Amour, cancer et diplomatie

INTRODUCTION

« Faire preuve de diplomatie » définition : savoir rester calme et ne pas froisser ses proches. Être capable de faire des remarques en préservant les susceptibilités.

« Savoir faire preuve de diplomatie une qualité « essentielle » de nos jours, d’après un des sites internet consacré à la santé le plus consulté de France. Mon père était diplomate. Très diplomate. Trop diplomate. Si il est vrai qu’il faut parfois faire de preuve de diplomatie, l’excès de diplomatie lui, la superdiplomatie, nuit gravement à la santé. Un superdiplomate ne froisse jamais personne. Il n’exprime jamais rien qui puisse déranger. Il fait toujours plaisir aux autres, au détriment du sien. Comme une cocotte minute, un superdiplomate accumule de la colère, injustice, peur etc…Des émotions qui finissent par rendre malade. Mon père est décédé d’un cancer du colon et du foie le 16 mars 2013. Dans ce livre vous découvrirez son histoire.

De nombreuses personnes ont évoqué le lien entre stress et cancer dans la passé. Le docteur David Servan Schreiber, Bernard Giraudeau ou Pierre Bachelet. Vous découvrirez leurs intuitions, leur message. Des médecins, psychiatres, psychologues chercheurs, ont aussi étudié ce lien. Comme la psychologue Yvane Wiart, le docteur Wilhelm Reich, le docteur Rick Geerd Hamer, le docteur Michel Moirot. Vous découvrirez leurs recherches.

Si notre société connait aujourd’hui l’échec dans la prévention et le traitement du cancer, c’est qu’elle reste « figée » sur des croyances dépassées et limitantes : « le cancer est déclenché par une mutation génétique », « le stress psychologique ne peut pas déclencher un cancer à lui tout seul », « lorsque l’état clinique empire c’est toujours un signe d’aggravation de la maladie », ou « Il faut toujours faire la guerre contre le cancer ». Je vous expliquerai   pourquoi ces croyances sont fausses et comment le fait de les mettre à jour peut vous donner de nouveaux pouvoirs sur le cancer. Voici un aperçu de ces nouvelles croyances : « Le cancer n’est pas déclenché à l’intérieur de la cellule mais à l’extérieur de la cellule. L’environnement allume le cancer. L’environnement l’éteint. Les émotions réprimées accumulées depuis l’enfance suite à des traumatismes psychologiques polluent l’environnement cellulaire. Ainsi de nombreuses études scientifiques établissent un lien clair entre émotions réprimées accumulées depuis l’enfance et cancer. Vous les découvrirez. Mais le plus intéressant est que la libération des émotions réprimées peut ralentir voire stopper certains cancers

Ceux qui souhaitent connaître en détail les mécanismes scientifiques en jeu pourront le faire dans le chapitre 4. Comme un poids sur une balance, les émotions réprimées accumulées « pèsent » sur notre biologie. Elles déséquilibrent son grand régulateur : le système nerveux autonome. Non seulement il contrôle toutes les fonctions inconscientes du corps, comme la respiration, le rythme cardiaque et la digestion mais aussi la transformation des cellules saines en cellules souches cancéreuses. La réponse de stress est transmise par le système nerveux sympathique. Ce dernier modifie le micro-environnement cellulaire et déclenche le cancer. Mais s’il existe un accélérateur, il existe aussi un frein. La réponse de relaxation est transmise par le système nerveux parasympathique. Celui ci modifie l’environnement cellulaire et détruit le cancer via l’activation du système immunitaire. Ce frein tout le monde peut l’activer en libérant les émotions réprimées. Contrairement à ce que l’on pourrait penser la réponse de relaxation, la destruction du cancer, est une phase pénible, douloureuse, et fatigante. Bien plus que la phase de stress (construction) du cancer. Comme dans un marathon la phase de récupération est souvent pire que la phase de course.

On ne peut comprendre le cancer sans évoquer les mécanismes énergétiques sous-jacents. Comme un barrage sur une rivière, la colère et la peur bloquent l’énergie destinée aux cellules. Celles ci se retrouvent alors en « condition de survie ». Forcées de s’adapter elles se transforment et prolifèrent pour survivre. C’est le cancer. Mais ce programme de survie peut être annulé en faisant fondre les barrages énergétiques faits de colère et de peur..Pour cela il existe une énergie que nous possédons tous au centre de notre poitrine, dans notre cœur : l’Amour. Non il ne s’agit pas d’une nouvelle philosophie « new age » mais bien d’un phénomène scientifique expliqué en laboratoire. Vous le découvrirez les études clés

Nous n’en resterons pas à des considérations théoriques. Des cas bien réels de personnes qui ont connu des rémissions de cancers dits « incurables » en suivant ce modèle sont présentés. Vous découvrirez le travail de l’institut des sciences noétiques qui a référencé plus de 3500 cas de rémissions « spontanées » de cancer stade 4. Les observations du Chirurgien Américain Bernie Siegel et de la chercheuse en oncologie intégrative le docteur Kelly Turner. Le docteur Turner à identifié 9 facteurs (8 sont d’ordre psychologiques) à l’origine des rémissions de cancer. Elle affirme que ces rémissions n’ont rien de spontanées. Elles sont provoqués par des changements de vie profonds. Vous découvrirez l’histoire de Mylène Del Balzo qui après 3 semaine de libération émotionnelle a connu une rémission de son cancer du col de l’utérus. L’histoire de Béatrice Friedmann qui a connu une rémission de son cancer de l’ovaire. Et l’histoire d’Anita Moorjani qui a connu une rémissions « spontanée » de son lymphome de stade 4 après une expérience de mort imminente. Expérience qui lui a permis de libérer ses peurs et la dévalorisation qu’elle avait envers elle même.

Dans le chapitre 6 vous apprendrez le fonctionnement et la puissance de votre esprit subconscient. Comme un pilote automatique l’esprit subconscient contrôle notre vie, mais aussi notre biologie. Programmé depuis l’enfance par la peur, la colère, la culpabilité et la dévalorisation de soi, il est à l’origine de la répétition d’événements traumatisants tout au long de la vie. C’est le syndrome de compulsion de répétition. La peur augmentant le couvercle de la répression émotionnelle devient hermétique et la colère s’accumule. C’est le syndrome de « la cocotte minute » source d’une accumulation d’émotions toxiques dans notre corps. Ces deux syndromes seront expliqués à travers l’histoire de mon père et de la mienne. Car comme dans tout famille de superdiplomate le « poste » est transmis de génération en génération.

Mais ces syndromes peuvent se guérir. C’est ce que vous apprendrez à faire dans le chapitre 7. Vous découvrirez des outils simples et efficaces pour détoxifier votre corps émotionnel : la méditation de traitement de la peur. L’EFT, technique de libération émotionnelle basée sur la stimulation des points d’acupuncture qui permet d’activer pas moins de 5 gènes suppresseurs de tumeur. Matrix-reimprinting ou « réencodage de la matrice ». Technique très efficace pour guérir les traumatismes d’enfance.

Une stratégie pas à pas vous sera présentée dans le chapitre suivant. Vous permettant de remonter dans le temps, d’identifier et de guérir tous les souvenirs « douloureux » de votre vie. Vous apprendrez aussi à désamorcer la cocotte minute émotionnelle en libérant la colère accumulée par des années de superdiplomatie. Vous quitterez définitivement la superdiplomatie en vous libérant de la peur de déplaire, d’être moqué, d’être rejeté, de dire non.

Si ce travail de libération émotionnelle et de guérison intérieure est une clé pour surpasser les pronostics il ne devra pas vous prendre plus de 20 % de votre temps quotidien. 80 % du temps sera consacré à tout faire pour augmenter les émotions agréables. Comment ? En faisant ce que vous aimez. En faisant ce que vous avez toujours voulu faire. En vous faisant passer en premier. Peut importe l’avis des autres, de la société ou des « bonnes manières ».

Des exercices complémentaires sont proposés ensuite comme la méditation « s’asseoir avec le cancer ». Qui vous permet d’identifier et de libérer les émotions qui se trouvent bloquées à l’intérieur de la tumeur. Vous répondrez à la question « Est ce que je m’aime ? ». Puis le domaine de l’argent, source majeure de stress, sera évoqué. Quel est votre rapport avec l’argent ? Avez vous peur de manquer d’argent ? Êtes vous en colère contre l’argent ? Vous pourrez guérir votre relation avec l’argent en pratiquant régulièrement l’exercice de reconnexion avec l’argent.

Après ce travail sur le corps émotionnel vous apprendrez à calmer l’activité mentale grâce à des méditations simples mais qui activent puissamment la réponse de relaxation. Vous apprendrez aussi à diminuer les influences extérieures et à entrer contact avec votre intuition. Celle qui permet de prendre vos propres décisions.

Le dernier chapitre est consacré à la prévention active du cancer. Je vous expliquerai comment j’agis tous les jours pour déjouer les statistiques du cancer. Vous pourrez faire de même en devenant le gardien, le protecteur de votre environnement. L’art en temps qu’outils d’expression émotionnelle y a une grande place. La detox spirituelle aussi. Elle consiste à analyser et libérer les croyances limitantes, dévalorisation, peur, culpabilité transmises par les religions. Vous découvrirez une « nouvelle religion » celle issue de l’enseignement des personnes qui ont connu une expériences de mort imminente. Elle pourrait bien changer la vision que vous avez de vous même, en bien.Puis des techniques de détoxification du corps physique sont aussi présentées via le jeûne intermittent et thérapeutique, les plantes détoxifiantes anticancer, la pratique du yoga etc…

Est ce que cela marche ? Pour moi oui. Un exemple ? Vous ne pourriez pas avoir ce livre entre les mains si j’étais encore superdiplomate. J’ai réussi à guérir mes croyances limitantes et mes peurs à l’aide des outils proposés dans ce livre. Et même si la diffusion de ces informations « non diplomatiques » à entrainé des conflits avec les « autorités ». J’ai été radié du conseil de l’ordre des médecins au début de l’année 2017. Je continue de partager un modèle du cancer dans lequel tout le monde a sa place mais ou l’homme à un immense pouvoir sur le cancer. Il est capable d’agir, de surpasser les pronostics du cancer, entouré, guidé par des professionnels de la santé. En temps que société et qu’individu nous avons un choix à faire. Quel modèle choisissons nous ? Un modèle d »impuissance ou de puissance ? Je choisis le second. Et vous ? »

Dès l’écriture du livre terminée je le publierai au format numérique puis quelques semaines ou mois plus tard (le temps de l’impression) je le publierai au format papier.

La version numérique coutera 16 euros et la version papier 22 euros.

Vous pouvez dès aujourd’hui pré-commander le livre, soutenir mon travail et m’aider à payer les factures (qui elles ne sont pas radiées) en pré-commandant le livre.

Soit vous faites un « don » de 16 euros pour la version numérique, soit vous faites un « don » de 22 euros.

Enregistrez bien toutes vos coordonnées, notamment postales, pour ceux qui veulent le format papier.

Merci d’avance pour votre soutien

Julien

Source : https://www.gofundme.com/amourcanceretdiplomatie

Commentaire de Disciple

Article intéressant, ceci dit le commandement de Jésus disant qu’on doit aimer son prochain comme soi-même est plus équilibré car il ne faut ni refouler ses émotions ni les exprimer à tort et à travers sans aucune inhibition tels des animaux.

Ce qui guide justement ce bon équilibre est l’amour pour soi et du prochain de manière égale. Cela passe par apprendre à se connaître en apprenant à connaître les autres et à donner pour savoir recevoir (les choses nécessaires c’est à dire agréables ou désagréables).
Cet effet miroir permet d’apprendre à mieux cerner la nature humaine et de relativiser nos relations car on ne craint pas ce que l’on connaît et on n’a pas peur non plus de dire ou de faire, que ce soit pour nos besoins ou ceux d’autrui.

Cela s’appelle « l’édification spirituelle » des uns envers les autres c’est à dire savoir reprendre ou se faire reprendre mais aussi savoir exprimer la bonté et la bienveillance et savoir la recevoir, voilà la bonne diplomatie. La bible dit qu’en cela nous nous appartenons tous les-uns aux autres car nous formons « l’église de Christ » c’est à dire son corps.

Cette paix  sociale et cet amour, dit aussi la bible, ne sont pérennes que dans un certain cadre, un certain paradigme, certaines valeurs et croyances partagées par cette communauté. Sans cela cette union fraternelle n’est pas possible et si elle vient à disparaître alors la division du groupe apparaît. En creux cela veut dire qu’on ne peut s’entendre et être en paix avec ceux qui ne partagent pas la même vérité que nous s’ils la rejettent.

En cela l’amour de la Vérité doit passer avant la paix sociale quitte à ce que cela engendre des divisions. En fait cela n’engendre pas les divisions mais les rend simplement manifestes et visibles car elles étaient déjà là mais sont devenues limpides par cet effort continue et permanent d’édification mutuelle pour l’intérêt de tous et du bien commun.

Cela veut aussi dire que si l’on partage le même amour pour Dieu et la vérité l’on doit apprendre à se supporter les uns les autres, s’entraider et s’écouter quelle que soit la profondeur de nos différents personnels ou nos incompatibilités de caractères ou d’humeur. Ceci est même une obligation (et un apprentissage !).

Jésus dit d’aimer nos ennemis mais cela signifie d’abord savoir quels sont leurs vrais intérêts et avoir le courage de le leur dire et de les avertir quoi qu’il nous en coûte même si c’est contraire à la paix sociale. Si Dieu lui-même dit ne pas être en paix avec les incroyants, les méchants, les impies et les apostats alors pourquoi devrions nous l’être ? Si le courroux de Dieu demeure sur eux nous ne sommes pas tenu de rechercher la paix à tout prix et en toute circonstance avec ceux qui Lui déplaisent.

Le plus grand amour du prochain qui est un amour dirigé par des principes (et rien d’autre si ce sont des gens qu’on ne connaît pas personnellement) est d’annoncer la bonne nouvelle du Royaume et à en assumer les conséquences sociales (les bonnes et les mauvaises).

Le meilleur remède contre le cancer est par ordre décroissant l’amour de la Vérité, de Dieu, du Christ (la Vérité menant à eux, elle est donc une condition requise préalable), de soi, de son prochain (on ne peut pas aimer l’autre si on ne s’aime pas d’abord), de ses ennemis et en dernier de la paix. Or le diplomate ne recherche que la paix, souvent au détriment de beaucoup de choses.

De nos jours, les gens sont de plus en plus sans valeur morale absolue (valeurs bibliques). Ils n’ont que des valeurs sociales, c’est à dire des valeurs relatives à un groupe, « tribales », subjectives. La paix est une valeur sociale relative selon les ententes et les compromis relatifs des individus qui la composent. Dans ce monde satanique elle n’est qu’un équilibre provisoire d’un rapport de force et de domination, loin de l’amour !

Les vraies valeurs sont structurantes pour la personnalité comme le langage est structurant pour la pensé. Cela signifie que si la personne n’a que des valeurs sociales relatives alors sa personnalité est moins forte, moins affirmée, plus changeante, plus instable, etc.

Cette personne n’est plus capable de défendre des valeurs véritables: « à chacun sa vérité », au même titre que les goûts et les couleurs. Elle est moins capable de comprendre ce qui est bon pour elle. Elle est à la fois capable d’accepter des situations normalement inacceptables et de tenir ou s’arque-bouter à des choses qui ne mériteraient pas de l’être.

Non seulement ce genre de personne est incapable de défendre des idées et de défendre des arguments dans une joute verbale sans que la discussion aille vers des écueils ou tourne au vinaigre mais en plus elle se vexe vite car elle s’identifie plus facilement à ses propres « vérités ». Il n’y a donc plus de hiérarchie entre une discussion sur des goûts et des couleurs ou sur des sujets plus sérieux. Le subjectif et l’objectif s’entremêlent et la personne n’est plus capable de distinguer son égo de son amour propre ni ses émotions ou son ressenti de ce qui est vraiment bien ou vraiment mal.

Quand cette personne se fait remettre à sa place parce que son raisonnement, ses idées ou son comportement sont mauvais elle ne sait que se victimiser et ne voir chez celui qui la reprise que quelqu’un de méchant, désagréable ou infréquentable. A l’avenir soit elle évitera cette personne soit elle évitera toute discussion sur ce sujet ou ce problème car incapable de peser le pour et le contre pour en tirer profit (la définition du stupide selon la bible).

Ces personnes ne manquent pas de connaissances elles manquent juste de vraies valeurs, ont un égo ou orgueil mal placé, donc hypersensibles ou susceptibles, elles relativisent tout du coup elles ne savent pas hiérarchiser l’importance des choses ni savoir ce qui est bon ou mauvais, elles ne savent pas raisonner ni discuter ni édifier car elles n’aiment pas la vérité. Elles ne savent qu’aduler ou haïr et socialement elles ne sont que dans le rapport de force et l’affectif dans la bipolarité ami ou ennemi.

Ce genre de comportement ne sont que les fruits de la chair, ce sont des comportements du monde calqués sur un monde sans Dieu, sans amour, sans vérité. Leurs conséquences spirituelles, morales, mentales, physiques, sociales, économiques, politiques sont incommensurables et dévastatrices, menant ce monde vers sa fin quand Dieu y mettra un terme pour imposer Sa Volonté selon ses normes et ne survivront que les gens qui auront démontré en être en accord.



3 commentaires pour “Amour, cancer et diplomatie”

  1. Bonjour,
    J’ai envie d’ajouter un autre mot à votre titre: « Amour, Bien-être, Cancer et Diplomatie » pour faire l’ABCD de cette approche révolutionnaire contre le cancer,
    Trêve de plaisanterie, il me tarde que ce livre paraisse. C’est pour quand s’il vous plait?
    Amitiés
    Eunice

    1. Bonjour, l’auteur a lancé une collecte de fond ici :https://www.gofundme.com/amourcanceretdiplomatie afin de récolter des l’argent pour ce livre. Je n’en sais pas plus. Peut etre pourriez vous le contacter pour en savoir plus.
      Cordialement

  2. Cette distinction Vérité/Christ, etc. n’a pas beaucoup de sens, Christ ÉTANT Lui-même la Vérité :

    Jean 14:6: « Jésus lui dit: JE SUIS le chemin, LA VÉRITÉ, et la vie. Nul ne vient au Père que par Moi. »

    De plus, ce qu’on doit aimer en premier c’est Dieu :

    Matthieu 22:36-37: « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi? Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. »

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