Explosion de la criminalité à Londres, à majorité non-blanche, la police ne « comprend pas »

Pendant que la mairie de Londres a mis en place une police de la pensée pour traquer les internautes disant du mal des envahisseurs, ces derniers ont dispensé généreusement leur « enrichissement culturel ».

Londres est dirigée par un maire pakistanais depuis la mi-2016, lequel avait promis de diminuer le recours par la police aux contrôles d’identité (accusés outre-Manche, comme en France, de racisme).

Traduction de l’article du New Observer.


L’invasion du Royaume-Uni par le Tiers-Monde – qui a réduit les Blancs britanniques en minorité à Londres il y a sept ans – a pour conséquence une augmentation considérable de la criminalité ; avec rien que l’année passée une augmentation de 20% des viols, de 33% des meurtres, de 40% des cambriolages, et de 25% des crimes avec usage d’un couteau, révèlent de nouvelles statistiques.

De façon typique pour les autorités policières politiquement correctes et grossièrement anti-blanches, le porte-parole local de la police a déclaré aux médias (en) qu’ils ne « comprennent pas » la raison pour cette augmentation du crime, et l’augmentation des viols en particuliers.

« Il y a quelque chose qui se produit à Londres avec la criminalité sexuelle que nous ne comprenons pas pleinement », a déclaré Sir Craig Mackey, commissaire délégué de la police métropolitaine, à la commission sur la police du conseil de Londres – ignorant aveuglément l’évident corrélation entre la composition raciale de Londres et le taux de criminalité.

Selon les données collectées par le bureau du maire pour la police et le crime (MOPAC), il y a eu 7613 viols rapportés de février 2017 à janvier 2018 contre 6392 lors des 12 mois précédents.

Sir Mackey a dit que l’augmentation ne pouvait pas seulement être expliquée par davantage de victimes se sentant capables de rapporter des abus ou de meilleures pratiques d’enregistrement.

Il a déclaré à la commission :

« Ce n’est pas si simple que de dire qu’il y a une confiance accrue. Bien sûr, cela joue un rôle, et la confiance dans le processus, mais il y a quelque chose qui se produit à Londres avec la criminalité sexuelle que nous ne comprenons pas pleinement. Nous voyons le résultat, mais nous ne comprenons pas les causes. »

Les données du MOPAC ont aussi montré une augmentation dans plusieurs types de crimes en 2017, qui a vu plus de 80 personnes poignardées à mort « dans un contexte d’inquiétude » quant aux attaques à l’acide et aux cambriolages violents dans la capitale.

[Ndt : Cela arrange le porte-parole de parler plutôt des viols où le facteur du témoignage des victimes peut varier ; mais il suffit de voir l’explosion des autres types de crimes violents pour voir que ce n’est qu’au plus un facteur mineur.]

Les homicides ont augmenté d’un tiers à 137 meurtres, tous les crimes impliquant des couteaux ont augmenté de plus d’un quart à plus de 14.500 incidents qui ont vu plus de 2000 victimes de moins de 25 ans blessées [ndt : le côté positif, c’est que c’est surtout de la criminalité inter-nègres].

Les cambriolages de particuliers ont augmenté de 40%, et les vols de particuliers d’un tiers.

Les statistiques du recensement de 2010 montraient (en) que seulement 45% (3,7 millions) des 8,2 millions d’habitants de la capitale se classaient comme « blancs britanniques » cette année là – et la situation n’a fait qu’empirer depuis.

Par comparaison, 58% (4,3 millions) de la population de Londres se classait encore comme « blancs britanniques » lors du recensement de 2001, ce qui signifie que la population britannique de la capitale chute à un rythme de 600.000 personnes tous les dix ans.

Si ces tendances se sont maintenues, il est probable que la population blanche britannique de Londres soit désormais aux alentours des 40% ou moins [ndt : même en comptant les blancs non-britanniques, les Blancs sont aujourd’hui en minorité].

Même si la police, les autorités et les médias contrôlés, politiquement corrects et niant les races, le nient, le lien entre l’augmentation considérable de la criminalité et le nettoyage ethnique de Londres par des habitants du Tiers-Monde est trop évident pour être ignoré.


L’explosion en un an de la criminalité est impressionnante, mais elle n’est pas sans rappeler la récente situation américaine : une répression active peut contenir un temps la criminalité nègre, mais si la police se relâche par peur d’être accusée de « racisme » ; on obtient une explosion du crime.

Source : http://www.blancheurope.com/2018/03/06/explosion-de-la-criminalite-a-londres-a-majorite-non-blanche-la-police-ne-comprend-pas/



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