La volonté par la maîtrise de soi

« Il faut nous mettre tout entier dans ce que nous faisons; c’est le moyen de perfectionner nos moindres actes; pour cela, il faut acquérir l’unité qui concentre toutes nos forces. »
Dr Vitoz, Notes et pensées (éditions du Levain).

L’homme moderne aime la facilité; il y voit le signe du progrès. La maîtrise de soi lui semble être une « bonne volonté » vaine et inefficace et n’en comprend pas la nécessité au quotidien.
Pourquoi vouloir cet effort crispé contraire à l’abandon d’une si charmante spontanéité ? D’ailleurs la psychanalyse n’enseigne-t-elle pas la crainte du refoulement et de la névrose ? Pourquoi se forcer à la maîtrise de soi, si pénible et si fatigante ?

N’appartient-elle pas déjà à un ordre moral périmé et désincarné, à une époque révolue loin des réalités de la modernité ?
La vraie maîtrise ne se trouverait-elle pas dans la science, chez le pharmacien ? Une pilule pour dormir, une pour rester éveillé « à volonté », une pour se calmer, une pour voir la vie en rose et une autre pour une fécondité « volontaire et responsable ». Une chimie de la « volonté sans effort », la sainteté en bouteille.

La vie trépidante de l’homme moderne accablé de responsabilités, lui permet-elle de s’intéresser à la maîtrise de soi ? N’est-elle pas le luxe de ceux qui ont le temps, des égoïstes qui vivent à l’écart de la construction du « Progrès » ? Cet homme si bien aidé par la médecine, si soulagé par la technique lui épargnant toute fatigue, s’écroule, terrassé par l’infarctus, l’hypertension, l’ulcère, la névrose.
Raison de plus pour ne pas pouvoir acquérir cette maîtrise !

C’est précisément par cette aptitude unique de son cerveau que l’homme peut développer une volonté lui permettant de maîtriser le cours de sa vie et de garder ou de retrouver la santé.
Aptitude qu’il a tendance à considérer comme un pénible fardeau faute d’avoir une bonne échelle de valeurs, calquée sur le modèle d’un monde devenu matérialiste et scientiste.

Sera-t-il possible ou souhaitable de s’affranchir un jour de toutes contraintes biologiques (et morales ?) en créant un homme nouveau, une transhumanité unisexe et dégenrée ? Mais dans l’état actuel de la science et pour un certain temps encore, c’est une perspective utopique, enfantine et dangereuse.
Vouloir améliorer la vie des malades et des déficients est louable mais « améliorer » la vie des bien-portants les rendra malades ou en fera des monstres.

Comment pourrait-on prétendre n’agir que pour le bien quand il n’est de connaissances humaines que de spécialités, de réductionnismes et de statistiques ?
Celle par exemple des rapports Kinsey, où l’on refuse toute distinction entre le normal et le pathologique, toute hiérarchie entre les comportements et donc toute idée de maîtrise réfléchie.

Faire le bien ne consiste pas à juger ce que l’homme devrait être en fonction de ce qu’il fait (ou ce qu’on a décidé à sa place de ce qu’il devra faire) mais à juger ce qu’il devrait faire en fonction de ce qu’il est.
On remarquerait alors que les comportements qui suivent la norme sont en réalité les plus anormaux, donc les plus pathologiques même si ses préjugés et valeurs les lui font percevoir comme confortables et agréables.

Instruit de techno-science matérialiste, l’homme d’aujourd’hui s’est passionné pour la machine en faisant l’effort d’apprendre à l’utiliser et à l’entretenir. Mais ce qu’il est lui-même il n’en sait rien, il ne sait pas ce que c’est que d’être homme.
Sa méconnaissance et son incompétence en la matière le mène à utiliser son organisme et son cerveau de manière déplorable.

L’homme « normal » est devenu incapable de se comporter en homme. Nous sommes tous des infirmes dénaturés et dans un cercle vicieux nous avons produit une « civilisation » inhumaine qui nous déshumanise chaque jour un peu plus.

Affirmer qu’un tel état de fait est la faute d’un manque de spiritualité, la conséquence du refus d’obéir à la loi de Dieu pose le problème sous un angle incomplet et présente la morale comme une contrainte absolue, surnaturelle, inconciliable et en opposition à notre nature profonde.

Une telle perception de la spiritualité est en désaccord total avec ce que nous sommes habitués à considérer comme chose variable et relative en fonction des lieux et des époques, des libres options philosophiques, politiques et religieuses des peuples, contribuant à une idée négative de la tolérance en refusant toute morale ou en s’en construisant une bien à nous.

En réalité, les connaissances acquises en psychobiologie ont démontrées scientifiquement qu’il existe une morale naturelle fondée sur ce qu’est l’homme et ce qu’il lui convient, donnant de précieuses informations valables objectivement pour tous.
Cette biologie humaine, dans un esprit de comparaison avec l’animal, définit précisément en quoi consiste la supériorité de l’homme.

C’est un curieux paradoxe qu’il incombe à présent au biologiste de définir, comprendre et se faire le défenseur de ce qu’est réellement la nature profonde de l’homme, tandis que nos philosophes modernes refusent toute considération métaphysique ou notion d’essence sur ce sujet pour mieux s’attaquer à la morale et faire l’éloge du dérèglement sexuel, du racisme, des droits du plus fort, etc. Ils ne comprennent rien à cet « animal spirituel », sombrant dans des déviations matérialistes de la spiritualité.

Nous en sommes donc venus à considérer l’esprit et la matière dans une conception dualiste outrée avec chacun une existence propre et indépendante l’une de l’autre, sans que l’une n’ait jamais aucune conséquence sur l’autre. Cette chosification dichotomique nie l’unicité du réel où matière et esprit sont indissociables à moins d’altérer ou de détruire l’être dont ils sont formés.

Ce dualisme inopérant nous confine à deux points de vue opposés et contradictoires: soit nous minimisons l’esprit considéré comme un simple produit d’une matière spiritualisante, creuset d’une supposée évolution des espèces où les progrès de l’homme mènent à son propre salut et faisant de lui son propre Dieu, soit nous minimisons la matière considérée comme une simple mécanique actionnée à distance par un esprit immatériel et désincarné, menant aux dogmes (non bibliques) de la vie après la mort, l’immortalité, la réincarnation, et finalement à l’homme évoluant également et devenant « mécaniquement » comme Dieu (mensonge originel du Diable).

La Genèse montre la juste place de la nature de l’homme ici-bas. Quand Adam fut créé de la matière, celui-ci « devint une âme vivante » c’est-à-dire dépendante des mécanismes biologiques. Son âme, c’est-à-dire sa personne dans son intégralité et son unicité s’anima et apparût par un corps issu de la poussière. L’esprit d’Adam n’existait nulle part dans aucun état ni aucune dimension avant cet acte divin de Création, dit à juste titre « ex nihilo ». Dieu n’a pas « assemblé » ni implanté une âme désincarnée préexistante dans un corps pour en faire un homme. Adam et les autres espèces sont apparues ex nihilo, sans transformation ni évolution, se reproduisant chacun selon son espèce.

Dire « devint une âme vivante » est significativement et intelligiblement différent de dire « recût une âme ».
Suite au péché originel, la punition fut de ne plus avoir le droit de continuer à vivre en retournant à la poussière, c’est-à-dire à l’état d’inexistence (et non à envoyer l’âme dans les flammes éternelles). La vie est donc le contraire de la mort qui n’est donc pas la continuité de celle-ci sous une autre forme ou dans une autre dimension.

En outre la vie humaine est, selon le dessein originel de Dieu, de vivre éternellement sur terre tel qu’Adam aurait dû vivre en récompense de son obéissance. Mais il en fut déchu et engendra une humanité elle aussi mortelle.
D’ailleurs le seul vrai salut de l’homme après sa mort est l’espoir que Dieu, se souvenant de lui dans son omniscience, le récréera par sa toute-puissance sur une terre réhabilitée pour accueillir dans les meilleures conditions possibles ceux qui sont redevenus poussière.
Cela s’appelle la résurrection. Un acte divin volontaire différent d’un processus mécaniste naturel tels que la vie après la mort ou la réincarnation.

Cette conception unitaire du réel déduite de la bible est la seule compatible avec une métaphysique authentique et une unité psychosomatique scientifique. L’homme n’a pas un corps et une âme mais un corps vivant animé capable d’agir et de réfléchir par son cerveau.
Non pas un cerveau animal actionné par une âme humaine mais un cerveau spécifiquement humain dont la complexité conditionne intégralement sa spiritualité.

De même, il n’est pas issu non plus d’une évolution l’ayant pourvu de capacités intellectuelles minimales pour la survie, impliquant d’aller vers une organisation sociale constituée d’une élite façonnée par la loi du plus apte lui donnant le droit de dominer le troupeau pour réfléchir et décider à sa place ce qu’il doit faire et comment il doit vivre.

Dès lors le neurophysiologiste qui va jusqu’au bout de son travail en faisant de la vraie science peut nous préciser qu’être homme c’est utiliser convenablement les capacités du cerveau humain en nous disant en quoi ceci consiste.
Il n’en deviendra pas plus facile de devenir homme, bien au contraire.
La neurophysiologie explique combien est délicat et difficile de se servir correctement de son cerveau. Non que la machine soit rétive au pilote mais parce que l’homme ne fait qu’un avec sa machine et que cela se réalise à la fois dans l’immanence des structures cérébrales et l’émergence de nouvelles.

Le naturel de l’homme n’est pas le facile, le laisser-aller, l’abandon à ses instincts, le refus de l’effort et de la réflexion sous le prétexte de la spontanéité. Au contraire, l’homme ne devient lui-même que dans la difficile maîtrise de soi au service d’une conduite que sa réflexion lui a montré pleinement valable sur le plan individuel et social.
Cette spiritualité authentique est un mode de vie consistant à conscientiser les conséquences de ses actes en adoptant des valeurs morales utiles en tout temps et en tout lieu pour le bien commun.
Minimiser ou ignorer cette spiritualité c’est considérer la biologie humaine en privant l’homme de son cerveau.

La volonté par la maîtrise de soi est une nécessité psychobiologique pour la réalisation de soi. C’est observer des règles d’hygiène en utilisant et respectant sagement ses organes et son système nerveux.
C’est se connaître en se conformant à ce qu’on est et faire le choix d’une vie longue en bonne santé.

L’animal au cerveau moins complexe dispose, lui, d’une sagesse automatique, celle de ses instincts. Incapable de réfléchir, il n’en a pas besoin. Ses impulsions cérébrales satisfont correctement ses besoins en accord avec sa spécificité génétique et son environnement.
Il n’est pas libre et ce qui le limite n’est pas sa volonté ou la morale mais ces automatismes.

L’homme seul est libre car sa cérébralisation a transféré au cerveau supérieur les fonctions instinctives du cerveau animal. Il a toujours des besoins et des pulsions mais il n’y a pas en lui ses automatismes de comportement lui permettant de les satisfaire correctement.
Il peut à volonté les satisfaire ou les refréner mais, pour être vraiment libre, il faut que sa conduite soit éduquée par la réflexion.

Le plus souvent, il est aussi peu libre que l’animal car ce qu’il croit être de la spontanéité n’est qu’une obéissance aveugle, un conformisme à des usages sociaux ou à des habitudes qu’il tient pour un infaillible instinct. Or comme nous ne sommes en rien animaux, nous n’avons pas en nous de tels instincts auxquels il serait bon d’obéir.
L’homme ne peut s’animaliser mais peut se déshumaniser s’il suit une mauvaise hygiène de vie au lieu de savoir et vouloir ce qu’il lui convient.

En voulant nous prémunir de ce que nous prenons comme des faiblesses et qui tiennent en fait à des tentations permanentes de dénaturation nous maintenant à un niveau inférieur et incomplet de notre nature, nous confondons cette dénaturation avec la norme et l’aggravons un peu plus par des choix faciles et des recettes inutiles ou dangereuses, rendant la vraie maîtrise plus difficile encore ou hors de notre portée.

La technologie moderne, pour être libératrice, ne doit pas palier à l’absence de maîtrise en nous donnant une pseudo-maîtrise déséquilibrante, mais doit être au service de la vraie maîtrise en vue de la réalisation de soi.
Cette vraie volonté, source de joie et de paix intérieure est la marque de l’authentique spontanéité et l’inverse de la crispation dans l’effort de celui qui veut sans avoir appris à vouloir.

Ce n’est pas en voulant ne pas souffrir qu’on ne souffrira pas. Cette volonté passera d’abord par une vie hygiénique afin d’éviter l’épuisement nerveux. Car hystérie, complexes, refoulements et autres troubles psychosomatiques sont des maladies de la volonté qui produisent des désordres sur lesquels la volonté est impuissante. Il s’agit donc ici non pas de rééduquer la volonté mais, en guérissant la névrose, de restaurer l’aptitude à vouloir.

L’homme apte à vouloir a besoin d’apprendre correctement à vouloir, telle est la condition humaine. Vouloir ne va pas de soi. L’absence de maîtrise de soi est terriblement dangereuse mais tout aussi dangereuse est la fausse maîtrise de qui n’a pas appris à vouloir correctement. Aussi, ne faut-il pas désespérément essayer de vouloir mais de rétablir le calme qui permettra cet apprentissage.

L’éducation de la volonté pour une vraie maîtrise de soi doit proportionner l’effort aux forces et à la capacité d’en comprendre la nécessité et la valeur. Pas d’homme équilibré sans une certaine ascèse. Celle-ci est d’autant plus difficile que nous sommes encadrés par une société de plus en plus instable aux tendances contraires, mais le monde moderne en meurt.
Il faut remplacer le refoulement par la sublimation c’est-à-dire avoir la connaissance de soi et du fonctionnement de son cerveau afin de savoir comment prendre en charge ces dynamismes inférieurs par des dynamismes supérieurs.

Pouvoir vouloir, savoir vouloir ne dépend pas d’une simple connaissance psychologique de la volonté, ni de celle du sens commun ni même d’une analyse matérialiste et réductionniste. Cela repose avant tout sur la connaissance des mécanismes cérébraux de la volonté.
Si l’homme n’est pas un ange qui essaie de faire obéir un animal sans y réussir, c’est qu’en l’homme il n’y a pas de coupure, pas de dichotomie entre une âme et un corps. Rien n’est angélique et rien n’est animal, tout est humain et le siège de la condition et de la réalisation du spirituel est le cerveau.

La volonté est un processus cérébral et on ne saurait vouloir correctement sans en connaître les conditions de fonctionnement.
Le biologiste ou le neurophysiologiste n’a rien à dire sur ce qu’est la volonté elle-même et laisse au psychosociologue et au philosophe leur domaine. Ce qu’il apporte de nouveau c’est l’aspect incarné de la volonté, comment le moi commande la machine non pas de l’extérieur mais en en faisant entièrement partie.

Sortir de l’empirisme et des préjugés ésotériques de la maîtrise de soi non pour l’imposer à l’usager sans effort mais pour que celui-ci sache se l’imposer pour orienter correctement ses efforts.
Le moraliste doit savoir qu’une morale désincarnée qui ne s’occupe pas des conditions matérielles de sa réalisation n’est qu’un légalisme pharisien.

L’homme « normal » actuel, si ignorant de ce qu’il est et de ce qu’il doit faire à moins besoin d’un confesseur que d’un conseiller en « humanisation », des psychosociologues éducateurs du cerveau. Non un lavage passif de cerveau par suggestion mais un apprentissage des conditions correctes d’utilisation pour devenir un homme véritable.

Vouloir c’est la capacité de se déterminer librement selon certains actes.
Un acte, une attitude sont dits volontaires dans la mesure où ils s’intègrent dans le comportement d’une personnalité que contrôle le jeu normal des fonctions corticales. Ils s’opposent aux réflexes stéréotypés, aux automatismes, aux réactions et inhibitions affectives impulsives. Dans un sens plus étroit, une activité ou une inhibition est considérée comme volontaire dans la mesure où elle est précédée d’une élaboration mentale anticipatrice.

De ce chef il est envisagé des degrés dans ce caractère volontaire, en fonction de la part prise par cette élaboration, avec passage à une signification morale selon une hiérarchie des valeurs intervenant dans la décision qui précède toute exécution ou tout arrêt d’activité.
Une nuance fait distinguer celui qui a de la volonté, doué d’un fort contrôle de lui-même, surmontant ses propres obstacles tels que fatigue ou douleur, et le volontaire qui tend à imposer sa volonté aux autres.

Vouloir agir c’est d’abord vouloir penser et pour vouloir penser, il faut vouloir sentir, connaître la situation actuelle, s’aider de l’imagination qui évoque le passé et envisager l’avenir. Pour bien vouloir, il ne suffit donc pas de s’efforcer de vouloir au sens moteur, déclencher un acte ou s’y opposer, mais il faut penser correctement avec une conscience claire ce qui ne va pas de soi mais exige toute une éducation qui, avant d’être une éducation de la volonté motrice est un art de penser correctement pour exercer une maîtrise générale de soi.

Bien vouloir c’est d’abord savoir se maintenir dans les bonnes conditions d’équilibre cérébral qui conservent l’aptitude à la maîtrise de soi, une aptitude que comporte le cerveau humain mais qui ne se réalise que par une éducation visant à la développer.
La volonté humaine correcte qui prouve notre libre-arbitre doit être au service de sa défense.
Vouloir ne doit pas aboutir à nous mettre dans une situation où nous ne pouvons plus vouloir, où notre liberté sera totalement aliénée. Nous devons vouloir avec sagesse et prudence.

Nous verrons ainsi qu’il n’y a pas de volonté humaine correcte qui ne soit au service de l’authentique et du vrai. Elle est positivement et essentiellement l’appétit du bien. Mal vouloir n’est pas vouloir. L’homme n’a une bonne volonté que s’il veut le bien.
La psychobiologie confirme de plus en plus objectivement la morale en lui donnant une base scientifique ancrée dans la nature psychobiologique de l’homme, en en faisant ainsi une valeur commune quelles que soient les positions philosophiques ou religieuses, une morale « biologique » de préservation de l’espèce humaine.

Ici encore, la neurophysiologie moderne est éclairante en nous montrant qu’il est impossible de séparer en l’homme l’affectif et le rationnel. Une vraie volonté humaine a toujours un aspect affectif, est liée à une satisfaction, un désir. Il faut vouloir ce qui est aimable et il faut aimer vouloir. Mais nos désirs sont souvent trompeurs et notre appétit du bien nous conduit souvent dans le mal.
L’objectivité scientifique n’est plus ici de refuser de prendre position sous prétexte d’objectivité « amorale », mais de développer une « morale du cerveau » où le bon jugement, nous révélant le vrai bien, nous permettra de nous comporter en homme véritable en conservant notre équilibre par une hygiène mentale.

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