La psychiatrie au secours des vaccinalistes — Toute personne ne cédant pas à la pression de se faire injecter un produit transgénique expérimental doit être considérée comme malade mentale !

© Kunsthistorisches Museum, Vienne
Miracle de saint Ignace de Loyola, Pierre-Paul Rubens – 1618-1619

C’est avec une stupeur « amusée » que j’ai lu dernièrement un subtil article dans le JAMA Psychiatry [JAMA Psychiatry Published online September 23, 2021] une revue médicale qui s’est mise au service de l’industrie pharmaceutique pour faire la promotion de médicaments destinés aux maladies mentales.

Que dit ce subtil article ?

D’abord le titre.

« Comment les professionnels de la santé mentale peuvent encourager la vaccination contre le Covid-19 »

Depuis mes lectures de Foucault dans ma jeunesse L’histoire de la folie et autres Murs de l’asile (Gentis), j’ai une sorte d’affection pour les psychiatres libres d’esprits… Car, autrefois, entre les chocs électriques et les camisoles…

Mais n’étant pas du métier, je me garderais bien de tout jugement sur les pratiques actuelles…

Que tout soudain des psychiatres modernes [pardon, des professionnels de la santé mentale] s’avisent de se mêler de politique vaccinale m’étonne. Sont-ils compétents ?

Voyons leur Introduction, désolé c’est en anglais, mais ça dit tout !

Commentaire : Traduction de ce qui précède :« Le potentiel des professionnels et des agences de santé mentale à surmonter les obstacles à la vaccination contre le Cocid-19 a reçu une attention insuffisante. Les professionnels et les équipes de santé mentale sont formés pour utiliser l’empathie, l’écoute réflexive et l’établissement d’objectifs coopératifs pour aider les patients à relever les défis. Ces professionnels soutiennent activement le bien-être des patients, y compris leur adoption de comportements de santé tels que la vaccination Covid-19. Environ 18 pour cent des adultes américains consultent un professionnel de la santé mentale au cours d’une période de douze mois, ce qui offre une importante opportunité. »
Poursuivons quelque peu :« Dans le contexte de la santé mentale, le succès des approches directes pour un changement de comportement suggère de mettre l’accent sur les mécanismes d’identification des points d’accès et de réduction des obstacles. Rappeler aux clients l’opportunité de se faire vacciner et les rendez-vous à venir peut également s’avérer efficace pour augmenter le taux d’utilisation des vaccins. »
Ajoutons la traduction des conclusions :
« L’utilisation du vaccin Covid-19 et d’autres vaccins est faible chez les jeunes adultes, l’âge d’apparition de tout problème de santé mentale. Elle est également plus faible dans les communautés touchées de manière disproportionnée par le Covid-19. La création d’opportunités pour un accès équitable à la vaccination contre le Covid-19 a aidé les efforts américains à atteindre les communautés affectées de manière disproportionnée afin d’augmenter l’adoption du vaccin. L’adoption de nouvelles approches pour accroître la vaccination des adultes est une priorité nationale. Bien que la santé mentale ne soit pas la première chose qui vienne à l’esprit lorsqu’on pense à la vaccination, l’utilisation stratégique de l’expertise des professionnels de la santé mentale pourrait offrir de nouvelles opportunités pour encourager la vaccination contre le Covid-19. Une meilleure compréhension de ce en quoi la santé mentale affecte la manière dont sont perçus les vaccins Covid-19 et une meilleure définition de la manière dont les professionnels de la santé mentale peuvent aider, en particulier pour les communautés affectées de manière disproportionnée, sont désormais d’une importance fondamentale et pourraient renforcer les efforts de vaccination. L’engagement des organisations de professionnels de la santé mentale, et éventuellement des formations pour leurs membres, pourrait être une autre étape importante. »En gros, toute personne ne cédant pas à la pression de se faire injecter un produit transgénique expérimental doit être considérée comme malade mentale.

L’étude en question est disponible ici.

Voilà donc des professionnels de la santé (mentale) qui s’embarquent (ou voudraient s’embarquer) avec d’autres militants vaccinalistes dans des efforts désespérés pour convaincre les sceptiques et résistants à la vaccination antiCOVID d’accepter de se faire piquer.

Je ne vais pas en faire une longue histoire tant les prémisses trahissent quelque chose de « pourri » [je pèse le mot !] dans ce petit monde.

  1. Ces professionnels de la santé partent du principe (préjugé) que la vaccination antiCOVID est favorable à la santé et qu’il serait bien stupide de s’en priver… Pas le moindre effort pour essayer de comprendre les sceptiques ou analyser les données publiées concernant la validité des essais cliniques vantant l’efficacité de ces vaccins ; niveau scientifique proche de la nullité !
  2. Ces professionnels de la santé mentale considèrent que leurs aptitudes professionnelles les rendent aptes à convaincre les résistants à cette vaccination. Ce qui sous-entend de leur part qu’il sont des sortes de professionnels de la manipulation des esprits ; joli métier que voilà : des professionnels de la « camisole mentale » ?
  3. Ces professionnels ont donc à l’esprit que ces résistants qui ont besoin d’eux ont sans doute quelques problèmes de santé mentale et qu’il serait urgent de les soigner ! Ainsi étaient traités dans l’empire soviétique les résistants au Soviet Suprême : le Goulag ou l’Hôpital psy ! Soljenitsyne disait qu’on était mieux traité au Goulag !

Ma conclusion du jour est simple : les psychiatres sont eux-aussi devenus fous à cause du Covid-19.

Dernier commentaire : certains disent, dans les facultés de médecine [et certainement pas moi, trop respectueux des confrères], que la psychiatrie rend fou ; d’autres, plus conciliants, disent que ce sont des fous qui décident de devenir psychiatres.

N’étant pas du métier, je ne me permettrais aucun jugement.

Source : https://fr.sott.net/article/38338-La-psychiatrie-au-secours-des-vaccinalistes-%E2%80%94-Toute-personne-ne-cedant-pas-a-la-pression-de-se-faire-injecter-un-produit-transgenique-experimental-doit-etre-consideree-comme-malade-mentale

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