Des nanoparticules dans les vaccins

Nouvelles révélations scandaleuses sur les vaccins.

Chère lectrice, cher lecteur,

Après les révélations de l’économiste Charles Sannat sur les opérations financières du leader des vaccins Sanofi (proche de Macron), d’autre révélations explosives :

Des nanoparticules toxiques dans les vaccins

Une étude publiée dans l’International Journal of Vaccines et portant sur 44 types de vaccins commercialisés en France et en Italie montre la « présence de contaminants particulaires à ce jour inexpliquée.1»

Ce sont des particules qui ne sont ni biodégradables ni biocompatibles : tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…

On sait que ces métaux sont dangereux :

L’injection intramusculaire de microparticule de tungstène, cobalt et nickel chez des rats de laboratoires a rapidement causé l’apparition de cancers avec tumeurs métastatiques agressives. Les autres métaux ont une longue liste d’effets inquiétants.2

Or on trouve cependant du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK).

« La présence de ces nanoparticules dans les vaccins permet d’étudier sous un angle nouveau les causes de certains effets secondaires.

Elle permet également une nouvelle approche quant aux accidents post-vaccinaux et certaines maladies qui en découlent, autisme, sclérose en plaque, désordres immunitaires, maladies neuro-dégénératives, voire mort subite du nourrisson… », explique F. Morin sur le site de la newsletter Morpheus.3

Les vrais enjeux financiers autour des vaccins

Le journal Le Monde a marqué les esprits, et déclenché l’hilarité générale, en expliquant que la multiplication des vaccins obligatoires n’était « pas si juteuse que cela ». « Quelques millions de bénéfices seulement » pour l’industrie pharmaceutique, avançait le journaliste.4

Un article du Dr Michel de Lorgeril, sur son site, révèle l’ampleur de la manipulation.

En réalité, les vaccins sont la pierre d’angle des profits de la future industrie pharmaceutique du 21e siècle. Ce ne sont pas des millions, ni même des milliards dont il est question mais des centaines de milliards.

En effet :

« Les vaccinologues modernes s’intéressent à toutes les pathologies : les cancers, les maladies cardiovasculaires et même… (certains en parlent) un vaccin anti-gluten… », explique le Dr Michel de Lorgeril.5

« Certains labos travaillent, je ne plaisante pas, sur un vaccin anticholestérol ; qui serait en fait « dirigé » contre des molécules participant au métabolisme du cholestérol, et pas contre le cholestérol lui-même ; avec l’idée absurde de diminuer le cholestérol circulant aux plus bas niveaux possibles…

Des centaines de vaccins sont aujourd’hui en préparation ou en phase d’essai dans le monde !

Dans la vaccinologie moderne, le business est roi ! L’industrie du vaccin n’est donc qu’à ses balbutiements ; (…) Dans ce contexte, chacun peut comprendre que les vaccins anti-polio ou anti-coqueluche (efficacité supposée et toxicité niée) sont une sorte de petit caillou dans la chaussure de l’investisseur… Il s’en fout l’investisseur de la polio et du tétanos.

Mais il ne se fout pas du tout du principe vaccinal ; ça il faut le défendre ; car en défendant le vaccin, on défend aussi les anticorps monoclonaux ; et aussi la vision moderne de la médecine dite personnalisée. »

C’est la raison pour laquelle les enjeux de ce débat sont énormes. Faire passer l’obligation des onze vaccins est capital pour l’industrie pharmaceutique. En écrasant la résistance, en remportant définitivement la victoire légale et médiatique en faveur des vaccins, elle s’ouvre la voie vers le marché le plus juteux du millénaire !

Mensonges sur l’épidémie de rougeole

On dit qu’une image vaut mille mots.

Chacun a entendu le Premier ministre parler, avec des trémolos dans la voix, d’une épouvantable épidémie de rougeole qui sévirait actuellement en France, remplirait les cimetières et… justifierait de rendre obligatoire dare-dare le vaccin.

Or voici les chiffres des cas de rougeole relevés par l’Institut de Veille Sanitaire :

Le pic date du début de l’année 2011. C’était il y a plus de six ans.

Depuis la courbe est plate, au plancher, même en plissant les yeux…

Parler d’une épidémie au présent de l’indicatif est un peu, comment dire… abusif, pour rester poli. Et pas très sérieux pour un Premier ministre qui vient d’arriver en poste.

A votre santé !

JM Dupuis

[1] New Quality-Control Investigations on Vaccines: Micro- and Nanocontamination

[2] http://www.morpheus.fr/composants-metalliques-nanometriques-toxiques-vaccins/

[3] Idem.

[4] Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime

[5] LES GRANDES ILLUSIONS DE LA VACCINOLOGIE



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