L’athéisme, une dégénérescence cérébrale

Les athées sont dans l’embarras : une étude prouve que l’athéisme utilise moins de fonctions cérébrales.

26 octobre 2015, par le Dr Joel McDurmon

Cela doit être embarrassant... Si vous êtes athée. Une nouvelle étude réalisée à l’Université de York a utilisé le magnétisme ciblé pour désactiver une partie du cerveau. Le résultat: la croyance en Dieu a disparu parmi plus de 30% des participants.

Ce qui en soi peut ne pas sembler si gênant, mais considérez que la partie spécifique du cerveau qu’ils ont désactivée était la partie postérieure du cortex frontal médial – la partie associée à la détection et à la résolution des problèmes, c’est-à-dire, le raisonnement et la logique.

En d’autres termes, quand vous avez désactivé la partie du cerveau la plus associée à la logique et au raisonnement, des concentrations plus élevées d’athéisme en résultent.

Vous avez entendu la phrase, « Je n’ai pas assez de foi pour être athée »? Apparemment, nous pouvons maintenant aussi dire, « j’ai trop de cervelle pour être athée. »

Pour un groupe de personnes qui fait tant de bruit vantant sa prouesse supérieure en matière de logique et de raisonnement, cette étude doit être un sacré déflateur. Pour un groupe qui prétend être enraciné principalement dans la logique et la raison et exister grâce au fait qu’ils ont utilisé la logique et la raison pour se libérer de la croyance en Dieu et, comme ils l’allèguent, de la superstition et des contes de fées, cette étude est l’équivalent d’un déculottage public – c’est-à-dire que l’empereur n’a plus de fringues.

Le Daily Mail rapporte:

L’étude a été réalisée par le Dr Keise Izuma de l’Université de York et Colin Holbrook de l’Université de Californie, Los Angeles (UCLA).

Ils ont recruté 38 participants âgés en moyenne de 21 ans pour participer à l’étude.

Chacun de ces participants a dit qu’il adhérait à des croyances religieuses significatives, et la majorité adhérait à des croyances politiques modérées à extrêmement conservatrices.

Les résultats, publiés dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience, révèlent que ceux dont les cerveaux ont été ciblés par SMT ont rapporté 32,8% moins de croyance en Dieu, aux anges, ou au ciel.

Malgré la corrélation claire entre le raisonnement déficient et l’athéisme, les scientifiques se sont refusé à tirer cette conclusion. Au lieu de cela, ces sécularistes ont trouvé un moyen d’utiliser les résultats contre la religion:

Le Dr Izuma a déclaré: « Les gens se tournent souvent vers l’idéologie quand ils sont confrontés à des problèmes. »...

« Comme prévu, nous avons constaté que lorsque nous avons expérimentalement désactivé le cortex frontal médial, les gens étaient moins enclins à se tourner vers des idées religieuses réconfortantes malgré qu’on leur ai rappelé la mort. »

Le Dr Holbrook a ajouté que les résultats sont cohérents avec l’idée que les régions du cerveau qui ont évolué pour faire face aux menaces sont « réutilisées » pour produire également des réactions idéologiques.

En d’autres termes, ces scientifiques soutiennent ce que Dawkins, Dennett et d’autres nouveaux athées ont soutenu: la religion (« idéologie ») a détourné une partie du cerveau qui a « évolué » à l’origine pour résoudre uniquement des problèmes du monde réel.Lorsqu’ils sont confrontés à des problèmes dont ils ont déterminés qu’ils impliqueraient des réponses abstraites – la mort, l’au-delà, voire des questions politiques comme l’immigration – cette partie du cerveau utilise ses croyances idéologiques pour faire face aux « menaces » perçues.

Cette manipulation est absurde, hormis l’aveuglement du guide aveugle: importer l’idéologie (bonjour!) du darwinisme pour formuler une explication torturée de l’implication autrement claire de l’étude.

Parce que l’affection de la chair est inimitié contre Dieu; car elle ne se soumet pas à la loi de Dieu; et en effet, elle ne le peut.(Romains 8:7).

Car la colère de Dieu se déclare du ciel contre toute l’impiété et l’injustice des hommes, qui retiennent la vérité dans l’injustice, parce que ce qu’on peut connaître de Dieu est manifesté parmi eux, car Dieu le leur a manifesté. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. De sorte qu’ils sont inexcusables (Romains 1:18-20).

Peut-être qu’en sentant la nécessité de faire face à la « menace » de Dieu, ces professeurs ont élaboré une conclusion qui Le relègue à un mème idéologique qui a détourné (« reconverti ») une partie du cerveau qui devrait être plus adaptée à la chasse et à la cueillette, évitant ainsi les puits et trouvant des façons de payer les prêts étudiants (ces études nécessitent d’énormes subventions et des frais de scolarité élevés, après tout).

Le problème est que cette tentative ridiculement transparente d’exalter l’évolution et de minimiser l’existence de Dieu a un défaut majeur: elle prouve que la meilleure façon d’y arriver est de désactiver le raisonnement et la logique – la partie même du cerveau qui accomplit les tâches qu’ils veulent justement exalter.

Vous ne pouvez pas avoir le beurre et l’argent du beurre, chers athées. La raison et la logique existent parce que le Dieu de la Bible existe. Ce que cette étude prouve, ce n’est pas qu’il y a eu détournement, mais qu’une suppression terrible se produit: de ce qui doit être présupposé. Sans le Dieu de la Bible, le raisonnement serait impossible. Merci à Izuma et Holbrook de nous avoir montré cette forte relation entre les deux. Les chrétiens peuvent en outre se contenter de comprendre ce que nous croyons depuis le début: l’existence de Dieu et l’utilisation de la logique et du raisonnement sont câblés et inséparablement entrelacés dans le cerveau de chaque être humain.

Source : http://americanvision.org/12630/atheists-embarrassed-study-proves-atheism-uses-less-brain-function/



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