Imhotep était Joseph, fils de Jacob

7 questions à Joseph Davidovits sur la Bible, le patriarche Joseph et Moïse.

Joseph a bien redécouvert le géo polymère des constructeurs antédiluviens des pyramides:

4. Qui est Aménophis, fils de Hapou ?

Ob 778167 Imhotep

Le nom égyptien de Joseph écrit sur une stèle en écriture hiéroglyphique.

L’Hébreu et l’Egyptien 

Quatre-vingt ans, c’est le nombre d’années pendant lesquelles Joseph occupa ses fonctions à la cour du Pharaon d’Egypte. Joseph avait trente ans lorsqu’il parut pour la première fois devant le maître de l’Egypte pour y interpréter les songes du Pharaon (Gen. 41:26). Il en avait cent-dix lorsqu’il mourut (Gen. 50:22, 26). Pourtant, de ce personnage biblique qui occupa les plus hautes fonctions de l’Etat, il n’est fait aucune mention dans les textes hiéroglyphiques. Se pourrait-il que son nom ne soit mentionné nulle part dans les archives de ce qui fut l’une des plus prestigieuses civilisations de notre Histoire ? En tout cas, peut-être pas sous son nom hébreu.

Effectivement, le fait que le nom de Yossef ne soit mentionné nulle part dans les textes  hiéroglyphiques de l’Ancienne Egypte a laissé fortement supposer les chercheurs et scientifiques, spécialistes de l’Egypte antique, que ce personnage biblique n’avait, en réalité, jamais existé si ce n’est dans les récits hébreux dont ils remettaient en cause la véracité. Pourtant, la Bible, quant à elle, nous conte dans le détail le parcours de ce jeune esclave adolescent, devenu Grand Vizir de l’un des plus prestigieux empires de l’Antiquité. Ayant intégré ses fonctions à la cour de Pharaon, le jeune Joseph, tout comme Daniel à la cour du roi de Babylone, va recevoir un nouveau nom, il va se vêtir à l’égyptienne, et se former aux responsabilités qui vont être les siennes. En tant que personnage important à la cour, Joseph va endosser différentes fonctions, diverses responsabilités auxquelles correspondront différents titres, mais également des noms différents. La Bible nous donne l’un de ces noms : « Tsaphnath-Paenéach » (Gen. 41:45). Ce nom pourrait signifier, en hébreu, « celui qui révèle les secrets », et en langue égyptienne, « le pourvoyeur du pays » (en souvenir de la façon dont il sauva l’Egypte de la famine).

Pourtant, malgré le rôle essentiel que Joseph y a joué, on n’en avait retrouvé aucune trace dans les mémoires de l’Egypte antique, jusqu’à ce que, au siècle dernier, au cours de l’année 1935, deux égyptologues français, Alexandre Varille et Clément Robichon, fassent une découverte fort intéressante et très étonnante dans un temple-tombeau de Haute-Egypte, dans la ville de Thèbes, face à la fameuse Vallée des Rois, sur l’autre rive du Nil. Cette découverte devait les inciter à repartir sur les traces de Joseph l’égyptien.

Les deux français s’étaient penchés sur une fresque hiéroglyphique représentant un certain Imhotep, personnage illustre de l’Egypte antique, également appelé Amenhotep. Mais cette fresque présentait une singulière particularité. Pour comprendre ce qui suit, il faut savoir que les inscriptions hiéroglyphiques peuvent se lire de droite à gauche ou de gauche à droite, de même qu’elles peuvent être rédigées de manière à être lues de haut en bas ainsi que de bas en haut. La position du visage des personnages donnant le sens de la lecture. Les visages des personnages peints par les Égyptiens sont toujours de profil. Ainsi, si le visage est tourné vers la droite, il faut lire les inscriptions de droite à gauche. Si le visage est tourné vers la gauche, il faut les lire de gauche à droite.

L’Egypte antique a connu nombre d’Amenhotep et d’Imhotep. Plusieurs pharaons de différentes dynasties ont porté ces noms, mais le Imhotep dont il est fait mention sur cette fresque n’est pas un pharaon, mais un personnage très haut placé qui a connu un destin hors du commun. Sur la fresque découverte par les deux archéologues français, Il est désigné tout d’abord par sa fonction avant d’être nommé. Son nom est précédé d’un hiéroglyphe qui désigne un scribe. Mais Imhotep fut appelé « Grand scribe », ce qui signifie qu’il occupait une position particulière à la cour. Selon Varille, Imhotep était un homme polyvalent, à la fois Grand Vizir, premier ministre, général, directeur des ressources humaines, grand scribe, architecte, médecin et théologien, ainsi qu’un homme extrêmement cultivé. Il occupa ses fonctions sous le règne du Pharaon Djézer.

Il nous aurait été bien utile que la Bible mentionne les noms des différents pharaons dont font échos les récits bibliques, mais malheureusement, ce n’est pas le cas. En fait, la Bible ne mentionne aucun nom des différents rois d’Egypte. On pourrait s’interroger sur le silence des Écritures sur ce sujet alors que les monarques babyloniens le sont explicitement. Le Rav Ron Chaya donne à cela une explication fort plausible. Le récit biblique, bien qu’il s’inscrive dans un continuum historique, n’en demeure pas moins un texte à dimension prophétique. La notion de Pharaon a, en soi, quelque chose d’intemporel. Les récits bibliques sont porteurs de concepts valables à n’importe quelle époque. Le personnage de « Pharaon » (ce qui signifie « maître du palais ») peut, par analogie, représenter tyran, despote, dictateur de quelque époque que ce soit, tout en demeurant le personnage historique mentionné dans le récit biblique.

Mais revenons à Imhotep. Sur cette fresque, le visage de celui-ci est représenté comme étant tourné vers la gauche, c’est donc par la gauche qu’il fallait débuter la lecture. Mais un détail va créer une profonde perplexité dans l’esprit des deux archéologues. Le nom d’Imhotep est écrit, lui, à l’envers du texte, de droite à gauche, alors que le texte est rédigé de gauche à droite, dans le sens indiqué par les personnages qui y figurent. Pourquoi cette singularité ? Divers documents égyptiens montrent que Imhotep / Amenhotep était d’origine sémitique. Faut-il y voir un rapport avec le fait que l’écriture hébraïque se lise, elle aussi, de droite à gauche ?  Se basant sur les découvertes de ses prédécesseurs, le Professeur Davidovits, égyptologue français, a avancé l’hypothèse que l’Imhotep dont il est fait mention sur cette fresque ne serait autre que le Joseph du texte biblique. Amenhotep, Imhotep, ces noms désigneraient ainsi un seul et même homme : Joseph fils de Jacob qui fut haut dignitaire à la cour du Pharaon Djezer. Plusieurs Pharaons ont porté les noms d’Imhotep, d’Amenhotep ou sa version grecque : Amenophis, peut-être en hommage à cet homme exceptionnel que fut celui dont il est fait mention sur la fresque découverte par les deux archéologues.  Mais pour ce qui est de l’identité de cet Imhotep, d’autres éléments semblent venir conforter l’hypothèse que celui-ci est bien le Joseph dont parle le récit biblique.

Ob A37fe8 Stele Thebes Joseph Imhotep

Tsaphnath Paenéach

Le texte biblique nous dit que Pharaon donna Asnath, fille de Potipherâ, prêtre d’On, à Joseph pour femme (Gen. 41:45). Asnath s’écrit, en hébreu, avec les lettres A.S.N.T. (aleph, sameh, noun, tav). Les deux premières lettres de ce nom, mises ensembles, forment le mot « as » qui signifie en hébreu « terre étrangère ». Ceci peut laisser supposer que la femme de Joseph (bien qu’elle soit fille d’un grand prêtre) n’était pas née égyptienne. Or, il se fait que, d’après les écrits égyptiens, la femme d’Imothep aurait été d’origine libyenne et portait le nom de Néïth. Elle était donc « as-Néïth ». Un nom qui, phonétiquement, se rapproche très fort de celui de la femme de Joseph, Asnath. Une telle similitude pourrait nous conforter dans l’idée que la femme de Joseph et celle de Imhotep n’étaient en réalité qu’une seule et même personne. Si c’est bien le cas, cela nous donne une indication sur l’origine de la femme de Joseph : elle était libyenne. Ce détail pourrait paraître sans importance s’il n’était à considérer la descendance de Joseph. Car de ce couple naîtra deux fils : Manassé et Ephraïm. De ces deux fils sont issues deux des tribus d’Israël, portant toutes deux une triple ascendance ethnique. Mais ils sont également sémites par leur père et chamites par leur mère (Cham, fils de Noé, ayant engendré, entre autres, les peuples d’Afrique du Nord, d’où sont issus Égyptiens et Libyens).

« Pharaon appela Joseph du nom de Tsaphnath Paenéach et lui donna pour femme Asnath, fille de Potiphéra, prêtre d’On » (Gen. 41:45a). Le mot « nathan » signifie entre autres « accorder, permettre », ce qui peut laisser supposer que ce ne fut pas un mariage arrangé mais qu’il correspondait à un choix, de la part de Joseph tout au moins. Il n’était pas de coutume, à la cour de Pharaon, que les hauts dignitaires se marient avec des femmes qui n’étaient pas égyptiennes. Il faut donc supposer que le pharaon donna son accord, même si celui-ci allait à l’encontre des coutumes usuelles. Néanmoins, le fait qu’Asnath ait été la fille d’un haut dignitaire religieux peut laisser perplexe quant au choix de Joseph. Il aura désormais comme beau-père le grand prêtre d’une religion idolâtre pratiquant magie et divination. Je pencherais donc plus volontiers pour l’hypothèse d’un mariage arrangé où l’opinion de Joseph, malgré la position élevée de celui-ci, ne pouvait que se soumettre à la volonté souveraine du Pharaon. Toujours est-il qu’Imhotep, tout comme Joseph, épousa une femme qui n’était pas égyptienne.

Des signes et des lettres

J’en reviens au nom égyptien de Joseph, Tsaphnath Paenéach. « Celui qui révèle les secrets » aurait-il quelque chose à nous faire connaître sur l’identité véritable de cet Imhotep ? J’ai fait mention plus haut de ce qui avait provoqué la perplexité des deux archéologues lorsqu’ils découvrirent cette stèle sur laquelle le nom d’Imhotep était écrit « à l’envers ». Or, une lecture attentive du nom de Tsaphnat Paenéach en hébreu permet de déceler un petit détail. Le mot « tsaphnat » s’écrit en hébreu « tsadé, pé, noun, tav » (Ts, P, N, T).  Or, sous la première lettre du nom, sous le tsadé, il y a un signe de ponctuation sous la forme d’un petit trait vertical. Ce trait indique habituellement la fin de la phrase. Or, cette ponctuation (équivalente à un point) se trouve au milieu de la phrase.

Le texte biblique (le Tanach) comporte plusieurs de ces « anomalies ». Celles-ci ont généralement pour but d’attirer l’attention du lecteur. Il faut donc s’y arrêter et s’interroger sur ce que pourrait en être le sens. Le Seigneur Jésus, qui bien évidemment connaissait parfaitement les Écritures, a dit : « que celui qui lit fasse attention » (Matth. 24:15) en parlant de certaines prophéties du livre de Daniel, soulignant ainsi la nécessité de redoubler d’attention lorsque l’une de ces particularités apparaissait dans le texte. Mais cet avertissement du Seigneur vaut également pour toute l’Ecriture. Ainsi, cette ponctuation, ce « point final » sous la première lettre du nom, apparaît de manière à attirer l’attention du lecteur sur le nom de Tsaphnat Paenéach. Comme si cette première lettre était en réalité la dernière, invitant ainsi le lecteur à s’interroger sur le sens de la lecture de ce nom, tout comme pour le nom du très fameux Grand Vizir que fut Imhotep. Mais il y a plus encore. Car si le nom d’Imhotep a été écrit à l’envers (dans le sens contraire de la lecture usuelle), le Professeur Davidovits a également découvert que le nom de Tsaphnath Paenéach, lu à l’envers, correspondait phonétiquement à celui du personnage mentionné sur la stèle découverte dans le  temple funéraire du fameux Imhotep. Cette découverte conforta l’opinion du Professeur Davidovits sur l’identité de ce personnage comme étant bien le Joseph de la Bible.

Le nom de Tsaphnath commence donc par la fin. Ainsi, son nom lui-même comporte un « secret ». Mais n’est-ce pas justement pour que ceux qui s’interrogeront sur la véritable identité d’Imhotep sachent qu’il est bel et bien ce Tsaphnath Paenéach qui occupa les mêmes fonctions que lui, eut une femme étrangère tout comme lui et, tout comme lui, était d’origine sémite ? On sait également d’Imhotep qu’il était « fils d’Hapou ». Or, en langue égyptienne, « hapou » signifie « celui qui est caché ». Joseph, quant à lui, ne révélera son identité sémitique que bien plus tard aux égyptiens. Son père était inconnu, son nom n’avait pas été cité à la cour. Imhotep, tout comme Tsaphnath Paenéach, aurait-il gardé secrète l’identité de son père ? Mais pourquoi ? « Celui qui est caché », cette expression rappelle également l’attitude de Jacob qui dissimula son identité, se faisant passer pour son frère afin d’obtenir d’Isaac, son père, sa bénédiction. Ainsi, Hapou ne serait autre que Jacob, le père de Joseph / Imhotep.

Ob Efbec5 Joseph Retrouve Jacob

Houy fils d’Hapou

Imhotep / Amenhotep est aussi appelé « Houy ». Or, le hiéroglyphe qui représente son nom peut se lire phonétiquement « hou ophis y »Nous avons vu que dans le texte de la stèle, le nom d’Imhotep est écrit « à l’envers ». Dans le texte biblique, la première lettre du mot « Tsaphnath » (première partie du nom égyptien de Joseph) porte un signe de ponctuation symbolisant la fin d’une phrase (comme si cette ponctuation indiquait qu’il fallait lire le texte « à l’envers »). « Que se passerait-il si on lisait le mot « houy » à l’envers ? » s’est demandé le Pr. Davidovits. Cela donnerait « Y sioph hou ». Phonétiquement, cela se rapproche étonnement du mot « yossefou » (Yossef). Les personnages d’Imhotep / Houy, fils de Hapou, et de Joseph fils de Jacob semblent bien se calquer l’un sur l’autre. Bien sûr, ces rapprochements phonétiques semblent un peu hasardeux, mais il faut tenir compte du fait que d’une langue à l’autre, un mot n’est jamais prononcé de façon identique. Mais alors, ce « père caché » d’Imhotep ne serait autre que Jacob ?…

« Et quand Jacob eut achevé de donner ses commandements à ses fils, il retira ses pieds dans le lit et expira, et fut recueilli vers ses peuples. Et Joseph se jeta sur le visage de son père et pleura sur lui, et le baisa. Et Joseph commanda à ses serviteurs, les médecins, d’embaumer son père, et les médecins embaumèrent Israël. Et quarante jours s’accomplirent pour lui car ainsi s’accomplissaient les jours de l’embaumement. Et les Égyptiens le pleurèrent soixante-dix jours » (Gen. 49:33, 50:3, Darby). Les périodes correspondent bien avec les pratiques d’embaumement, ce qui vient confirmer l’authenticité du récit. Jacob était mort et c’était Israël (celui qui avait lutté avec l’ange de Dieu) qui était embaumé. On retrouve ici aussi cette double identité de celui qui fut longtemps « Hapou, celui qui est caché ».

Mais le texte biblique comporte, dans sa version originelle, une particularité. Le texte dit : « Il retira (wayèsof) ses pieds dans le lit… et fut recueilli (wayèâsef) vers ses peuples » (ou « vers ceux de son peuple »). Ces deux mots s’écrivent avec les mêmes lettres (vav yod aleph sameh fé)Il serait intéressant de s’interroger sur cette similitude entre ces deux faits, mais ce n’est pas ici le sujet. Par contre, il y a un détail qui attire tout de suite l’attention. Ces deux mots sont tous deux écrits avec les lettres du nom de Joseph (yod vav sameh fé). Le nom de Yossef ne comporte cependant pas la lettre aleph, mais les Sages d’Israël disent que cette lettre représente la personne même de Dieu.

Ainsi, si l’on retrouve le nom de Yossef dans l’orthographe de ces mots, une autre subtilité se trouve là, au cœur même de ces mots, quelque chose qui témoigne de l’écartèlement du cœur de Yossef à la mort de son père. Le positionnement de ces lettres semblent donc exprimer quelque chose de la douleur du fils endeuillé. Comme si son cœur s’était écartelé. Le cœur de Yossef, tout son être étaient brisés, déchirés par la douleur, mais Dieu (symbolisé par la lettre « aleph ») demeurait au centre de sa vie. Le texte souligne, en filigrane, le lien indéfectible qui attachait Joseph à son père, et Jacob à Joseph.

« Et Joseph se jeta sur le visage de son père et pleura sur lui, et le baisa ». Le chagrin déchira le cœur de Joseph lorsque son père expira. Jacob était mort, et les médecins embaumèrent Israël.  Si les lettres du nom de Joseph sont présentes dans ces deux mots (wayèsof et wayèasef), elles marquent l’attachement indéfectible qui relie les deux hommes, jusqu’à accompagner Jacob dans le geste ultime qui précède sa fin. Et le corps de Jacob fut ramené en terre de Canaan pour y être enseveli. Ses fils l’accompagnèrent jusqu’à sa dernière demeure, puis ils revinrent en Egypte.

Deux vieillards

Bien des détails semblent rapprocher ces deux hommes que furent Joseph et Imhotep, et ce jusqu’à ce qu’ils aient atteint tous deux un âge avancé. Il y a en Egypte, sur la rive occidentale de la ville de Thèbes, deux statues gigantesques dont on doit la construction à Imhotep. Il aurait eu, à cette date, l’âge de quatre-vingts ans et, mentionne-t-il, il espère atteindre l’âge de cent-dix ans. Il écrit : « J’ai atteint l’âge de quatre-vingts ans, je suis comblé de faveurs auprès du roi et j’accomplirai cent-dix ans« . Cette phrase a été gravée sur le socle de l’une des deux statues qu’il avait faites ériger. Le livre de la Genèse nous parle également d’un vieillard : « Joseph demeura en Egypte, lui et la maison de son père. Il vécut cent-dix ans » (Gen. 50:22). Et comme je l’ai écrit en début de cet article : « Quatre-vingts ans, c’est le nombre d’années pendant lesquelles Joseph occupa ses fonctions à la cour du Pharaon d’Egypte ».

Dans leur vieillesse comme dans leur mort, ces deux hommes n’ont cessé de marquer la similitude de leur existence. Mais peut-être s’agissait-il vraiment du même homme ? Mais alors, lorsque Imhotep / Joseph dit : « J’ai atteint l’âge de quatre-vingt ans », se pourrait-il qu’il n’ait compté que les années de sa vie passées en Egypte au service du Pharaon, occultant ainsi les trente années précédentes ? Dans ce cas, il se peut qu’Imhotep avait bien atteint l’âge de cent-dix ans lorsqu’il fit rédiger ce texte sur le socle de la statue. Si c’est le cas, ce fut là l’achèvement de son oeuvre puisqu’il dut mourir la même année.

Il se peut que ce mystère ne soit jamais élucidé totalement, tous deux emportèrent ainsi ce secret dans leur sarcophage. Mais peut-être qu’un jour, des sables du désert, sortira la preuve irréfutable de cette double identité.  Et lorsque, bien plus tard, Moïse conduisit le peuple Hébreu hors d’Egypte, il y avait parmi les chariots, un char égyptien qui transportait un étrange coffre. C’était le sarcophage de Joseph / Tsaphnath Paenéach, « celui qui révèle les secrets ». D’autres ne virent peut-être en lui que le grand homme que fut Imhotep. Mais il se peut que la véritable identité de ce célèbre égyptien de l’Antiquité demeure à jamais dans ce sarcophage.

JiDé

Ob E2b507 05 Memnon Colossi

Source : http://destresorsdanslesable.over-blog.com/2019/07/le-nom-de-joseph-ecrit-sur-une-stele-en-ecriture-hieroglyphique.html



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