ISIS: Une création de la CIA pour justifier la guerre à l’étranger et la répression chez soi

Grâce à des manchettes terrifiantes et des vidéos choquantes, l’ISIS est utilisé comme un outil pour justifier la guerre au Moyen-Orient et causer la peur et la panique dans le monde entier. Non, il ne s’agit pas d’une « folle théorie du complot », c’est tout simplement le plus vieux truc connu. L’ISIS a été créé par les mêmes forces qui le combattent.

Depuis la création des nations démocratiques – où l’opinion publique a une certaine importance – la classe politique est confrontée à un dilemme: La guerre est nécessaire pour accéder au pouvoir, à la richesse, et au contrôle, mais le grand public a tendance à être contre. Que faire? La réponse a été trouvée il y a des décennies et est encore utilisée aujourd’hui avec succès: Créer un ennemi si terrifiant que les masses supplieront leur gouvernement d’aller à la guerre.


C’est la raison pour laquelle l’ISIS existe. C’est la raison pour laquelle les vidéos de décapitation sont si « bien-produites » et diffusées dans le monde entier par l’entremise des médias grand public. C’est la raison pour laquelle les sources d’information viennent régulièrement avec des titres alarmistes sur l’ISIS. Ils sont utilisés pour servir les meilleurs intérêts de l’élite mondialiste. Les objectifs sont: Influencer l’opinion publique pour qu’elle soit en faveur de l’invasion de pays du Moyen-Orient, fournir un prétexte pour une intervention de la
« coalition » à travers le monde, et fabriquer une menace intérieure qui sera utilisée pour retirer des droits et accroître la surveillance. En bref, l’ISIS est encore un autre exemple de la vieille tactique consistant à créer un ennemi terrifiant pour effrayer les masses. 

« En outre, comme l’Amérique devient une société de plus en plus multi-culturelle, elle peut trouver plus difficile de façonner un consensus sur les questions de politique étrangère, sauf dans le cas d’une menace extérieure directe vraiment massive et largement perçue. »
– Zbigniew Brzezinski, Le grand échiquier

Près d’une décennie après l’invasion de l’Irak (qui est toujours une zone de danger chaotique), la plupart conviennent que la guerre était fondée sur de fausses prémisses. Le public a finalement reconnu que les « armes de destruction massive », excuse abondamment répétée par George W. Bush et Donald Rumsfeld, étaient une fabrication complète. Malgré ce fait, les États-Unis et leurs alliés (avec le Conseil des relations étrangères et d’autres groupes d’opinion internationaux d’élite) cherchent toujours à étendre la guerre au Moyen-Orient, avec la Syrie comme cible de choix. Alors que le public à travers le monde occidental était décidément contre une invasion non provoquée de la Syrie, un seul événement médiatique a fait se retourner la marée: Une courte vidéo où un djihadiste masqué décapite un journaliste américain.

Manchettes alarmistes et images dramatiques aident à attiser des sentiments de colère dans le monde occidental.

Le tollé a été immédiat. Comment pourrait-il en être autrement? Tourné en haute définition, avec une clarté cinématographique parfaite, les vidéos de décapitation sont configurées pour générer un sentiment viscéral d’horreur et de terreur. Vêtu d’un costume orange rappelant Guantanamo Bay, un journaliste occidental impuissant est exécuté par un barbare fanatique vêtu de noir, agitant de façon dramatique un petit couteau comme arme. Aucune propagande ne pourrait imaginer une meilleure façon de faire pencher l’opinion publique en faveur de la guerre. Comme un effet « bonus », la vidéo suscite l’hystérie anti-musulmane à travers le monde, un sentiment qui est constamment exploité par l’élite mondialiste.


Très peu de temps après, la guerre a été déclarée contre l’ISIS, presque comme si elle avait été prévue depuis des mois. Dans une interview avec USA Today, l’ex-directeur de la CIA Leon Panetta a déclaré que les américains devraient se préparer à une guerre de 30 ans qui s’étendra bien au-delà de la Syrie:
« Je pense que nous envisageons une sorte de guerre de 30 ans, »dit-il, qui devra s’étendre au-delà de l’État islamique pour inclure les menaces émergentes au Nigeria, en Somalie, au Yémen, en Libye et ailleurs. »
– USA Today,
Panetta: ’30-year war’ and a leadership test for ObamaFondamentalement, en l’espace de quelques mois, un groupe terroriste est littéralement sorti de nulle part, semant la pagaille dans les régions mêmes que les États-Unis et leurs alliés ont cherché à attaquer depuis des années. Son nom: L’État islamique en Syrie, ou ISIS. Le nom lui-même est symbolique et révélateur. Pourquoi un groupe « islamique » porte t-il le nom d’une ancienne déesse égyptienne? Peut-être parce que c’est un personnage favori de l’élite occulte – les vrais coupables qui se cachent derrière les horreurs de l’ISIS.

 

Une continuation de l’histoire

L’idée de la CIA finançant un groupe islamique afin de promouvoir ses intérêts politiques n’est pas tout à fait « farfelue ». En fait, il y a plusieurs cas évidents dans l’histoire récente où les États-Unis ont ouvertement soutenu les groupes islamistes extrémistes (baptisés « combattants de la liberté » dans les médias). L’exemple le plus flagrant et bien documenté est la création des moudjahidin en Afghanistan, un groupe qui a été créé par la CIA pour attirer l’URSS dans un « piège afghan ». Le terme moudjahidin décrit les « musulmans qui luttent dans le sentier d’Allah » et provient du mot racine « djihad ». Le « grand ennemi » d’aujourd’hui était l’ami du passé. Un architecte important de cette politique était Zbigniew Brzezinski, un des hommes d’État les plus influents dans l’histoire américaine. De JFK à Obama, Brzezinski a été une figure importante façonnant la politique des États-Unis à travers le monde. Il a également créé la commission trilatérale avec David Rockefeller. Dans l’extrait suivant d’une entrevue de 1998, Brzezinski explique comment les moudjahidin ont été utilisés en Afghanistan:

 Question: L’ancien directeur de la CIA Robert Gates l’affirme dans ses Mémoires: les services secrets américains ont commencé à aider les moudjahidine Afghans six mois avant l’intervention soviétique. A l’époque, vous étiez le conseiller du président Carter pour les affaires de sécurité. Vous avez donc joué un rôle clé dans cette affaire? Vous confirmez?Brzezinski: Oui. Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux moudjahidine a débuté courant 1980, c’est-à-dire après que l’armée soviétique eut envahi l’Afghanistan, le 24 décembre 1979.Mais la réalité gardée secrète est tout autre: c’est en effet le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux opposants du régime prosoviétique de Kaboul. Et ce jour-là j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des Soviétiques.
– Le Nouvel Observateur, L’intervention de la CIA en Afghanistan

Le président Ronald Reagan assis à la Maison Blanche avec des « combattants de la liberté » afghans.

Quelques décennies plus tard, ces « combattants de la liberté » se sont transformés en terroristes talibans, dont Oussama ben Laden, passé d’agent de la CIA à ennemi public n°1. Le groupe a ensuite été utilisé pour justifier la guerre en Afghanistan. Il est l’un des nombreux exemples où un groupe islamique a été créé, financé et utilisé pour faire avancer les intérêts américains. Les États-Unis ont également soutenu les Frères musulmans en Égypte, Sarekat Islam en Indonésie, Jamaat-e-Islami au Pakistan, et le régime islamique d’Arabie Saoudite pour contrer la Russie. « L’Amérique n’a pas d’amis ou d’ennemis permanents, seulement des intérêts » – Henry Kissinger

Détails douteux sur l’ISIS
L’ISIS est la nouvelle Al-Qaïda, complètement adaptée aux temps modernes. Apparue, sortie de rien en quelques mois, l’ISIS bénéficie d’un grand nombre de ressources, d’armes, d’équipements multimédia high-tech et de spécialistes en propagande. D’où proviennent les capitaux et son savoir-faire?L’histoire du représentant de l’ISIS, Abu Bakr al-Baghdadi, est extrêmement trouble. D’après certains rapports, al-Baghdadi a été arrêté et incarcéré par les américains de 2005 à 2010 à Camp Busca, en Irak. Actif dans le mouvement djihadiste, il assuma le contrôle de la branche irakienne d’Al-Qaïda, après la mort de deux de ses supérieurs. Certains spéculent que c’est durant cette période qu’il a commencé à travailler avec la CIA.« Il a été capturé par les américains en 2005 et a été emprisonné à Camp Bucca dans l’étouffant sud de l’Irak pendant des années, mais il est difficile de déterminer les circonstances et le moment de sa libération. En tout cas, il était libre en 2010 et avait déjà suffisamment gravi les échelons dans le mouvement djihadiste pour prendre le contrôle de la branche irakienne d’Al-Qaïda après la mort de deux supérieurs. »
– Miami Herald,
Who is Iraq’s Abu Bakr al Baghdadi, world’s new top terrorist?Peu après sa libération, al-Baghdadi gravit rapidement les échelons d’Al-Qaïda. Il accumula une fortune, avant d’être expulsé par la nébuleuse islamiste, et de diriger aujourd’hui l’ISIS. A-t-il été soutenu par des forces externes?Pendant sa première apparition publique comme responsable de l’ISIS, al-Baghdadi a ordonné aux musulmans de lui obéir. Il porte une montre particulièrement onéreuse, probablement une Rolex, de plusieurs milliers de dollars. Un choix de mode étrange pour un représentant qui a juré de combattre la « décadence occidentale ».Les vidéos de décapitation ont également fait soulever un bon nombre de sourcils.

Un propagandiste de guerre ne pouvait demander meilleur outil pour générer le consentement.

Concernant les très théâtrales vidéos de décapitation, elles présentent des détails faisant penser à un vulgaire montage. En premier lieu, pourquoi les victimes (juste avant leur décapitation) sont-elles aussi calmes? Il serait bien plus logique de voir une victime en état de panique. Pourquoi le sang ne jaillit-il pas quand le couteau tranche la gorge de la victime? Et, enfin pourquoi la bouche du tortionnaire est-elle masquée? Pourquoi se casse t-il même la tête? Aussi, pourquoi parle t-il avec un accent britannique? Surnommé « John le djihadiste » par les revues de caniveau à travers le monde occidental, il est une façon de dire au public que les extrémistes peuvent provenir de l’Ouest aussi surveillez votre voisin. Ce ne sont que quelques contradictions se multipliant avec la liste des victimes. (Voir aussi ici et ici)

Le matériel de propagande utilisé par l’ISIS est moderne et supérieur à l’équipement de l’habituelle « propagande islamique » qui se trouve en circulation au Moyen-Orient.

Naomi Wolf, l’auteur et ex-conseillère de Bill Clinton a attiré une avalanche de critiques quand elle a exprimé son scepticisme concernant l’ISIS, et appelé à la rigueur journalistique.

Post de Naomi Wolf sur Facebook à propos de l’ISIS. Il a été supprimé.

Après avoir été attaquée par d’innombrables journalistes et observateurs, Wolf a ajouté:

« Les États-Unis bénéficient du … fait que nous soyons SI EFFRAYES, de sorte que nos services de renseignement peuvent nous retirer les dernières de nos libertés pour le compte des grandes entreprises de la manière dont les agences de renseignement en Occident font les choses … en Grande-Bretagne, Canada, Australie, puis Nouvelle-Zélande … et voilà. »

« Je vois que certains blogs déforment grandement la nature de ce que j’ai dit … Pourquoi est-ce que je ne prends pas au premier degré les récits politiques tels qu’ils sont dictés à la presse?

« A) Parce que je suis une journaliste et vérifier avec scepticisme est censé être notre travail, mais plus important encore b) parce que j’ai travaillé pendant deux campagnes présidentielles, une formelle et une façon informelle, en tant que consultante politique, et parce que j’étais l’épouse d’un rédacteur de discours de la Maison-Blanche pendant de nombreuses années.

« En tant que consultante politique et aussi observatrice attentive de longue date de la façon dont les nouvelles et déclarations sortent de la Maison Blanche et des campagnes présidentielles, je sais qu’en PREMIER l’équipe de communication impliquée doit commencer avec quelque chose qui lui est remis sans qu’elle y soit pour quelque chose

« Et PUIS les gens créatifs et talentueux dans les organes de communication des campagnes ou de la nation sont invités à construire un récit à leur sujet et des points de discussion et à trouver des « héros » qui aident le récit, et le récit n’a souvent rien à voir avec la réalité. (En fait c’est mieux comme ça.)

« Et ce discours de campagne ou conférence de presse ou initiative ou photo op édifiant consiste souvent à trouver des personnes avec de grandes histoires à raconter qui n’ont rien à voir avec la réalité.

« Donc, tous ceux qui m’attaquent maintenant pour « théories du complot » ne savent pas de quoi ils parlent … ceux qui supposent que le récit dominant DOIT ÊTRE VRAI et les raisons dominantes DOIVENT ÊTRE RÉELLES n’ont aucune expérience de la façon dont ce monde fonctionne.« 

Naomi Wolf a de bonnes raisons pour parler de l’ISIS. Dans The End of America (La fin de l’Amérique) (2007), elle a défini dix étapes nécessaires à un groupe fasciste (ou gouvernement) pour détruire le caractère démocratique d’un État. L’ISIS permet cette transition politique des nations dites « démocratiques » vers des régimes totalitaires:

– Créer un ennemi interne et externe terrifiant

– Créer des prisons secrètes dans lesquelles est pratiquée la torture.

– Développer une caste délinquante ou une force paramilitaire qui ne correspond pas aux citoyens.

– Imposer un système de surveillance interne.

– Molester des groupes de citoyens.

– Opérer des détentions arbitraires.

– Cibler des individus clés.

– Contrôler la presse.

– Traiter tous les dissidents politiques comme des traitres.

– Suspendre l’état de droit.

Alors que dans le monde occidental, le public s’affaire à étiqueter quiconque doute d’un récit officiel en le présentant comme un « théoricien du complot » (voir aussi ceci), le public des pays du Moyen-Orient est plus sceptique sur l’ISIS et le soi-disant « Jihad ». Par exemple, au Liban et en Égypte, l’idée que l’ISIS soit une création des États-Unis et de la CIA était si répandue (des hauts responsables l’affirmaient), que l’ambassade américaine à Beyrouth a dû démentir les rumeurs.

En fait, le groupe semble surtout être fait sur mesure pour aider les États-Unis à atteindre et à justifier leurs objectifs militaires au Moyen-Orient.

Post Facebook de l’ambassade américaine à Beyrouth.

Pour de nombreux habitants du Moyen-Orient, les actions et le modus operandi de l’ISIS sont rien de moins que suspect. Le groupe semble en effet être fait sur mesure pour aider les États-Unis et la coalition à atteindre leurs objectifs militaires au Moyen-Orient.

Cette carte montre les places fortes actuelles de l’ISIS. Comme vous pouvez le voir, elles se trouvent exactement aux endroits que la coalition cherche à envahir depuis des années.

Alors que la menace de l’ISIS se propagera aux pays voisins, elle permettra des frappes militaires non provoquées contre diverses nations. Ce n’est qu’une question de temps avant que les frappes aériennes soient considérées comme inefficaces et que des troupes au sol deviendront nécessaires. En fin de compte, ces opérations accompliront un plan à long terme de réorganisation du Moyen-Orient, éliminant toute menace à l’encontre d’Israël et augmentant considérablement la pression sur l’Iran, la seule force islamique restante de la région.

L’ISIS utilisée pour la répression intérieure
Dégoûtés par les vidéos de décapitations,
la majeure partie des Occidentaux privilégient désormais l’annihilation violente de l’ISIS. Bien sûr, ils ne réalisent pas que cette même ferveur les conduira à devenir victimes de leurs propres gouvernements.

Des manifs pour la paix aux manifs en faveur de la guerre. Un peu de propagande peut faire beaucoup pour influencer les pensées des gens.

Durant les dernières semaines, l’ISIS a proféré des menaces contre des pays particuliers, causant la panique dans chacun d’eux, poussant les gouvernements à « prendre des mesures ». Malheureusement, « prendre des mesures » signifie réduire la liberté d’expression et augmenter les perquisitions et la surveillance illégales. Le Canada utilise déjà l’ISIS comme prétexte pour espionner les citoyens et travaille sur de nouvelles lois permettant une surveillance accrue.

« Le chef de l’agence d’espionnage du Canada a dit qu’il n’y avait pas de signes d’une attaque terroriste imminente contre le pays, mais les autorités surveillent 80 terroristes canadiens présumés qui sont revenus de points chauds violents à travers le monde. Coulombe a déclaré que les 80 suspects n’ont pas été inculpés en raison de la difficulté continue de rassembler des preuves solides contre eux. Le ministre de la Sécurité publique Steven Blaney a dit qu’il allait introduire de nouveaux outils législatifs dans les prochaines semaines pour aider les organismes d’application de la loi à mieux « traquer les terroristes. » Blaney n’a pas donné de détails sur ce que seront ces nouvelles mesures. »

– Toronto Sun, CSIS keeping watch on 80 Canadian terror suspects nationwide

Au Royaume-Uni, les conservateurs ont présenté leurs « Extremist Disruption Orders (ordonnances contre les perturbations extrémistes)« , une liste de règlementations sans précédent qui ont de graves conséquences sur la liberté d’expression.

« Les extrémistes devront faire approuver leurs posts sur Facebook et Twitter à l’avance par la police en vertu des règles radicales prévues par les conservateurs. Il leur sera également interdit de parler lors d’événements publics s’ils représentent une menace pour « le fonctionnement de la démocratie », en vertu des nouvelles ordonnances contre les perturbations extrémistes. Theresa May, ministre de l’Intérieur, présentera des plans pour permettre aux juges d’interdire aux gens de radiodiffuser ou manifester dans certains endroits, ainsi que de s’associer avec des personnes spécifiques ».

– The Telegraph, Extremists to have Facebook and Twitter vetted by anti-terror police

Combien de temps faudra t-il pour que le mot « extrémiste » soit dilué et utilisé pour désigner quiconque a une opinion différente?

Conclusion

L’ISIS a toutes les caractéristiques d’un groupe djihadiste créé et subventionné par la CIA, à seule fin de faciliter la guerre à l’extérieur et la répression à l’intérieur. Si nous examinons l’histoire du principe du divide et impera (diviser pour régner) au Moyen-Orient, ou des détails suspects concernant l’ISIS et les répercussions de son existence dans le monde occidental, il apparait que ce groupe est la continuité d’un évident modèle. Il serait donc judicieux de se demander: Qui tire avantage de la présence de l’ISIS et de la terreur qu’il génère? Que gagnerait l’ISIS en tournant des vidéos barbares qui provoqueraient les armées les plus puissantes du monde? Des frappes aériennes? Quels sont les bénéfices pour la classe dirigeante occidentale? Continuer à faire de l’argent par la guerre et les armes, prendre le contrôle du Moyen-Orient tout en soutenant Israël, une oppression et une surveillance croissantes sur les populations nationales et, enfin, garder les masses constamment terrifiées et sous contrôle.

En bref, attiser la panique dans le monde entier en provoquant un état de chaos au Moyen-Orient a été jugé nécessaire afin de mettre en place un Nouvel Ordre Mondial. « Isis », la déesse égyptienne et mère d’Horus, est le nom de l’une des figures les plus importantes pour l’élite maçonnique. Leur devise? Ordo ab Chao … l’ordre à partir du chaos.

Source : http://vigilantcitizen.com/vigilantreport/isis-cia-creation-justify-war-abroad-repression-home/



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