est à peu de choses près ce que Gariaev et son équipe ont réussi à faire dans leur laboratoire à l’aide de deux ondes lumineuses, sans interférences entre elles, projetées par un laser. Les ondes traversent à plusieurs reprises la salamandre et sont modulées par l’hologramme génétique. La modulation est transformée en signal radio par un procédé spécial de spectroscopie et enregistrée sur ordinateur. Elle est ensuite transmise aux œufs de grenouille qui donneront naissance à des salamandres. De plus, ces salamandres, ainsi que leur descendance, ne redeviendrons jamais des grenouilles.

À l’aide du même procédé, un scientifique italien du nom de Pier Luigi Ighina, a réussi a transformer un abricotier en pommier. Les abricots présents sur l’arbre se sont métamorphosés en pommes. Ce scientifique a également exposé un rat a un faisceau d’ondes contenant l’information génétique d’un chat et quelques jours plus tard une queue de chat lui avait poussé.

Autre exemple, le Dr Dzang Kangeng, un scientifique coréen, a reçu un brevet pour un appareil à micro-ondes capable de transférer l’information génétique d’un canard dans une poule fécondée. Au moment de l’éclosion des œufs, près de 80% étaient des hybrides mi-canards, mi-poulets.

Des perspectives considérables pour le traitement des maladies

Ces méthodes de modification biologiques basées sur l’électromagnétisme sont très prometteuses pour le traitements des maladies graves.

Un chercheur russe a guéri, en l’espace de quelques mois, des framboisiers atteints de cellules cancéreuses en projetant un hologramme portant l’information de la plante saine.

Le chinois Dzang Kangeng, grâce a son procédé a pu transférer des informations de guérison et de rajeunissement à un humain. En 1987 il a expérimenté sa technique sur son père alors âgé de 80 ans : les maladies chroniques dont il souffrait depuis plus de 20 ans ont disparues, de même que son allergie cutanée, son acouphène et sa tumeur bénigne. Quelques mois plus tard, sa calvitie s’est estompée et ses cheveux grisonnants sont redevenus noirs. Le scientifique a obtenu un brevet pour son invention.

En 2011 une petite fille de 2 ans atteinte de fibrose kystique avec dégradation du foie et du pancréas, a été guéri grâce à un hologramme provenant de sa cousine saine.

En ce qui concerne le SIDA et son virus associé, le VIH, Peter Gariaev, George Tertishny et Katherine Leonova affirment qu’on devrait pouvoir supprimer le VIH, ainsi que d’autres virus, en envoyant des « vaccins électromagnétiques ».

Toutes ces avancées scientifiques sur la compréhension de la structure de l’ADN pourraient donc permettre l’émergence de nouvelles technologies particulièrement efficaces pour le traitement des maladies. Des bio-ordinateurs, pourraient reprogrammer les cellules défectueuses et ainsi guérir les malades atteints de cancers, de malformations génétiques, ou encore du SIDA.

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