La prédiction de Voltaire, sa maison et la Société Biblique : vérité ou mythe ?

Note de l’éditeur : Souvent, des histoires sont transmises dans les milieux chrétiens sans que l’on examine le bien-fondé de leur véracité. Quelquefois, l’on montre que ces histoires ne sont guère plus que des légendes urbaines. D’autres fois, les faits mis en avant dans une histoire deviennent encore plus intrigants que les fictions qui leur sont attribuées. C’est le cas de l’histoire concernant la prédiction de Voltaire selon laquelle la Bible ne serait plus lue dans un siècle, et l’ironie de l’utilisation ultérieure de sa maison, après sa mort, pour la distribution de la Bible.

Le Dr Daniel Merritt propose l’une des meilleures défenses de l’authenticité de cette histoire que j’ai lue. Vous êtes sur le point de lire les résultats de ses recherches. Nous sommes tous redevables à l’érudition du Dr Merritt car nous verrons ce que je crois être la main de Dieu travaillant à prouver que sa Parole est fidèle malgré le cynisme manifesté par un monde sceptique. – Brian G. Chilton.


Une histoire racontée pendant des années par des apologètes chrétiens concerne le philosophe français Voltaire (1694-1778). L’histoire prétend que Voltaire, dans ses volumineux écrits contre le christianisme et la Bible, a prédit en 1776 ce qui suit :

“Cent ans après ma naissance, il n’y aura plus de Bible sur terre, sauf celle que regardera un antiquaire curieux.”

Comme le prétend cette histoire, cinquante ans après sa mort, dans une ironie de la Providence, la maison même dans laquelle il avait vécu et rédigé ses écrits fut utilisée par la Société évangélique de Genève comme entrepôt de bibles et de traités évangéliques. Cette histoire a été utilisée à maintes reprises au fil des années par les chrétiens comme un exemple de la qualité intrinsèque et immuable de la Bible et de la futilité de ceux qui s’opposent à l’Ouvrage inspiré.

Pendant des années, certains ont contesté la validité de cette histoire. Les humanistes, les rationalistes, les agnostiques et les athées l’ont qualifiée d’histoire apocryphe forgée par les chrétiens pour étayer leur argument selon lequel la Bible est inspirée et possède une qualité intrinsèque qui lui permet de résister aux attaques des incroyants. David Ross a écrit un article dans le Journal of the New Zealand Association of Rationalists and Humanists, vol. 77, no. 1, automne 2004, intitulé “Voltaire’s House and the Bible Society”, dans lequel il s’est sérieusement efforcé d’exposer les raisons de rejeter cette histoire comme n’ayant aucun réel fondement factuel. Ross affirme que soit l’histoire a été inventée, soit qu’elle tire son origine d’un malentendu et s’est ensuite répandue. L’article de Ross et d’autres articles similaires sont d’une nature si convaincante que des livres comme Introduction to the Bible de Norman Geisler et William Nix ont supprimé l’histoire dans leurs éditions ultérieures1.

La question à se poser est la suivante : l’histoire est-elle valable ? Voltaire a-t-il jamais fait une telle prédiction ? Existe-t-il des preuves de ce que la maison dans laquelle Voltaire avait vécu a servi, après sa mort, de dépôt de bibles ? Après de nombreuses recherches, le présent auteur est arrivé à la conclusion selon laquelle l’histoire est vraie et que ceux qui cherchent à la discréditer le font parce qu’elle confirme l’argument des apologistes en faveur de la préservation providentielle de la Parole de Dieu.

Voltaire naquit à Paris, en France, en 1694. En tant que philosophe, historien et libre penseur, il devint un écrivain très influent et prolifique au cours de ce que l’on a appelé le siècle des Lumières. Dès le début, Voltaire eut des problèmes avec les autorités à cause de ses critiques du gouvernement. À deux reprises, il purgea de brèves peines de prison à la Bastille pour avoir critiqué un régent. Sa première œuvre littéraire parut en 1718. Au cours de sa vie, il écrivit plus de 20 000 lettres et quelque 2 000 brochures et livres et fut un dramaturge à succès. Alors qu’il était déiste, il s’opposa avec véhémence à la foi chrétienne et écrivit de nombreux ouvrages plutôt moqueurs exprimant son dédain pour la foi et la Bible. Ses critiques à l’encontre du christianisme sont remplies d’un venin venimeux, qualifiant la foi chrétienne de “superstition infâme”.

Plusieurs exemples de ses propos calomnieux contre la foi chrétienne et la Bible sont ici cités.

En 1764, il écrivait :

“La Bible. C’est ce que les fous ont écrit, ce que les imbéciles recommandent, ce que les voyous enseignent et ce que les jeunes enfants sont obligés d’apprendre par cœur” (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1764).

“Nous vivons dans le crépuscule du christianisme” (Dictionnaire philosophique).

Dans une lettre de 1767 à Frédéric le Grand, roi de Prusse, il écrivait :

“Le christianisme est la religion la plus ridicule, la plus absurde et la plus sanglante qui ait jamais infecté le monde… Mon seul regret en mourant est de ne pas pouvoir vous aider dans cette noble entreprise d’extirpation du monde de cette infâme superstition2.”

Voltaire termine chaque lettre à ses amis par les mots : “Écrasez l’infâme” (écrasez l’infamie – la religion chrétienne). Dans sa brochure, Le Sermon sur les cinquante (1762), il attaque vicieusement l’Ancien Testament, les miracles bibliques, les contradictions bibliques, la religion juive, le Dieu chrétien, la naissance virginale et la mort de Christ sur la croix. A propos des quatre évangiles, il écrivait :

“Quelle folie, quelle misère, quelles choses puériles et odieuses elles contiennent [et la Bible est remplie] de contradictions, de folies et d’horreurs3.”

Voltaire considérait la plupart des doctrines de la foi chrétienne – l’Incarnation, l’Expiation, la Trinité, la Communion – comme insensées et irrationnelles4. Et enfin :

“Inventer toutes ces choses [dans la Bible], c’est le dernier degré de la cannaillerie. Les croire, c’est le summum de la stupidité brutale5.”

L’on pourrait citer bien d’autres citations de ce genre pour illustrer le mépris de Voltaire envers le christianisme, mais celles-là suffiront. Les écrits de Voltaire suscitèrent tant de discorde qu’en 1754, Louis XV le bannit de Paris. En décembre 1754, il déménagea à Genève, en Suisse, et acheta un magnifique château appelé Les Délices. Il y vécut pendant cinq ans, jusqu’en 1760 où, à la suite de ses écrits antagonistes et de ses pièces attaquant le christianisme, il fut pratiquement chassé de Genève par les réformateurs calvinistes. Pour échapper à la pression des calvinistes, Voltaire traversa la frontière pour se rendre à Ferney, en France, où le Français controversé vécut pendant dix-huit ans jusqu’à la fin de sa vie en 1778, à l’âge de 83 ans. Il continua d’écrire jusqu’à ce que sa main fût paralysée par la mort.

La question se pose maintenant de la véracité de ce que certains appellent une “histoire apocryphe”. Si le dédain de Voltaire pour la Bible est évident, a-t-il jamais fait une telle prédiction et une société biblique a-t-elle jamais utilisé l’une de ses résidences, d’où il a écrit ses paroles blasphématoires contre la Bible et le christianisme, comme entrepôt pour stocker des bibles ? La réponse à cette question est un “OUI” catégorique !

La deuxième partie de l’histoire sera traitée en premier.

En août 1836, seulement cinquante-huit ans après la mort de Voltaire, le révérend William Acworth de la British and Foreign Bible Society vit de ses propres yeux l’ancienne résidence de Voltaire à Genève, en Suisse, Les Délices, servir de “dépôt de bibles et de traités religieux”. La maison était alors occupée par le colonel Henri Tronchin (1794-1865), qui fut président de la Société évangélique de Genève de 1834 à 18396. La famille Tronchin avait depuis longtemps des liens avec Voltaire dont l’on peut retracer l’origine au XVIIIe siècle. L’un des ancêtres d’Henri Tronchin, Francis Tronchin, était le médecin de Voltaire. Les Tronchin étaient des résidents genevois importants et fortunés et contribuèrent même au financement de la publication par Voltaire de certaines de ses œuvres7.

Bien que la famille Tronchin fût des citoyens éminents et riches de Genève, la spiritualité n’était pas leur caractéristique dominante. Cependant, bien que l’on ne sache pas exactement à quel moment, Henri Tronchin vint à la foi en Christ et embrassa le protestantisme. Après avoir étudié la littérature à l’Académie de Genève, il travailla plus tard comme capitaine d’artillerie équestre dans l’armée néerlandaise. Il finit par gravir les échelons jusqu’au grade de lieutenant-colonel d’artillerie, et se maria en 1824. Superbe organisateur et grand meneur, il participa à la fondation de la Société évangélique de Genève (vers 1833). Il en fut le président de 1834 à 1839. Né 100 ans après Voltaire, et occupant l’ancienne maison de l’infâme infidèle, Tronchin utilisa cette spacieuse maison pour stocker des bibles et des traités d’évangélisation. Le révérend William Acworth, du Queens College de Cambridge, nommé représentant de la British and Foreign Bible Society en 1829, fut un témoin oculaire des bibles et des évangiles entreposés.

Dans The Missionary Register de 1836 de la BFBS, Acworth raconte ses voyages effectués en vue de la propagation de l’Evangile. Après avoir parcouru plus de 3 200 kilomètres en France pour le compte de la Société, ses voyages le conduisirent en Suisse au mois d’août de cette année-là, pendant l’été 1836. Acworth raconte ce qui suit :

« Je suis passé par Genève et j’ai été très heureux de rencontrer le Comité de la Société évangélique, dont les travaux et les objectifs m’ont tellement plu que j’ai écrit à cette Société pour lui accorder une subvention généreuse de 10 000 exemplaires des Écritures françaises afin de promouvoir les objectifs de cette Société. Notre comité n’a accordé que 5 000 exemplaires, mais je ne doute pas qu’il enverra les 5 000 autres. Avant que je ne quitte Genève, mon ami a fait l’observation suivante : “Vous aimeriez sans doute voir la maison où Voltaire a vécu et où il a écrit ses pièces.” Poussé par l’esprit de curiosité, si caractéristique d’un Anglais, à visiter la maison du célèbre infidèle, j’étais sur le point de mettre mon chapeau pour entrer dans le comté, quand il m’a dit : “Il n’est pas nécessaire que vous mettiez votre chapeau” et qu’il m’a fait passer le seuil d’une pièce à l’autre, et m’a dit : “C’est la pièce où les pièces de Voltaire ont été jouées pour son propre plaisir et celui de son ami.” Et quelle n’a pas été ma satisfaction de constater que cette pièce avait été transformée en une sorte de dépôt de bibles et de traités religieux. Oh ! Mes amis chrétiens, comme j’aurais aimé que l’esprit d’infidélité fût là, pour qu’il fût témoin des résultats d’autres vaticinations [actes de prophétie] concernant la chute du christianisme ! Je sais que Voltaire a dit qu’il vivait “dans le crépuscule du christianisme”, mais béni soit Dieu ! C’était le crépuscule du matin, qui amènera le jour de l’illumination universelle8. »

Cinquante-huit ans seulement après sa mort, l’ancienne maison de Voltaire à Genève, en Suisse, servit en effet de dépôt de bibles et de traités évangéliques. Bien que la Société évangélique de Genève n’ait pas réellement acheté la maison, Henri Tronchin, président de la Société, y résidait et utilisait une partie des pièces pour entreposer les bibles auxquelles Voltaire s’opposait avec tant de véhémence, lui qui prophétisait la chute du christianisme ! Oui, quelle ironie de la Providence divine dans ce coup de théâtre !

Maintenant qu’il a été établi que les bibles étaient effectivement stockées dans l’ancienne résidence genevoise de Voltaire, ce dernier a-t-il jamais fait une telle prédiction selon laquelle cent ans après sa mort, la Bible ne serait plus lue ? Parce que c’était un homme qui a écrit 20 000 lettres au cours de sa vie, il serait impossible de connaître toutes les déclarations qu’il a écrites ou prononcées. Cependant, il était généralement reconnu et compris par ceux qui étaient proches de l’époque où Voltaire vécut qu’il avait fait une telle prédiction, soit verbalement soit par écrit, qui n’existe peut-être plus. En 1836, seulement cinquante-huit ans après la mort de Voltaire, le révérend Acworth fit référence aux “vaticinations [acte de prophétie] de l’infidèle concernant la chute du christianisme” ! Une telle remarque indique qu’il était de notoriété publique qu’une prédiction aussi audacieuse avait été faite par Voltaire. En 1849, seulement soixante et onze ans après la mort de Voltaire, William Snodgrass, un officier de l’American Bible Society, déclara dans le rapport annuel de l’ABS que “le comité avait pu racheter sa promesse en envoyant 10 000 dollars à la France, le pays de Voltaire, qui prédit qu’au XIXe siècle la Bible ne serait connue que comme une relique de l’Antiquité9.”

Dans une biographie de Voltaire écrite en 1823, seulement quarante-cinq ans après sa mort, l’auteur détailla le fait que l’écrivain français avait brutalement cherché à inspirer le mépris de la foi chrétienne et se considérait plus influent que Martin Luther et Jean Calvin ! Voltaire voulait qu’une “religion fût sans code, sans lois, sans dogme, sans autorité” et “se moquait de tous ces chrétiens qui croyaient que leur religion était vraiment divine”. L’auteur affirme que Voltaire, dans son combat contre le christianisme, ne reculerait devant rien pour “anéantir” la foi chrétienne10. Il est évident que ceux qui vivaient à l’époque de Voltaire croyaient que ses efforts avaient pour but de démanteler le christianisme.

Bien que le présent auteur n’ait pas pu trouver la citation exacte qui accompagne habituellement l’histoire, l’on a trouvé une citation similaire qu’il avait faite en 1776. En 1776, à l’âge de 82 ans, Voltaire amène à l’apogée son mépris pour la Bible en publiant La Bible enfin expliquée11, ouvrage en deux volumes qui constitue le commentaire de Voltaire sur l’ensemble de la Bible. Son but était de “faire s’effondrer tout l’édifice [du christianisme]12“. Avec une crédulité feinte, un ton satirique et moqueur, il écrit de manière vicieuse, critique et sceptique sur pratiquement tous les livres et versets de la Bible. Il cherchait à exposer, comme il le voyait, la folie et l’irrationalité de la croyance à la Bible. A propos de son énorme tome, dans lequel il se moquait de la Bible à chaque page, il déclarait :

“Le sujet est maintenant épuisé : la cause est décidée pour ceux qui sont prêts à se servir de leur raison et de leurs lumières, et les gens ne liront plus cette [Bible]13.”

D’après une déclaration aussi arrogante, il est clair que Voltaire se fourvoyait quand il croyait, à la suite de son livre La Bible enfin expliquée, qu’il avait porté un coup fatal à la crédibilité de la Bible et que le soleil se couchait sur l’influence du Livre et qu’avec le temps, l’Ouvrage perdrait tout intérêt. Cependant, au lieu que la Bible perdît tout intérêt et que les gens n’y crussent plus, la circulation de l’Ouvrage inspiré commença à augmenter… son ancienne maison, seulement quarante-huit ans après sa mort, étant utilisée comme entrepôt pour abriter des bibles et des traités évangéliques !

Comme toutes les histoires qui se répètent au fil des ans, les détails exacts et la formulation peuvent varier, mais il semble évident que les éléments clés de l’histoire sont tout à fait vrais. L’histoire de Voltaire sert d’exemple et de rappel montrant que les prédictions et les efforts insensés de l’homme pour anéantir la Bible n’aboutiront à rien. Le marteau d’aucun sceptique n’a jamais fait de brèche dans l’enclume éternelle de la Parole de Dieu. À ceux qui tentent de le faire, Jésus déclare avec insistance :

“Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas” (Matthieu 24:35).

Amen !

Notes

1 Norman Geisler et William Nix, Introduction to the Bible, (Chicago : Moody Press, 1968), 124.

2 Sarah Coakley, Faith, Rationality and the Passions, (MA : Blackwell Publishing, 2012), 37.

3 Voltaire, traduit par Joseph McCabe, Œuvres choisies de Voltaire, “Le Sermon sur les cinquante”, (Londres : Watts & Co., 1911), 178-180.

4 Voltaire, éd. H.I. Wolff, Dictionnaire philosophique, “Arius”, (New York, 1924), 253.

5 Citation de Voltaire tirée de son ouvrage God and Man, chapitre xliv, trouvée dans James Parton, Life of Voltaire, Vol. II, (Boston : Houghton, Mifflin & Co, 1881), 429.

6 Stelling-Michaud, Suzanne, Le livre du Recteur de l’Académie de Genève (1559-1878) (Vol 6). Genève : Librairie Droz, 1980, 72 ; également, Jean-Yves Carluer, “Henri Tronchin”, 16 décembre 2017, http://le-blog-de-jean-yves-carluer.fr/2017/12/16/henri-tronchin/ (consulté le 12 mars 2019). En 1929, la propriété des Délices a été achetée par la ville de Genève et abrite aujourd’hui l’Institut et Musée Voltaire, un musée fondé en 1952 et consacré à la vie et à l’œuvre de Voltaire.

7Sur les relations de Voltaire avec la famille Tronchin, voir Deidre Dawson, Voltaire’s Correspondence: An Epistolary Novel (New York : Peter Lang, 1994), 101-126 ; également, George Valbert, “The Genevese Councilor François Tronchin and his relations with Voltaire”, La Revue des Deux Mondes, 1895, 205-216

8 The Missionary Register for 1836, William Acworth, “Bible Notices in Switzerland and Italy,” (Londres : L&G Seeley, 1836), 352.

9 Rapport annuel de la Société biblique américaine, 1849, Annexe, 98.

10 Claude Francois Nonnottee, Erreurs de Voltaire, (Paris, 1823), 285-305.

11 Arnold Ages, “The Technique of Biblical Criticism: An Inquiry into Voltaire’s Satirical Approach in La Bible enfin expliquée“, A Quarterly Journal in Modern Literatures, 6 septembre 2013, 67-79.

12 Voltaire, La Bible enfin expliquée, (Alondres), 1776, 2.

13 Voltaire, La Bible enfin expliquée, (Alondres), 1776 ; également ; James Parton, Life of Voltaire, Vol. II, (Boston : Houghton, Mifflin & Co, 1881), 543.

À propos de l’auteur

Daniel Merritt

Daniel Merritt, originaire de Sanford, en Caroline du Nord aux Etats-Unis, a obtenu son doctorat en Ministère à la faculté théologique Luder-Wycliffe et son doctorat en théologie à la faculté théologique Northwestern. Il a également obtenu son Master de théologie à la faculté théologique Southeastern Baptist et a étudié la philosophie et la religion à l’université Campbell. Le Dr Merritt a été pasteur de six églises en Caroline du Nord, enseigne au Seminary Extension de la Convention baptiste du Sud et est actuellement directeur des missions de la Surry Baptist Association à Mount Airy, en Caroline du Nord. Le Dr Merritt a écrit plusieurs livres, dont A Sure Foundation: Eight Truths Affirming the Bible’s Divine Inspiration ; Writings on the Ground: Eight Arguments for the Authenticity of John 7:53-8:11 ; et Bitter Tongues, Buried Treasures.

Source : https://bibleetsciencediffusion.org/index.php/2020/08/18/la-prediction-de-voltaire-la-maison-et-la-societe-biblique-verite-ou-mythe/

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