La France et Israël avaient préparé la « simulation » d’un attentat à Nice

INFO PANAMZA. Depuis 2014, les appareils sécuritaires de France et d’Israël s’étaient associés pour réaliser conjointement le « scénario » d’un attentat terroriste sur Nice. Révélations.

Le 31.08.2016 à 18h59

« Les Israéliens ont conscience de leur environnement et des voitures suspectes. 

Un camion comme celui-ci dans une place bondée aurait suscité la méfiance. 

Beaucoup peut être fait pour éduquer les Européens dans la prévention du terrorisme ».

Ces propos ont été publiés le 18 juillet par The Jewish Journal et tenus par l’Israélien Boaz Ganor.

Même tonalité dans sa déclaration rapportée par The Jerusalem Post : d’après lui, les Européens vont connaître des attentats de plus en plus sanglants.

La particularité de l’individu : présenté comme un « expert » de la lutte antiterroriste en charge d’une antenne du Mossad, cet « ancien conseiller » du gouvernement israélien et proche de Benyamin Netanyahou chapeaute un évènement singulier et totalement passé sous silence par la presse française.

Depuis mars 2014, Ganor préside la préparation d’un rassemblement dénommé « Le Congrès International sur la Sécurité Intérieure et la Gestion de Crises« .

Initialement prévu à Nice pour décembre 2015, ce forum avait été reporté à février 2016. Nouveau report annoncé alors pour octobre 2016 en raison –selon sa page Facebook– des contraintes de « l’état d’urgence en France ».

À ce jour, la page d’accueil anglophone du site précise désormais que le Congrès est « reporté à 2018 ».

Entre les deux derniers reports, un attentat d’un genre inédit s’était produit localement : un séducteur bisexuel de Nice se radicalise soudainement au nom de Daech et conduit le 14 juillet un camion en direction de la foule tout en lui tirant dessus au pistolet automatique.

 

Le « loup solitaire » : tel est le nouveau « défi » croissant selon Boaz Ganor, interviewé par ses étudiants de l’Institut du contre-terrorisme d’Herzliya au début du mois de juillet.

En partenariat avec la municipalité d’un accueillant Christian Estrosi, l’organisation logistique du Congrès de Nice fut confiée à Eyal Halevy, le fils d’un célèbre général israélien particulièrement lié aux lobbies sionistes américains.

Détail-clé à souligner : le Congrès de Nice prévoyait la « simulation » d’un attentat local. Selon le site du Congrès, ce « scénario » a été co-écrit par « l’agence gouvernementale française Le Haut Comité Français pour la Défense Civile (HCFDC) sous le patronage du Ministère français de l’Intérieuret du Secrétariat du Conseil de Défense et de Sécurité Nationale (SGDSN)« .

Rappel : Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, et Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, avaient été pointés du doigt pour leur gestion sécuritaire du rassemblement du 14-Juillet à Nice.

Parmi les intervenants du Congrès dont le rassemblement devait durer 4 jours à Nice, on notera la présence de Brian Michael Jenkins, acteur-clé et méconnu de la mystification du 11-Septembre (en tant que co-responsable de la sécurité du World Trade Center) et d’Alain Bauer, camarade intime de Manuel Valls.

Au lendemain de l’attentat de Nice, Bauer était d’ailleurs sollicité par RTL pour discourir -avec son style filandreux- sur le prétendu profil psychologique des terroristes de Daech.

Rappelons ici que Bauer, influent rouage de la franc-maçonnerie transatlantique, confident de Valls et idéologue emblématique de l’axe sécuritaire Paris-Washington-Tel Aviv, fut également le recruteur du premier témoin des mystérieux évènements du 13 novembre.

HICHAM HAMZA

Source : http://www.panamza.com/310816-nice-israel/



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