Fin février/ début mars, les derniers rebondissements de l’invasion turque en Syrie avaient réunis tous les ingrédients dans la marmite pour déclencher une guerre mondiale. On avait deux camps, des armes, un prétexte, y’avait plus qu’à allumer le feu. Malgré les pressions d’Erdogan pour obtenir le soutien de l’OTAN qui lui manquait, le peu d’entrain des Etats-uniens et l’épidémie de Covid ont eu raison des ambitions du sultan dans la région. Mais la situation reste explosive. Ce ne serait que partie remise ?